Fermés depuis fin octobre, les musées, cinémas et salles de spectacle subissent la crise de plein fouet. Tandis que les commerces ont pu rouvrir, le secteur culturel, qui représente en France presque deux fois le chiffre d’affaires de l’industrie automobile, peut-il vraiment être considéré comme «non essentiel»? Faut-il repenser son fonctionnement?