Pour finir l’hiver et nous préparer au printemps, Gabrielle Stemmer nous fait l’honneur d’être notre invitée. Elle monte des films (Coma de Bonello, Tout le monde aime Jeanne de Céline Devaux), des clips (ceux de Flavien Berger notamment) et des séries (Split d’Iris Brey). Elle met aussi sa science du montage au service de ses propres films (Clean with me after dark, Femmes sous algorithmes), réalisés à partir d’image des autres, souvent glanées sur internet. Attentive aux images les plus contemporaines, elle nous parle de son goût pour l’hybridation (Reality) et les films la confrontant au malaise (Eût-elle été criminelle). Artiste interrogeant le quotidien et le domestique, elle nous parle de l’empreinte durable laissée par le Jeanne Dielman de Chantal Akerman. Puis elle nous emmène dans ses films refuges, ceux dans lesquelles elle se sent à la maison, qu’il s’agisse des classiques hollywoodien des années 40-50 ou de l’entêtant On connaît la chanson d’Alain Resnais. LE SOMMAIRE DE L'ÉMISSION Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt PORTRAIT - 3’08 __ __ CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17'56 __ __ CARTE BLANCHE - 43’52 (C. Laughton, 1955) REFUGES - 52’13 Les classiques hollywoodiens des 40s-50s BONUS : FILM-MAISON - 55’06 (A. Resnais, 1997) EXTRAITS FILMS - S. Kubrick - 1980 - Warner Bros Transatlantic - J-G Périot - 2006 - Envie de tempête production - C. Laughton - 1955 - Carlotta Films EXTRAITS MUSICAUX Zbigniew Preisner - (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productions Zbigniew Preisner - (SBI 152) Version de 1798 (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productions Psapp - (Grey's anatomy OST) CRÉDITS Patreons : un grand merci à Inès, Paul, Bernard, Clara et Inès pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer notre année de podcasts en beauté, c’est Bertrand Bonello qui ouvre le bal. Alors que sa “Bête” a été lâchée dans les salles il y a quelques semaines, NOUS NOUS ASSOCIONS À LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE qui consacre une rétrospective totale au cinéaste du 28 février au 8 mars prochain. Bertrand Bonello fait des films, courts et longs, depuis plus d’une vingtaine d'années. Des films nocturnes, des films peuplés de fêtes mélancoliques et de beaux solitaires. Cinéaste autodidacte, il revisite les classiques qui l’ont nourri, de la à en passant par l'œuvre à laquelle il vient sans cesse se ressourcer et qu’il aime sans réserves : La trilogie du . Soucieux de la jeunesse, il raconte également l’importance de montrer ces films à la génération de sa fille. Précis lorsqu’il s’agit de partager les films qu’il aime, il nous a raconté bien d’autres choses, que vous pourrez découvrir dans notre nouvel épisode ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt 1. PORTRAIT - 3’56 __ __ 2. CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17’35 __ __ CARTE BLANCHE - 36’42 La fin du (F. Coppola, 1972) 3. CINEMA & TRANSMISSION - 41’20 Transmettre des “classiques” aux générations futures - 41’20 REFUGE - 46’46 La trilogie (F. Coppola, 1972-1990) EXTRAITS MUSICAUX Nino Rota, , 1960 - C A M CREAZIONI ARTISTICHE M LI S R L, NORD SUD EDIZIONI MUSICALI Angelo Badalamenti, (from Twin Peaks) - 1990 Warner Records Inc. Nino Rota, (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) Nino Rota, (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) EXTRAITS FILMS/VIDÉOS , Youtube CRÉDITS Merci à Elodie Imbeau d'avoir rendu cet épisode possible. Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour finir l’année en beauté, nous vous proposons l’une des plus belles moustaches intermittentes du cinéma français de ces dernières années : Christophe Paou ! Il est comédien sur les planches et pour les caméras. Il est connu pour son rôle sulfureux dans L’inconnu du lac d’Alain Guiraudie, et ces vingt dernières années, il a aussi joué pour quelques autres grands aventureux du cinéma français, des Frères Larrieu à Jean-Christophe Meurisse en passant par Lucie Borleteau. A cette occasion, Christophe Paou spectateur éclectique et enthousiaste nous a parlé de quelques comédiens qu’il admire, du moustachu Michel Serrault à Peter Sellers, en passant par le premier “monstre” du cinéma muet, Lon Chaney, acteur fétiche du cinéaste Todd Browning. Engagé, il a convoqué quelques films pour « rester vertical » (Eau Argentée, Rue Case-nègres) et quelques remèdes dans ce monde de brutes, de l’amour torride de « L’eau tiède sous un pont rouge » à l’humour burlesque de The Party. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’29 __ __ CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 15’42 __ __ CARTE BLANCHE - 32’27 (Todd Browning, 1927) TRANSMISSION - 38’05 Des films pour rester vertical : (Wiam Simav Bedirxan, Oussama Mohammad, 2014); (Euzhan Palcy, 1983) - 38’05 REFUGES - 49’04 (Blake Edwards, 1968); (Godfrey Reggio, 1982) EXTRAITS __ __ CRÉDITS Merci à Elodie Imbeau d'avoir rendu cet épisode possible. Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer cette nouvelle saison, nous accueillons Caroline Champetier, directrice de la photographie connue et reconnue sur les plateaux de tournages (elle a collaboré avec Chantal Akerman, Jean-Luc Godard, Leos Carax, ou encore aujourd’hui avec Wang Bing…) mais aussi dans les laboratoires de restauration de film. C’est notamment grâce à son oeil expert que nous pouvons enfin redécouvrir de Jacques Rivette, évènement patrimoine de cette rentrée cinéma rendu possible par les historiques Films du Losange. A cette occasion, Caroline Champetier nous a parlé de technique, certes, mais aussi de lumière, de regard et de la façon dont son plaisir de spectatrice infuse dans son travail. Avec nous, elle évoque entre autres l’oeil acéré de Jane Campion, les noirs de David Lynch, la lumière du directeur de la photographie Vilmos Szigmond et bien sûr, le cinéma de Jacques Rivette. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT 6'55 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 18'04 Le souvenir d’une séance spéciale de (R. Rossellini, 1950) L’importance de la météo dans le cinéma de Šarūnas Bartas et particulièrement dans (1996) - 23'21 III. MEMOIRE & SOMMEIL 27'51 __ __ IV. CINEMA & TRANSMISSION 39'18 La restauration de (J. Rivette, 1967) REFUGE 54'29 (M. Cimino, 1980) EXTRAITS Stromboli (R. Rossellini, 1950), Société parisienne de production / Bac Film Distribution The Long Goodbye (John Williams, 1973) L'amour Fou (J. Rivette, 1967), Les Films du Losange CRÉDITS Merci à Audrey Grimaud (Agence Valeur Absolue) d'avoir rendu cet épisode possible. Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans cette pastille exclusive, notre invité, le compositeur Pierre Oberkampf, revient sur la façon dont musique et image s'articulent dans son travail. Pour illustrer son propos il évoque le film d'Agnès Patron dont il a signé la partition et qu'il a même interprété en ciné-concert. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt CRÉDITS Musique : Pierre Oberkampf (Extraits de L'heure de l'ours) Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pierre Oberkampf, compositeur et sound designer très prolifique côté courts métrages. Nous lui devons notamment toute l’identité sonore du césarisé “L’heure de l’ours” d’Agnès Patron. Avec nous, il évoque son rapport aux bandes originales et nous raconte son goût pour les compositions risquées voire improvisées, de celles de Jon Brion pour Gondry et Paul Thomas Anderson à la batterie d’Antonio Sanchez pour le d'Iñárritu. Il égraine aussi quelques uns de ses courts métrages préférés ( de l’italien Simone Massi, de l’argentin Pablo Lamar). Mais surtout, il nous emmène vers des chemins buissonniers de cinéma où l’enfance est toujours présente avec ce qu’elle comporte de jeux, d’aventures () et de violence (…) Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’44 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18’43 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31’52 __ __ CARTE BLANCHE - 36’31 __ __ TRANSMISSION - 45’55 __ __ REFUGES - 54’12 __ __ EXTRAITS L'heure de l'ours, Pierre Oberkampf Les derniers feux, Pt. 1, Pierre Oberkampf Theme, Jon Brion (from Eternal Sunshine of the spotless mind), Hollywood records, inc Theme from Godland, Alex Zhang Hungtai (Jour2fête) CRÉDITS Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier, Pierre Oberkampf Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pascale Faure grande spécialiste du court métrage devant l’éternel, de l’unité des programmes courts et créations de Canal + où elle a travaillé près de 20 ans jusqu’à ses expériences au sein de divers jurys de festivals. Avec nous, elle évoque l’importance de la télévision dans son expérience de spectatrice mais aussi celle de la salle et des festivals. Elle raconte son travail et ses récentes découvertes de dénicheuses de talent (les films de Vincent Fontano ou Noah Coen). Mais surtout, faisant fi des médiums et des formats, notre invitée déroule une cinéphilie joyeuse, parfois fétichiste, allant de Kenneth Anger à Mike Leigh, en passant par Bunuel et les Teletubbies ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'49 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'14 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 22'59 __ __ CARTE BLANCHE - 33'16 L'ouverture de (Mike Leigh, 2010) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'08 __ __ REFUGES - 53'34 __ __ EXTRAITS : Vidéos de Jan Hakon Erichsen, Instagram Wipe Out - The Surfaris, UMG (au nom de Geffen) Another Year: Opening Credits (From "Another Year") · Gary Yershon ℗ 2011 Varese Sarabande Records Archive INA : Jacques Tati et l'importance du court métrage Victoria, Justine Triet - Le Pacte Love Letters, Metronomy - Because Music (au nom de Because Music Ltd.) CRÉDITS Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes PRÉLUDES, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à PRÉLUDES : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Yolande Zaubermann cinéaste jonglant allègrement avec la fiction () et le documentaire (de au choc ) a ouvert une porte sur sa cinéphilie alors qu’elle est en montage de son nouveau film. Celle qui a aujourd’hui besoin de découvrir inlassablement de nouveaux films revient avec nous sur quelques oeuvres qui, à tout jamais, l’ont marquée au point parfois de lui apprendre à vivre. Durant notre entretien notre invitée se souvient avec légèreté de l’importance de la nouvelle vague dans sa vie, du choc enfantin de la nuit du chasseur ou de sa récente nuit blanche à visionner . Gravité et joie n'étant jamais loin elle convoque également le terrible de Guerman et le pétillant de Lubitsch. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’39 Un amour au cinéma : (K. Mizoguchi, 1954) - Une violence : (M. Winterbottom, 2010) - 6’51 Une langue au cinéma : le Yiddish - 10’25 Une première fois : (C. Laughton, 1955) - 13’20 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15’14 Un court métrage marquant : (L. Pinell, 2021) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 18’19 Un film à ne voir qu’en pleine nuit : la série (M. Nichols, 2003) Le rapport de Yolande à la nuit CARTE BLANCHE - 22’41 ‘(JL Godard, 1960) IV. TRANSMISSION - 29’41 Un film brouillant les frontières entre documentaire et fiction : (A. Guerman, 1985) REFUGE - 36’18 (E. Lubitsch) EXTRAITS : Le roi David, Lila Pinell - Ecce Films Angels in America, main title - Thomas Newman - WMG (au nom de Nonesuch) A bout de souffle, Jean-Luc Godard - Carlotta Films CRÉDITS Préludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme Préludes Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l’occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes PRÉLUDES, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à PRÉLUDES : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Lora Mure Ravaud a récemment marqué les esprit avec , premier beau moyen métrage primé un peu partout, de Locarno à Brive. Attentive aux gestes, aux langues et aux corps comme cinéaste, elle l’est tout autant comme cinéphile. Durant notre entretien, notre invitée exhume quelques perles, comme , du suisse Fredi Murer ou le doux porno . Elle évoque également deux courts métrages aventureux ( et ) et nous emmène dans sa ville refuge, la cinégénique Rome. Découvrez ici gratuitement de beaux premiers gestes de cinéma : https://preludes.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT- 6’33 Un amour au cinéma : (Fredi Murer, 1985) - 6’33 Une violence au cinéma : (Jean-Luc Godard, 1963) - 11’30 Une langue au cinéma : la langue des films de Rohmer - 13’29 Une première fois au (dans) un cinéma : le premier fim pornographique en salle, (Francis Savel, 1980) - 16’07 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20’56 Un court métrage marquant vu en salle : (Ilan Klipper, 2013) III. MEMOIRE ET SOMMEIL - 25’53 Un film à ne voir qu’en pleine nuit : (F. Fellini, 1960) - 25’53 Des inspirations pour penser la pénombre au cinéma : (J. Cassavetes, 1974) et (Andrea Arnold, 2011) - 28’39 IV. CARTE BLANCHE - 31’28 (Nicolaas Schmidt, 2021) V. CINEMA & TRANSMISSION - 36’41 Des films abolissant la frontière entre fiction et documentaire : le travail de John Cassavetes REFUGE - 43’12 L’italie
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la programmatrice et ancienne directrice du festival international du film d’Amiens, Annouchka de Andrade, également fille de la cinéaste Sarah Maldoror, pionnière du cinéma africain. Notre invitée plonge dans son enfance pour nous raconter ses premiers émois devant les films de Chaplin à la cinémathèque algérienne, son amitié avec le réalisateur Chris Marker, ou encore comment elle a découvert le fabuleux « Napoléon » d’Abel Gance en croyant voir le film d’Akira Kurosawa « Les 7 samouraïs ». Mêlant le cinéma et la Grande Histoire, Annouchka trace les contours d’une cinéphilie internationale, politique, et éminemment joyeuse et généreuse. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'33 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'00 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 24'42 __ __ CARTE BLANCHE - 34'11 __ __ IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45'19 __ __ REFUGE - 51'45 __ __ EXTRAITS : __ __ CRÉDITS Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons l’enseignante-chercheuse, critique et programmatrice Alice Leroy, dont la plume est présente sur internet et dans les kiosques, notamment dans les pages des Cahiers du cinéma ou de Panthere Premiere. Du cinéma le plus expérimental de Stan Brakhage, Daïchi Saïto ou Barbara Rubin, aux séries les plus cultes (« The twilight Zone »), Alice Leroy nous emmène au coeur des films qui ont formé sa cinéphilie, avec précision et passion. Elle évoque la filmographie trop méconnue de la cinéaste Angela Shanelec, celle tous azimuts de Peter Watkins, ou encore celle, refuge, de Jonas Mekas - et ce faisant, elle dresse le portrait d’un cinéma en quête d’utopies. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4’55 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19’24 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 27’22 __ __ CARTE BLANCHE - 32’50 DES PLACES DANS DES VILLES (Angela Schanelec, 1997) TRANSMISSION - 41’57 __ __ REFUGES - 54’01 (1976) et (1968) de Jonas Mekas EXTRAITS __ __ CRÉDITS Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Helio Pu, monteur, réalisateur, et acteur un petit peu parfois aussi. Avec légèreté et mélancolie, et avec enthousiasme surtout, il nous a évoqué les films qui comptent pour lui comme autant « d’interstices de paradis » (pour reprendre le titre de son dernier film « Every heaven un between »). De l’univers queer adolescent de Gregg Araki à l’univers queer SF des sœurs Wachowski, de la pellicule au glitch numérique, de l’expérimental (Koyaanisqatsi de G. Reggio) au plus mainstream (Spider Man 2 de Sam Raimi), Helio a déroulé une cinéphilie plurielle et inclusive en français, en cantonnais, en anglais, mais aussi en danse et en chansons. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3’29 Un costume au cinéma : ceux, queer et grunge, des films de Gregg Araki - 3'29 Un corps au cinéma : les corps virtuels et fluides de (Lilly & Lana Wachowski, 1999), le corps chimérique d’Hauru dans (H. Miyazaki, 2004) - 6’22 Une langue au cinéma : le cantonnais dans les films de Wong Kar Wai, le français dans (C. Akerman, 1984) - 11’26 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 16’53 Le rapport d’Helio à la pellicule et au numérique + le court-métrage (William Laboury, 2015) III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 25’56 Une chanson de film qui le hante : Finale de Para One pour (Céline Sciamma, 2007) - 25'56 Des souvenirs d’enfance et d’adolescence dans des films : (Hirokazu Kore-Eda, 2004), (Gus Van Sant, 2007) - 31’32 CARTE BLANCHE - 35’37 L'ouverture dansée de (G. Noé, 2018) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41’47 Un film à transmettre aux générations passées : (G. Reggio, 1987) Un film qui a déplacé le regard d’Helio : (les Daniels, 2022) - 46’18 FILMS REFUGES - 53’39 (Sam Raimi, 200') EXTRAITS __ __ CRÉDITS Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien ! Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Pacôme Thiellement, critique-écrivain-essayiste-cinéaste ou - en un mot - exégète professionnel (la définition de ce mot est dans l’épisode). Tel Colin Maillard, le personnage joué par Jean-Pierre Léaud dans Out 1 (l'un de ses cinéastes de chevet), Pacôme a enquêté avec nous sur sa cinéphilie. Affable et agile, il a convoqué les transes de Zulawski ("Possession"), les ténèbres intérieures de Lynch ("Inland Empire") ou encore la belle amitié de Céline et Julie ("Céline et Julie vont en bateau"). Partant de ce cocktails de références enivrant, il nous a parlé de sa mémoire et de ses habitudes de spectateur nocturne et nous a plongé dans un grand rêve... Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT – 4’34 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18’51 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 24’50 __ __ CARTE BLANCHE - 34’49 La fin d’ (David Lynch, 2006) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 42’33 __ __ FILM REFUGE - 51’11 (Jacques Rivette, 1974) EXTRAITS : __ __ CRÉDITS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la cinéaste Patricia Mazuy, dont le dernier film « Bowling Saturne » est sorti mercredi 26 octobre 2022 au cinéma. Tel un cow boy ou une catcheuse - sortie tout droit d’un de ses films fétiches « Deux filles au tapis » (R. Aldrich) - notre invitée a mené l’entretien avec une énergie brute, sans fioriture. Passant de l’éclatante séquence d’ouverture de « Il était une fois la révolution » (S.Leone) à la douceur et la précision des plans de « Certain Women » (K. Reichardt), en passant par l’humour parfois glaçant des comédies italiennes de Dino Risi et Comencini, Patricia Mazuy fait état d’un cinéma en prise avec le présent, dont l’actualité nous bouleverse, nous questionne et nous tient en haleine, hagard, jusqu’aux dernières minutes. Extraits : Il était une fois la révolution (Sergio Leone, 1971), Carlotta Films La chevauchée des bannis (André de Toth, 1958), Splendor Films Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 5'06 Des animaux de cinéma : les tortues et les crocodiles - 5'06 Un acte de violence au cinéma : la mort - 6'52 Un type de paysage au cinéma : les forêts de feuillus - 8'53 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 10'14 Un film à voir au coeur de la nuit : (Robert Aldrich, 1980) - 10'14 Patricia Mazuy à propos de l'argentique, du numérique et de la façon de filmer la nuit au cinéma - 12'23 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 15'22 Une musique de film qui vous hante : (Ennio Morricone); tout NINO ROTA; la chanson du (John Williams) - 15'22 Des films pour ne pas s'endormir : les comédies sociales italiennes en général et (L. Comencini, 1979) en particulier - 16'39 IV. CARTE BLANCHE - 20'45 L'ouverture d' (Sergio Leone, 1971) V. CINEMA & TRANSMISSION - 27'48 Des westerns à transmettre aux générations futurs : (André de Toth, 1958); (John Ford, 1962) - 27'48 Un film pour "rester vertical" : *Certaines femmes (Kelly Reichardt, 2016) REFUGE - 34'50 (Nanni Moretti, 2011) CRÉDITS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le jeune réalisateur et ami cinéphile Paul Rigoux, auteur du bien nommé film "Rapide", pour évoquer une thématique spéciale au cinéma : celle du temps. Des films à la lenteur magnifique à ceux qui donnent envie de courir vite, des lunettes profilées de la trilogie Matrix au studio d’enregistrement de « Memoria », notre invité nous offre une traversée du temps à travers les films qui ont marqué sa vie. Nous discutons ensemble des films de train, et de la surprenante salle de cinéma que peut constituer un voyage en train, mais aussi de l’importance de la musique dans notre perception du temps au cinéma. Car s’il est bien un moment où le temps se transforme, c’est celui du cinéma, des films et de notre visionnage de ceux- ci. Extraits : « Rapide », Paul Rigoux (production Le Grec, 2022) « Les harmonies Werckmeister », Béla Tarr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'24 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'37 Un film qui donne envie de courir vite : (Leox Carax, 2021) La perception temporelle des films en fonction de leur mode de visionnage - 16’47 De l’importance de voir des films dans le train - 19’53 III. CARTE BLANCHE SPECIALE LENTEUR - 23'36 Une séquence magnifiquement longue : l’ouverture des (Béla Tarr, 2000) Une séquence que Paul souhaiterait ralentir : la recherche du son dans la salle de mixage de (A. Weerasethakul, 2021) - 29’48 IV. MUSIQUES - 34'26 Une BO qui arrête le temps : de Björk (, Lars von Trier, 2000) - 34’26 Une BO qui accélère le temps : la musique de Oneothrix point never pour (fères Safdie, 2017) - 38’11 REFUGE - 41’08 Un film où le temps est parfait : (Jim Jarmusch, 2016) REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la réalisatrice Dominique Cabrera. L’esprit affuté et enthousiaste, elle nous partage les films qui ont marqué sa cinéphilie et son envie de faire des films, de son enfance bordée par Charlie Chaplin et John Ford, jusqu’à l’âge adulte marqué par d’autres cinéastes, comme l’italien Vittorio de Seta qu’elle a eu la chance de rencontrer. En plongeant dans les méandres de sa mémoire, elle en ressort avec des bouts de son et d’images, notamment des films de Jean Renoir, dont la musicalité des voix l’émerveille. Ce rapport au son et à la musique guide tout son parcours et notre entretien, de Jean Renoir à Jaques Demy en passant par Alain Resnais et Paul Vecchiali, pour faire entendre une vie de cinéaste. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT-5’50 __ __ II. MEMOIRE & SOMMEIL - 26’44 Enfance et adolescence de la cinéphilie de Dominique Cabrera : de son rapport à la TV à sa découverte de la salle de cinéma. De John Ford à Jean-Luc Godard III. CINEMA & TRANSMISSION - 38’44 Un film à transmettre aux générations futures ? (Vittorio de Seta, 1961) FILM REFUGE - 46’57 (Jacques Demy,1982) + (Paul Vecchiali, 1979) Archives : La grande illusion, Jean Renoir (Théâtre du temple Distribution); Muriel ou le temps d'un retour, Alain Resnais (Potemkine) REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Charlotte Garson, critique de cinéma et rédactrice en chef adjointe aux Cahiers du Cinéma - et c’est assez important de le noter car c’est la première femme à occuper ce poste depuis la création de ladite revue. A notre micro, elle se confie et s'interroge sur son goût pour le cinéma dit "classique" (de Renoir à Pialat en passant Leo McCarey) et sur la meilleure façon de transmettre ces "chefs-d'oeuvre", à l'écrit, mais aussi à l'oral, dans les salles, au contact des spectateur·ices. Nous avons aussi parlé de son amour pour la critique parlée et pour la radio (média éminemment cinématographique). Et enfin - et surtout - nous avons parlé d'amour tout court sous bien des formes, du trouple de "Sérénade à trois" (Lubitsch) à la romance ultime "Elle et Lui", sans oublier "A nos amours" (Pialat), dont elle n'est jamais revenue. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'58 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20'08 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 28'51 __ __ CARTE BLANCHE - 34'47 La grande illusion (Jean Renoir, 1937) : quand les prisonniers reçoivent une malle de vêtements féminins. IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 42'06 __ __ REFUGE(S) - 59'12 __ __ REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Luce Grosjean, distributrice chez Miyu, société de productions de films d’animations, et plus particulièrement de courts métrages d’animation. Evoquant aussi bien les « films de viande » (films en prises de vue réelle) que les films d’animations, Luce nous parle de son amour pour la couleur verte de « Vertigo » (A. Hitchkock), les scènes traumatisantes et les making off de N. Shyamalan dans « Le Sixième sens », et la fluidité du très beau « The Social Network »(D. Fincher) - à consommer surtout en cas de turbulences aériennes. Revenant ensuite à sa cinéphilie adolescente, notre invitée décrit sa première rencontre avec l’inclassable film de C. Marker « Sans Soleil » qui représente cet « endroit vague » où peu d’informations nous sont donnés mais où - si on veut bien l’accepter - le cinéma nous emmène dans un ailleurs perturbant, sublime, et surprenant. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'55 __ __ II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 16’19 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 28'46 __ __ CARTE BLANCHE - 38'05 (Chris Marker, 1983) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 46'41 Un film qui vous aiderait à dire : le cinéma d’animation c’est du cinéma, et ce n’est pas que pour les enfants ? (Tomek Popakul, 2019) - 46'41 Un film à transmettre aux générations futures ? (B. Dubois, 2020) - 53'24 REFUGES - 56'01 (D. Fincher, 2010) (J. Demy, 1967) REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux Remerciements spéciaux : Nolwenn Thivault
Cinéphiles de notre temps est heureux de vous offrir une pastille exclusive ! Dans cet épisode bonus, notre dernier invité en date, Vincent Le Port, raconte pourquoi il a tant aimé produire , trilogie documentaire de son ami et monteur Jean-Baptiste Alazard. Pour plus d'infos, n'hésitez pas à vous rendre sur le site de leur société de production Stank : http://stank.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le réalisateur et producteur Vincent Le Port qui sortait le 23 mars dernier son premier long métrage , film marquant par sa beauté et son horreur. Pour dresser son portrait, nous sommes revenus ensemble sur les films charnières de son adolescence, des (R. Sattouf) à (Richard Kelly) en passant par l’incroyable (G. Van Sant). Nous avons également parlé de la pellicule, qui l’accompagne autant dans sa fabrication de films que dans ses plaisirs de spectateur, avec les films de Kelly Reichardt et de Vincent Gallo. Notre invité a aussi évoqué son amour des comédies grinçantes, où il y a « quelque chose qui gratte », avec la version anglaise de la série (Ricky Gervais, Stephen Merchant) - mais aussi la joie simple d’oeuvres comme le très beau (Olivier Dekegel) ou le très récemment ressorti (R. Rossellini). Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 6’07 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17’44 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 23’30 __ __ CARTE BLANCHE - 33’16 (Kelly Reichardt, 2016) IV. TRANSMISSION - 41’39 Un film auquel Vincent voudrait rendre hommage dans son travail : (R. Rossellini, 1950) - 42’27 REFUGES - 47’25 __ __
Dans ce nouvel épisode nous fêtons les 3 ans d’existence de Cinéphiles de notre temps et nous n’accueillons pas un mais 15 invité·es. Pour nos trois ans, nous sommes allés à la rencontre de jeunes cinéphiles âgés de 15 à 22 ans qui font partie de l’Autre ciné-club de la cinémathèque française, pour leur demander quel était leur film refuge. Chloé, Eglantine, Felix, Elias, Charlotte, Antonin, Keyvan, Nathan, Vlad, Louise, Marine, Quentin, Clara, Violette et Julie ont joué le jeu de nos entretiens et nous ont révélé un pan de leur cinéphilie à travers la description de leur film-refuge - en revenant sur ce que voulait dire « refuge » pour eux. De La La Land à la filmographie de Jacques Tati, en passant par la saga Doinel et au film d’horreur Tokyo Fist, nos jeunes cinéphiles on traversé tout un pan du cinéma français et international avec beaucoup de passion et de sensibilité. Pour une meilleure compréhension de l’épisode, nous avons rassemblé leur témoignages en 5 grandes thématiques et les avons fait discuter autour de ces thèmes par groupe de 3. Cet épisode a été réalisé avec l’aide précieuse d’Elodie Imbeau et de toute l’équipe du service pédagogique de la Cinémathèque Française. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. COMEDIES - 2’43 Louise - film refuge : (Wes Anderson, 2001) Marine - refuges : (JP Jeunet, 2001) et Louis de Funès Quentin - refuges : (D Chazelle, 2016) et les comédies musicales II. ENFANCES - 18’48 Chloé - Refuge : les films de Jacques Tati Eglantine - Refuge : (J Demy, 1967) Félix - Refuge : Hitchcock, Truffaut et plus particulièrement la saga Antoine Doinel III. GRAND SPECTACLE - 33’20 Elias - Refuge : (H Miyazaki, 2008) Charlotte - Refuge : (D Chazelle, 2016) Antonin - Refuge : (S Tsukamoto, 1995) IV. FILMS-SAGAS - 44’58 Nathan - Refuge : la saga Harry Potter Keyvan - Refuge : la saga Pirates des Caraïbes Vlad - Refuge : (G. Miller, 1981) V. REFUGES LIÉS AU CONTEXTE DE DECOUVERTE - 55’35 Violette - Refuge : (T Angelopoulos, 1998) Julie - Refuge : La saga Antoine Doinel et particulièrement L’amour en fuite (F Truffaut, 1979) Clara - Refuge : (S Chbosky, 2012) REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux Remerciements spéciaux : Elodie Imbeau et les clubbers de L'Autre Cinéclub de la Cinémathèque Française
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Antoine Barraud, réalisateur de films - notamment du récent - mais aussi producteur et fondateur de la société « House on fire », et enfin foisonnant cinéphile pour qui faire et regarder des films relève du même élan. Amateur de cinéma expérimental autant que de gros blockbusters, notre invité fait le grand écart entre les courts métrages sublimes et sulfureux de James Bidgood, et le célèbre mélodrame (R. Benton) - avec la même passion. Adorateur de la figure du monstre, il dresse un large tableau du cinéma où le monstre n’est jamais loin - de (C. Denis) à (N. Shyamalan) - où il est toujours en prise avec le réel, et où l’émotion du cinéma nait précisément de cette friction entre le monstrueux et une certaine réalité, voire banalité, du quotidien. Ce faisant, Antoine Barraud peint le portrait d’une cinéphilie gourmande, politique, joyeuse, sensible, où les films deviennent des véritables choc de vie, où les sublimes mensonges du cinéma deviennent des images résonnant avec une justesse infinie dans nos corps et dans nos esprits. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 8'34 __ __ II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23'46 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 31'53 __ __ CARTE BLANCHE - 45'03 __ __ IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 51'41 __ __ REFUGE - 55'52 La filmographie de Vincente Minnelli
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Nathalie Richard, actrice devant la caméra et comédienne sur les planches depuis plus de 40 ans, habitant le cinéma français et d’ailleurs à travers plus de 60 films, ayant collaboré avec des cinéastes aussi différents que Jacques Rivette, Bertrand Mandico, Catherine Corsini et Mickael Haneke. Cette cinéphile enthousiaste et généreuse nous plonge dans un cinéma d’antan, entre le de Vigo, le *GERTRUD Le Colonel ChabertMemoria d’A.Weerasethakul, et bien d’autres encore. Enfin, attachée aux voix du cinéma et à la pensée qui y est liée, elle nous parle des voix qui la guident dans son métier d’actrice autant que dans son plaisir de spectatrice - et qui ont marqué d’une manière ou d’une autre l’histoire du cinéma : d’Orson Wells à James Mason, en passant par Ingrid Bergman et Delphine Seyrig. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT – 5’26 __ __ II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19’00 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL- 28’17 __ __ CARTE BLANCHE - 36’09 (D. Sirk, 1959) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44’22 Des films captant “l’ère du temps” : (A. Weerasethakul, 2021), (Lars von Trier, 2011), (PP Pasolini, 1975), la filmographie de Wang Bing REFUGES - 54’21 Les voix des actrices Brigitte Mira et Delphine Seyrig REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Mixage : Hugo Cohen Graphisme : Lucie Alvado Création, animation, réalisation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Lou Howard, actrice, comédienne de doublage, youtubeuse, et musicienne. Cette cinéphile d’une nouvelle génération nous parle de ses films boussoles qui ont construit son rapport au cinéma, entre les oeuvres de Quentin Tarantino, et notamment les films « Kill Bill », les comédies musicales « La La Land », « A star is Born » et « Dirty Dancing », ou encore le mélancolique film de Tim Burton « Big Fish ». Parmi ces oeuvres qui composent sa cinéphilie, notre invitée revient plus en profondeur sur sa vision du cinéma : comment celle-ci s’est construite à travers différents formats - de la salle de cinéma aux vidéos YouTube, en passant par la série - et comment son métier de comédienne a pu influencer son expérience de spectatrice. Le cinéma est, pour notre invitée (et pour beaucoup on le croit) avant tout un moment privilégié avec une histoire et un travail collectif, qu’il est bon de chérir et de préserver. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'08 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'52 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 23'53 __ __ CARTE BLANCHE - 32'04 La fin de (Phoebe Waller Bridge, 2016-2019) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'54 __ __ FILM REFUGE - 51'19 La trilogie (Peter Jackson, 2001-2003) en VO et VF REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Etienne Métras, fondateur de la plateforme OUTBUSTER qui met en lumière des films étrangers sortis de nos radars - ou n’y étant jamais entrés. Ce cinéphile explorateur a mis son gout du cinéma au service du numérique et des plateformes pour penser une autre manière de conseiller les films sur internet - qui ne soit pas celle d’un algorithme mais de ceux qu’on apprécie lorsqu’on est en manque de bons films. Du Japon jusqu’à l’Australie, en passant par Cuba, notre invité fait le tour du monde pour nous prouver qu’on peut trouver de merveilleux films partout, et surtout là où on ne s’y attend pas. Parmi ses belles pépites, vous pourrez trouver le beau de la réalisatrice japonaise Mipo Oh, où le câlin devient un plot twist, mais aussi le jouissif où l’on découvre une nouvelle forme d’art martial, mais aussi le sublime et douloureux film de Jennifer Kent qui mériterait bien plus que les sifflement qu’il a reçu lors de sa projection à la Mostra de Venise. Tout au long de ce long entretien, Etienne Métras nous décrit avec beaucoup d’humanité et d’humilité, combien l’expérience du cinéma est avant tout un art du ressenti, où l’émotion doit primer devant toute forme de jugement ou d’analyse. Et ce qui est important, c’est que chacun puisse mettre ses propres mots sur cette expérience. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 7’11 __ __ II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17’22 __ __ III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 31’54 __ __ CARTE BLANCHE - 40’03 __ __ IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 46’10 __ __ FILM REFUGE - 54’06 Pas de refuge ? (B de Palma, 1974) REMERCIEMENTS Musique : Gabriel Rénier Graphisme : Lucie Alvado Création & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Mathieu Macheret, critique de cinéma pour de nombreux journaux et revues (Le Monde, les Cahiers du cinéma, Trafic, et d’autres…) mais aussi sur les ondes (notamment sur France Culture) et dans de nombreuses conférences. Cinéphile passionné et passionnant, volubile autant dans sa plume que dans sa parole, Mathieu Machette tisse des ponts entre sa pratique de spectateur et sa pratique de critique pour mieux définir ce qu’il considère être la « cinéphilie » : cette histoire affective de partage amoureux de films. Parmi les oeuvres qui jalonnent la vie cinéphilique de notre invité, vous pourrez découvrir le tragique et somptueux film de D.Lynch , mais aussi l’inclassable de Chris Marker, ou encore le célèbre d’Alfred Hitchckok. Mathieu Macheret n’hésite pas à sortir aussi des sentiers battus pour nous parler de son amour de l’alcool au cinéma qui « transforme les personnages » comme il le raconte si bien, mais aussi des pépites trop méconnues du cinéaste Josef Von Sternberg - sur lequel il a d’ailleurs écrit un livre - et notamment son travail sur la lumière qui façonnait ses images de manière si particulière. On en profite pour remercier nos patreons qui nous aident et nous soutiennent financièrement dans notre travail : un grand merci à Paul, Clara, Bernard, Jean-Noel, Paul, Irène, Guillaume et Lila ! Votre soutien nous est précieux. I. PORTRAIT - 6’09 __ __ II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23’17 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31’13 __ __ CARTE BLANCHE - 40”46 (K. Otomo, 1988) IV. TRANSMISSION - 46’35 __ __ REFUGE - 54’54 (A. Hitchcock, 1958)
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Para One - aka Jean-Baptiste de Laubier - compositeur de musique de films (notamment de ceux de Céline Sciamma), réalisateur (son premier long métrage sort d’ailleurs au cinéma le 20 octobre 2021), mais aussi producteur de musique et DJ. Hanté par la question de la mémoire, du souvenir, de l’oubli, et de comment le cinéma se réapproprie ces problématiques, notre invité n’a eu de cesse de convoquer des films en rapport avec ces thématiques : de la voix off de (Chris Marker), aux sublimes images du film d’Andreï Tarkovski , tout en passant par l'un des films les plus inconnus de Wim Wenders, , forme de déambulation romantique et improbable dans la ville de Tokyo des années 80. En déroulant la fragile bobine de sa mémoire cinéphile, notre invité décrit les films comme de multiples expériences de vie qu’on lierait parfois à notre propre vécu, faisant de nos souvenirs des moments mi réel, mi rêvé. Parmi ces belles expériences, vous trouverez, entre autre, une magnifique description de la scène de danse sous la pluie, au son des tambours, filmée par Naomi Kawase dans son film . Ou encore « la scène du train » du film de J.Skolimowski, où le personnage principal saute d’un train lancé à plus de 60km, sans aucun effet spécial - et l’on se demande alors si cette scène a bien été tournée ou si elle n’est que le fruit de notre imagination hallucinée. On en profite pour remercier nos 5 premiers patreons qui nous aident et nous soutiennent financièrement dans notre travail : un grand merci à Paul, Clara, Bernard, Jean-Noel, et Paul ! Votre soutien nous est précieux. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'30 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONAGE - 16'46 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 23'20 __ __ CARTE BLANCHE - 33'16 __ __ IV. CINEMA & TRANSMISSION - 40'31 __ __ FILM REFUGE - 55'31 __ __
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Clara Benyamin - alias Clara Kane, sur les réseaux - avocate en droit de la propriété intellectuelle spécialisée dans le cinéma et les artistes auteurs, mais aussi productrice de podcasts, talent du CNC, et surtout cinéphile passionnée. Ensemble, nous avons évoqué le cinéma dans tous ses genres, de la comédie romantique () au film d’horreur (), en passant - logiquement - par la comédie gothique (). Clara nous a aussi fait part de son amour pour des curiosités comme , film au goût de bonbon rance et de pizza froide, proposant une descente aux enfers tout en couleurs et en costumes dans le milieu queer américain des années 90. Enfin, notre invitée, qui a mis très tôt la cause féministe au coeur de son travail, nous a parlé de ces films qui changent le regard à jamais : les films de Julia Ducourneau, et plus spécifiquement qui transforme des jeunes filles en fleurs en cannibales, ou encore le road-movie dont l’énergie libératrice nourrit désormais des générations de cinéphiles. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 6’46 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20’42 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 29’50 __ __ CARTE BLANCHE - 38’58 (Ridley Scott, 1991) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44’11 __ __ REFUGE - 55’09 (Robert Luketic, 2001)
Trailer de présentation du podcast Cinéphiles de notre temps
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Barbara Carlotti, chanteuse, réalisatrice, animatrice radio, créatrice de clips loufoques et de BD musicale - entre autre. Ensemble, nous avons parlé musique au cinéma, sous toutes ses formes : tout d'abord dans les comédies musicales comme celles de Bob Fosse ( - 1966, - 1979), ou encore dans le merveilleux film de Brian de Palma . Nous avons aussi évoqué les chansons qui font plonger les films dans une autre dimension, et leur donne un air d'opéra : parmi d’autres, citons la chanson de Roy Orbinson « In dreams » dans le de D.Lynch. Et enfin, il y a les musiques qu'on ne peut séparer d'un film, qui font parties de son ADN, et qui l'ancrent dans une époque : nous avons ainsi plongé dans les années 1980 et ses multiples « teen-age movie » emblématiques, notamment dans les films de John Hughes, entre autre. Mais notre invitée ne s'est pas arrêtée là et nous avons discuté ensemble de l’importance de la pellicule, de la puissance des images du rêve, de la nécessité d’avoir des films de Noël, ou encore des films qu’il faudrait - selon elle - envoyer aux extraterrestre pour faire leur connaissance. I. PORTRAIT - 6'03 __ __ II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15'00 __ __ III. MEMOIRE & SOMMEIL - 28'43 __ __ CARTE BLANCHE - 35'28 (D. Argento, 1987) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 42'52 __ __ REFUGES - 51'15 Les films de John Waters (); (E. Lubitsch, 1940)