durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - Après les avoir désunis, la mort rend enfin justice à l'amour de Cathy et Heathcliff.
durée : 00:28:10 - Le Feuilleton - Heathcliff séquestre Catherine et la force à épouser son fils mourant afin d'hériter du manoir de la Grive.
durée : 00:28:32 - Le Feuilleton - La jeune Catherine a été tenue éloignée de Heathciff et de son fils Linton jusqu'au jour fatal de ses seize ans.
durée : 00:28:00 - Le Feuilleton - A bout de force et de chagrin, Cathy meurt en donnant naissance à une petite fille à laquelle on donne le prénom de sa mère.
durée : 00:28:13 - Le Feuilleton - Heathcliff, défiant la surveillance du mari de Cathy, réussit à se faufiler jusqu'à la chambre de la malade.
durée : 00:28:33 - Le Feuilleton - Cathy, déchirée entre son mariage avec le fils Linton et son amour pour Heathcliff tombe gravement malade, terrassée par un mal inconnu.
durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - Cathy s'est liée d'amitié avec le jeune fils des Linton. Heathcliff, fou de jalousie, devient de plus en plus sauvage.
durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - La sauvage Cathy, blessée aux abords du Manoir de la Grive est recueillie par la riche famille des Linton.
durée : 00:27:45 - Le Feuilleton - Mr Earnshaw revient chez lui auprès de sa femme et de sa fille Cathy avec un orphelin qu'il a recueilli. Il le baptise du nom de Heathcliff
durée : 00:28:18 - Le Feuilleton - Wuthering Heights est le nom de la demeure de Mr. Heathcliff. "Wuthering " décrit le tumulte atmosphérique auquel le site est exposé quand souffle la tempête.
durée : 00:25:30 - Le Feuilleton - "Le vendredi 25 janvier 2008 ma mère m'a téléphoné, j'étais sur le point de sortir, je me suis assise sur le rebord de l'évier, nous avons parlé de choses et d'autres. Lucile m'a appelée ce vendredi matin, c'était la dernière fois et elle le savait."
durée : 00:23:51 - Le Feuilleton - "J’ai arrêté mes médicaments il n'y a pas de quoi s'affoler je n’en peux plus de vivre comme un légume je ne veux plus de cette vie-là je veux vivre les choses les ressentir être vivante."
durée : 00:24:16 - Le Feuilleton - "Pendant plusieurs années, ma mère a vécu sous camisole chimique. Son regard était fixe, embué, une pellicule fangeuse semblait s'y être collée. Derrière les yeux, on pouvait deviner les comprimés pris à heure fixe, le temps étale et sans relief."
durée : 00:24:09 - Le Feuilleton - "Lucile ouvre les yeux sur sa vie dévastée. Elle est en train de perdre la garde de ses enfants, elle a dépensé l'argent qu'elle n'a pas, elle a fait et dit n'importe quoi. Cela a eu lieu, cela est irrémédiable."
durée : 00:24:30 - Le Feuilleton - "Peut-être est-ce cela, le plus difficile, n'avoir jamais pu haïr Georges, mais n'avoir jamais pu l'absoudre non plus. Lucile nous a laissé ce doute en héritage, et le doute est un poison."
durée : 00:24:29 - Le Feuilleton - "Ces années ont été pour Lucile un temps de grande solitude (elle l'a souvent dit), et ont contribué à la destruction de sa personne (c'est moi qui l'écris). La rencontre de Lucile et Gabriel reste à mes yeux la rencontre de deux grandes souffrances."
durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - "Liane découvre l'adolescent allongé sur son lit, un sac en plastique enfoncé sur la tête. Elle se jette sur lui, retire le sac d'un geste brusque et découvre son visage. Sa bouche est restée ouverte, à la recherche d'air."
durée : 00:24:03 - Le Feuilleton - Une larme coule sur la joue de Lucile. Elle ne veut plus faire de photos, voilà tout, elle le redira à sa mère. Elle n'est pas cette jeune fille en jupe plissée, elle n'a rien à voir avec ce simulacre de douceur qu'on veut lui faire jouer."
durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "Sans doute avais-je envie de rendre un hommage à Lucile, de lui offrir un cercueil de papier et un destin de personnage. Mais je sais aussi qu'à travers l'écriture je cherche l'origine de sa souffrance. Est-ce que la souffrance était déjà là ? "
durée : 00:24:41 - Le Feuilleton - "Mon fils me rappelait à l’ordre: un chat s’appelait un chat. Grand-mère s’était suicidée, oui, foutue en l’air, elle avait baissé rideau, lâché l’affaire, elle avait dit stop, basta, terminado, et elle avait de bonnes raisons d’en arriver là."
durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "Les irréversibles courants de libération de la femme qui fouettent le monde, ne me laissent pas indifférente. Cet ébranlement qui viole tous les domaines, révèle et illustre nos capacités."
durée : 00:28:26 - Le Feuilleton - "On dévisageait la femme mûre sans compagnon. Je feignais l’indifférence, alors que la colère martelait mes nerfs et que mes larmes retenues embuaient mes yeux. Je mesurais, aux regards étonnés, la minceur de la liberté ; accordée à la femme."
durée : 00:29:12 - Le Feuilleton - "L’amitié a des grandeurs inconnues de l’amour. Elle se fortifie dans les difficultés, alors que les contraintes massacrent l’amour. Elle résiste au temps qui lasse et désunit les couples. Elle a des élévations inconnues de l’amour."
durée : 00:29:09 - Le Feuilleton - "Premières pionnières de la promotion de la femme africaine, nous étions peu nombreuses. Des hommes nous taxaient d’écervelées. D’autres nous désignaient comme des diablesses. Mais beaucoup voulaient nous posséder."
durée : 00:29:27 - Le Feuilleton - "J’écoute des mots qui créent autour de moi une atmosphère nouvelle où j’évolue, étrangère et crucifiée. La mort, passage ténu entre deux mondes opposés, l’un tumultueux, l’autre immobile."
durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Gloria s’enferme dans la salle de bains. Cris étouffés, pour ne pas qu’on l’entende. Elle se griffe, se frappe, au visage, à la poitrine, au ventre."
durée : 00:28:40 - Le Feuilleton - "Gloria aimerait profiter du moment, mais l’allégresse qui l’emplissait depuis quelques jours s’est éteinte brutalement, remplacée par un vif début de panique"
durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Gloria sentait que ça lui revenait, elle aussi, au galop, le goût d’être avec Eric. Et cette fois sans personne pour les surveiller. "
durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - "Gloria avait l’habitude des keufs, des éducs, des assistantes sociales et toute cette faune de pauvres débiles vivant sur le dos du désarroi adolescent."
durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Gloria remonte la rue à grandes enjambées, sous une pluie qui se prend pour une douche. Trempée, elle se sent conne, cradingue et super à la rue… "