Ce livre, ce pavé de plus de 600 pages, je l’ai croisé en librairie. Plusieurs fois. A chaque passage, j’étais irrésistiblement attirée par cette belle couverture. Sur fond bleu, une femme avance de dos, vêtue d’un habit traditionnel coréen, une ombrelle cachant le haut de son corps. Face à elle, un grand disque rouge orangé rend le tout très lumineux. Récemment, je suis de nouveau tombée sur le roman, en bonne place sur une des tablées chez mon libraire, et j’ai fini par l’emporter avec moi.