Salut ! Parce que cette année a été particulièrement riche et peut-être éprouvante aussi pour certaines et certains d’entre vous, je souhaite marquer le coup et la conclure avec vous qui prenez le temps d’écouter parlons B. Pour ça, j’ai eu envie de vous dire quelques mots et vous lire un passage du livre d’Elisabeth Gilbert « Comme par magie ». Pour info, c’est elle qui a écrit le fameux « Mange, pris, aime » incarné par Julia Roberts. Dans « Comme par magie », elle incite à la créativité, à aller chercher les trésors cachés en nous. Selon elle, nous en sommes toutes et tous dotés. Je la crois. Il suffit de regarder toutes les personnes que j’ai interviewées ces trois dernières années. Certaines se diraient sûrement pas créatives pour un sous et pourtant elles ont monté un concept, une marque. Il ne s’agit de vous inciter à devenir des entrepreneurs, ce n’est pas le but et je ne crois pas à la start up nation à outrance. Ici, l’idée est plutôt de vous partager une petite réflexion personnelle. L’extrait que je vais vous lire est tiré du chapitre intitulé « Culot ». Pourquoi je m’apprête à faire cela me direz-vous ? Parce que les questions que je pose à mes invité/es sont aussi pour vous. Que le principe de ce podcast est de parler de Beauté et de bien-être avec un grand B et qu’il ne s’agit pas seulement d’écouter les autres mais de prendre conscience que chaque parcours, le vôtre inclus, vaut la peine d’être écouté, raconté. C’est ça pour moi le beau. Vous avez sûrement remarqué que je conclus toujours mes épisodes par la question « à quel moment vous sentez-vous belle/beau et confiant/e ? » Je vous la pose à vous aussi maintenant. Je vous souhaite donc beaucoup de beauté et beaucoup de culot pour 2024. A bientôt.
On me demande souvent comment je trouve mes sujets de podcast ou d’article. Je réponds alors que c’est grâce à toutes les informations que je reçois des nombreuses attachées de presse, grâce à mon algorithme sur les réseaux sociaux qui très orienté beauté et aussi parce que j’observe et écoute beaucoup. La marque que je m’apprête à vous présenter, elle m’a tapé dans l’oeil avant même que je la teste. La DA était réussie sans aucun doute, le wording était intriguant et je ne sais pas, l’instinct a parlé. Puis je l’ai essayée et j’ai adoré mais j’avais besoin de comprendre et vérifier ce fameux choix des mots comme « mimétisme de la peau ». Pour moi, tous les soins de la peau cherchent, d’une certaine manière à l’imiter pour la renforcer davantage. Mais c’était sans compter l’explication claire et précise de Fabienne Sebaoun, scientifique et fondatrice de Mimétique. Ensemble, nous avons parlé de chimie verte, d’actifs capables d’entrer en parfaite affinité avec la peau et de l’importance de reprendre ses études, qu’importe l’âge. Bonne écoute !
La sensorialité en beauté est pour moi très importante. Je reconnais que je prête beaucoup attention à ce qu’on appelle la DA de la marque, c’est à dire à son univers, ses images, à ses packagings, à ses odeurs et à ses textures aussi. Je crois beaucoup au pouvoir du cerveau et des sensations, des émotions. Et que, certes, une formule de qualité est impérative pour avoir des résultats mais ces derniers seront décuplés si on prend du plaisir à utiliser tel ou tel produit. Un point essentiel partagé par Sophie-Lisa Precheur et Quentin Douce lorsqu’ils ont décidé de lancer PERS. Tous les deux sont issus de grands groupes de la beauté, des produits, ils en ont vu passer. Ils ont donc misé sur une routine minimaliste ultra désirable avec des textures très surprenantes. Ensemble, on a parlé des piliers essentiels pour prendre soin de sa peau et de texture évidemment. Bonne écoute !
Ah le bien-être ! Une grande histoire depuis une petite dizaine d’années. Quand j’ai commencé le journalisme en beauté, je suis arrivée à l’explosion de ce mot et au fait que l’on ne parle plus de beauté sans évoquer la notion de bien-être. C’est simple, ce marché est l’un des plus exponentiels qui soit. Le créneau méditation et sport par exemple représenterait à lui seul plus de 500 milliards de dollars. Cet essor a favorisé la conscience de prendre soin de soi, la démocratisation des sujets de santé mentale etc. Mais il se peut aussi que vous vous soyez senti.e obligé.e d’aller bien, d’entretenir votre bien-être, d’aller faire du yoga avec plaisir mais de ne pas être à l’aise dans la salle pour de multiples raisons (manque de représentativités et diversités, élèves aux profils physiques et vestimentaires très similaires, appropriation culturelle etc.). J’ai moi-même probablement contribué à ça tant dans ma vie pro avec des articles très portés sur le sujet que dans ma vie perso. Mais je reconnais ressentir une gêne depuis quelques années. Et cet été, j’ai enfin lu le brillant livre « Politiser le bien-être » de Camille Teste publié dans la collection Sur la Table de Binge. J’ai tout simplement adoré et je me suis exclamée : enfin ! Camille est une ancienne journaliste qui est devenue prof de yoga. Je me suis donc empressée de la contacter à la rentrée et nous voilà à parler par caméras interposées. Ensemble, nous avons discuté d’injonctions, des choses qui ne vont pas dans le bien-être, des pistes à creuser pour améliorer tout cet univers qui fait du bien par ailleurs et de son futur podcast. Bonne écoute !
Le soin des pieds frôle l’obsession en ce qui me concerne. Il parait que c’est lié à mon signe astral. Amis Poissons faites moi signe si c’est votre cas aussi ! En attendant, lorsque j’ai croisé Thérèse lors du salon The New Well au Carreau du Temple à Paris cela ne pouvait que matcher entre nous car c’est précisément cette problématique qui la poussait à lancer sa marque Koba. Son problème beauté récurrent : les pieds secs et potentiellement abimés. Impossible de trouver la formule qui lui convient tout en étant abritée dans des packs tout aussi désirable. J’ai d’autant plus été conquise quand elle m’a racontée la genèse de sa marque et l’ingrédient star qu’elle met en avant : l’huile de safou, un fruit jamais utilisé jusque là en cosmétique. Intriguée, je lui ai donc proposé qu’on enregistre un épisode avant qu’elle ne s’envole le lendemain pour NY. Ensemble, nous avons parlé d’aventure familiale, du Congo, d’hydratation efficace et des up and down de l’entrepreneuriat. Bonne écoute !
Pour ce deuxième épisode de la rentrée, j’ai voulu que l’on creuse ensemble le pouvoir des odeurs et de notre cerveau ! Et pour cela, rien de telle que l’expertise de Patty Canac. Spécialiste en aromachologie et huiles essentielles, cette passionnée associe avec brio l’art de la parfumerie et l’approche thérapeutique. Elle travaille autant auprès de parfumeurs ou de marques de soin qui accordent une grande importante aux odeurs que dans les hôpitaux pour aider et accompagner les patients. L’olfaction est un super pouvoir bien trop souvent sous estimé or Patty, parvient à raviver des mémoires effritées pour ne pas dire perdues par le biais des odeurs. Ensemble et à distance, nous avons parlé de son expérience, de son approche des huiles essentielles et de ses tips en matière d’odeur à avoir toujours sur soi. Bonne écoute !
Ma passion pour le parfum est grande, très grande. Selon moi, c’est le super héros dans toute sa splendeur : il vous ouvre les portes de lieux merveilleux, il vous fait voyager, il vous drape de pouvoir selon l’intention et l’humeur désirée pour bien commencer la journée, et il convoque vos plus beaux souvenirs en un temps recors. Un champ des possibles infini qu’un parfumeur de niche est parvenu à raviver en moi : Maison Crivelli. Créée en 2018 par Thibaud, cette maison de haute parfumerie propose des jus particulièrement originaux. Par ce terme j’entends que la partition olfactive sort de tout ce qu’on à l’habitude de sentir, tout en restant très accessible pour les nez les moins confirmés. Ce botaniste émotionnel, comme il se définit, est un baroudeur et véritable conteur. Il a décidé d’incorporer son goût du voyage et des histoires dans ses parfums inattendus que je qualifierais de joueurs. Car les accords sont osés tout en partant de notes que vous connaissez. Ils ont juste ce twist élégant qui marquera votre sillage pour longtemps. Ensemble, nous avons parlé de son parcours, de ses origines familiales qui l’ont nettement influencées, de ses très nombreux voyages et d’odeurs évidemment. Bonne écoute !
Salut ! C’est le top départ de la saison 4 (déjà) de parlons B. J’espère que vous avez passé un très bel été et si vous êtes nouvelles / nouveaux par ici bienvenu ! Avant d’entrer dans le vif du sujet je tiens à vous dire que quelques petites choses vont changer avec de nouveaux rendez-vous en prime. Comme vous le savez, je suis seule sur ce projet que je réalise en parallèle de mon métier de journaliste. Depuis bientôt trois ans je prépare, enregistre, mène des échanges et monte des épisodes quasi hebdomadaires, seule. C’est un travail titanesque que j’adore faire. En toute transparence, il m’arrive parfois de réussir à être rémunérée à travers des collaborations et quand c’est le cas, je le précise toujours. Sachez que cela ne change en rien ma rigueur professionnelle, que je reste la seule juge de mes épisodes et que je ne ferai jamais d’entorse à ma ligne éditoriale. Néanmoins, c’est important pour moi de vous préciser ce point car, de vous à moi, je trouve que l’on perd un peu la valeur des choses. L’accès à l’information gratuite est une véritable chance mais on oublie, souvent, que ce sont encore des personnes (pour le moment - coucou l’IA) parfois indépendantes comme moi qui travaillent dur pour décrypter, analyser, interviewer. C’est du temps, c’est de l’énergie et c’est important d’en avoir conscience. Je sais combien les mois qui arrivent vont être intenses pour ne pas dire difficiles, je sais aussi qu’il m’arrive de mettre en avant des marques qui ont un certain coût. Ça aussi, je le fais avec vigilance. Cependant, nous avons je crois toutes et tous notre part de responsabilité. Moi de redoubler d’effort et de travail pour vous proposer du contenu je l’espère de qualité. Vous, de soutenir les podcasteurs et podcasteuses que vous aimez. La bonne nouvelle c’est que cela ne demande seulement que quelques secondes de votre temps. Il suffit juste de partager, noter, commenter et taguer les épisodes que vous avez aimés. Je vous assure, ça fait une réelle différence sans parler du cercle vertueux que cela crée. Ceci dit, sachez que la saison 4 s’annonce très riche. Les épisodes vont se réduire, parfois, à deux par mois. Mais, entre les deux, l’idée est de vous faire un petit compte rendu en quelques minutes seulement de mes lectures et autres découvertes sur la beauté au sens large. Ce nouveau rendez-vous s’intitulera « La Revue » est j’espère qu’il vous plaira. J’ai d’autres idées en stock mais j’attends de les maturer un peu avant de vous en parler. Je vous souhaite une belle rentrée et vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour le premier épisode de la saison. Indice : il va vous faire voyager. Pas mal pour commencer ?
Susan Oubari est professeure de breathwork et Emilie Veyretout a été pendant 10 ans la rédactice en chef beauté et bien-être du Figaro. Elles ont écrit ensemble le livre "Breathwork, repspirez pour changer" aux éditions Flammarion qui porte sur une méthode de respiration pas si nouvelle. Le principe ? Replacer le fait même de respirer au centre de tout et réapprendre à bien le faire au quotidien. Inspirez. Expirez. C'est parti ! En complément de cet épisode, Susan a enregistré une séance de breathwork à retrouver en exclusivité sur le compte Instagram @parlonsbpodcast https://www.instagram.com/parlonsbpodcast/?hl=fr
Pour ce nouvel épisode, nous allons parler vulve. Ce sujet va pas mal revenir sur Parlons B. tout simplement parce qu’il a été mis de côté pendant des années et qu’il mérité d’être abordé. On évolue dans un monde où parler beauté ce n’est plus seulement parler mascara ou parfum mais c’est aussi parler bien-être, microbiome. Alors pourquoi ne pas parler de son bien-être en bas quand on affirme aujourd'hui que la beauté est un tout ? J’en parle avec Bethsabée Krivoshey et Cécila Capece, les fondatrice de la marque Baûbo dont l’un des soins est fait pour hydrater et soulager la vulve. Car leur objectif est de se réapporprier sa vulve. D’ailleurs ce mot est utilisé à dessein car d’après elles, il fait peur. Mais enfin ?! Ecoutons les.
La chirurgie esthétique est un sujet très vieux, un peu moins tabou dernièrement car plus démocratisé mais il reste autant sollicité que décrié. Pour en parler, j’ai invité Isabelle Sansonetti, journaliste pendant près de 20 ans au magazine ELLE. Isabelle y a fait de cette thématique sa marotte. A tel point qu’elle a sorti un livre « J’y vais j’y vais pas » aux éditions Lattès. C’est un recueil extrêmement documenté et particulièrement clair à propos de la chirurgie, de la médecine esthétique et de toutes interventions qui existent. Ensemble, nous avons donc parlé rhinoplastie mais aussi confiance en soi, dysmorphophobie et du métier de journaliste beauté, évidemment. Bonne écoute !
Le pouvoir de la lumière et surtout des Leds n’est plus à présenter mais combiné à des photo-actifs, c’est à dire des ingrédients de formules de beauté qui réagissent à son contact et à des massages, là il est bon de creuser. Réparer, régénérer, assainir, purifier ou encore illuminer… Tels sont les bienfaits de ce super combo lumière + actifs + massages. Il a fallu 7 ans à Géraldine Decaux et son équipe de scientifiques pour mettre au point Linghtinderm, une petite machine à l’allure léchée et ludique signée par un grand designer qui fait des merveilles. Ensemble, nous avons parlé tech de pointe française, beauté clean et régénération de la peau. Bonne écoute.
Breaking news : la ménopause concerne tout le monde et à tous les âges ! Ceci n’est pas un sujet tabou et il est au contraire très important de le dédiaboliser pour plusieurs raisons. D’abord parce qu’on a tous et toutes des hormones et que ça fait partie des étapes normales de la vie. La ménopause ne devrait pas être un problème, une fatalité ou une période que l’on subit. C’est au contraire un moment qui se prépare et s’accompagne. Parce que cette semaine il y a eu la journée de la ménopause, j’ai voulu en parler avec Sophie Kune alias @menopause.stories https://www.instagram.com/menopause.stories/?hl=fr sur Instagram qui en a fait son sujet de prédilection. Chez Marabout elle publie même « Ménopausée et libre ! Manifeste pour une ménopause réinventée ». Si vous ne vous sentez pas encore concernées par le sujet parce que je cite « vous avez encore le temps », restez quand même car en vous informant sur la ménopause vous vous faites un sacré cadeau en gagnant du temps et peut-être que vous pourrez en parler autour de vous avec votre mère, vos tantes ou qui sais-je encore. La ménopause c’est vous, c’est votre corps, c’est votre vie et on en parle avec Sophie. Bonne écoute.
Quand il s’agit des soins, le naturel et les formules dites clean sont devenus presque des incontournables. Mais qu’en est-il de votre fard à paupières ou de votre blush ? Eclo est une marque de maquillage made in France et 100% naturelle mais surtout elle ajoute à son palmarès les nouveaux termes de « beauté régénérative ». Qu’est-ce que c’est ? On va vous l’expliquer avec Priscille Charton, co-fondatrice de cette marque qui prend en compte les sols agraires dans lesquels poussent les actifs de ses produits. Mais en gros, il s’agit de n’opter que pour des ingrédients qui font du bien à la peau et à l’environnement en participant notamment à rebooster les sols appauvris et pollués et à limiter drastiquement l’impact et l’emprunte écologique. Bonne écoute !
Plus de 4,3. C’est le nombre, en million, du hashtag summer body rien que sur Instagram. L’injonction de devoir présenter un corps irréprochable selon des critères de beauté propre à chaque société ne date pas d’hier et a largement été alimentée par la presse féminine. Mais avec l’explosion des réseaux sociaux, le phénomène a pris une ampleur sans précédant. Si de plus en plus de comptes engagés se battent contre ces diktats, il n’en demeure pas moins que les phrases comme « bikini ready » ou « prêt pour la plage » perdurent même en blagues faussement insouciantes entre ami.es voire avec soi-même. J’ai voulu me pencher sur la question pour ce dernier épisode de la saison 2 en échangeant avec Megane Teisseire https://www.instagram.com/megane_teisseire/?hl=fr , professeure de yoga mais aussi diététicienne et nutritionniste. Ensemble nous avons parlé des risques de mettre son corps en stress quelques mois avant l’été, de l’importance de prendre soin de soi tout au long de l’année et de, si besoin, se faire accompagner par un.e professionnel.le. Et parce que Megane est quelqu’un de très positif, elle a malgré tout trouvé quelque chose de bien au fameux summer body, je vous laisse découvrir de quoi il s’agit. Bonne écoute !
Qui ne souhaite pas avoir de beaux pieds, surtout l'été ? Voici la rediffusion de l'épisode avec le pédagogue Bastien Gonzalez que vous avez adoré. Vous n'avez plus d'excuses pour vous pavaner dans vos plus jolies sandales. ☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️🐚☀️ 26 os, 16 articulations, 107 ligaments et 20 muscles… C’est ce qu’il faut pour former un pied adulte. C’est énorme ! Les os des deux pieds réunis représentent le quart du squelette humain. C’est ce qui nous porte et nous ancre. De toutes évidences, les pieds on n’y pense pas assez mais ils sont essentiels et ils méritent que l’on prenne soin d’eux. J’ai donc échangé avec Bastien Gonzalez https://www.bastiengonzalez.com/bga-corp/, fondateur de Révérence de Bastien et surtout roi de la « pédicurologie » (terme qu’il a inventé). Son savoir illimité sur la podologie et la beauté des pieds est reconnu dans le monde entier. Appelé au quatre coin de la planète pour magnifier les pieds des plus grandes célébrités, il vient aussi d’ouvrir une boutique confidentielle dans la charmante Galérie Véro-Daudat dans le 1er arrondissement de Paris. Emparez-vous de vos pieds car l’expert nous révèle ses astuces à reproduire facilement à la maison. Bonne écoute !
Il s’agit du dernier épisode de la saison et pour l’occasion je suis heureuse de réaliser un épisode croisé avec Claire Nouy, co-fondatrice d’Atelier Nubio. Avant d’enregistrer pour parlons B. , je me suis prêtée au jeu de l’interviewée pour son podcast Coup d’éclat et je dois reconnaitre que ses questions qui portent davantage sur le parcours de vie et la réalisation de soi m’ont autant touchée que particulièrement intéressée. Ici, nous avons d’avantage parlé de son brillant parcours d’entrepreneuse. Originaire de Bretagne, Claire a toujours eu un lien fort avec la nature et les plantes. Elle commence sa carrière dans une start-up qui propose des repas prêts à être cuisinés à domicile. Elle poursuit dans le milieu de la gastronomie et du lifestyle en y aiguisant sa plume. Mais c’est sa découverte de concepts healthy outre-atlantique qui lui donne rapidement envie de faire quelque chose de similaire en France. Elle développe alors en 2013 avec son associée Gabrielle Atelier Nubio, un concept de jus pressés à froid qui ne cesse de grandir et évoluer depuis. A elles la nutri-cosmétique, la détox et les cures qui cartonnent. Ensemble nous avons parlé de collagène, de légumes et de l’importance pour Claire de se connecter avec les éléments. Bonne écoute ! Et voilà, ceci est la fin de la saison 3. Je tiens à vous remercie du fond du coeur pour vos soutiens et vous écoutes. Je le dis et le répète, mais cela compte énormément. J’espère vous retrouver heureux et reposés pour la saison 4 à la rentrée. En attendant, prenez soin de vous et à très vite !
Le solide en beauté n’est plus à présenter sauf quand on sort des traditionnels savons et shampoings. L’avantage de ces produits est qu’ils ne contiennent pas d’eau et se veulent donc plus concentrés et plus respectueux de l’environnement normalement. Alors qu’en est-il de déplacer cette routine beauté au niveau du soin de la peau ? Et si la gestuelle beauté de demain résidait dans ces packs compacts lesquels auront un effet inévitable rien qu’à l’application ? Car c’est le cas de JOD, une toute nouvelle marque créer par Jeanne et Olivia qui propose déjà trois soins visage solide. Ultra sensorielles, ces nouveautés repensent surtout la routine belle peau à travers des gestes qu’il faut se réapproprier et c’est une bonne nouvelle. Ensemble nous avons parlé de désirabilité en beauté, des aléas de l’entrepreneuriat, et de l’importance de remettre des couleurs dans notre vie. Bonne écoute !
Certaines entreprises familiales ont marqué le paysage de la beauté à tout jamais. Savoir perdurer est une qualité de haut vol preuve d’une vision aiguisée, d’une écoute attentive et d’un fort sens de l’intuition aussi. C’est le cas de la famille Clarins. J’ai personnellement grandi avec une maman amoureuse des produits du même nom et donc les odeurs associées. De quoi créer des liens et des souvenirs forts pour longtemps. Surtout quand cette histoire familiale continue de s’écrire grâce à Olivier Courtin-Clarin notamment, directeur général du groupe Clarins et fondateur de la très visionnaire marque myBlend https://my-blend.com/fr/home/. Origi nellement orthopédiste et chef de clinique à l’hôpital Foch, Olivier revient en partie au cœur de la maison en créant un réseau de laboratoires de recherche fondamentale à travers le monde. Soucieux de la bonne cicatrisation de ses patientes, il s’intéresse de près à la notion de régénération puis à l’épigénétique. Il décide alors de penser en 2007 une marque de haute cosmétique sur-mesure. Une initiative largement en avance sur son temps qui a su se réinventer et coller aujourd’hui parfaitement aux besoins et attentes des consomateurices. A mi-chemin entre le soin de pointe, la nutrition et la technologie, myBlend est une pépite absolue. Je parlais d’odeur un peu plus tôt, sachez que je suis addicte à sa signature olfactive mais ça vous l’entendrez dans l’épisode qui arrive et dans lequel on a parlé avec Olivier de sa passion pour les fibroblastes, de l’importance de suivre les cinq piliers de l’épigénétique et de bateau un peu aussi. Bonne écoute ! Cet épisode a été réalisé en collaboration avec myBlend, je les remercie pour leur confiance et leur soutien.
Avez-vous déjà entendu parler de la « skinification » ? Du terme « skin » en anglais qui veut dire peau, ce mot parle du phénomène en beauté d’inclure des ingrédients autrefois utilisés pour les soins du visage dans les autres soins du corps. Ce n’est que récemment que l’on parle de prendre soin de soi dans sa globalité au même niveau que de son visage. L’autre terme favoris que vous entendez malgré tout beaucoup ici est « holisitique ». L’idée n’est plus de se concentrer uniquement sur le visage, cette partie du corps que l’on voit le plus et tout le temps mais bien d’accorder autant d’attention à la peau de ses jambes ou de son cuir chevelu. Le progrès des techniques comme la chimie verte, des formules et de l’accessibilité des ingrédients favorise l’essor de soins ultra poussés pour chaque partie de notre corps. C’est un peu le mantra de Coco and Eve de l’Australienne Emily Hamilton, cette marque originellement de capillaire qui s’est faite connaitre via les réseaux sociaux avec son fort pouvoir instagramable et ses produits aussi addictifs qu’ultra efficaces. Forte de son expérience fulgurante et de ses engagements, la maison ouvre un peu plus le chapitre de la skinification des cheveux et cela donne des soins qui viennent choyer la fibre et le cuir chevelu de façon pointue et experte. On en parle avec Nassim Belhaq, Global Innovation and Product Development Director cchez Coco and Eve. Bonne écoute ! Un grand merci à Coco & Eve pour son soutien.
Que sont elles et il devenu/es ? Celles et ceux que parlons B. a suivi à leurs débuts ? On a plus ou moins grandi ensemble et pour pour célébrer le 100e épisode de parlons B. même si, de vous à moi, il y en a plus avec les chroniques mais, bon. J’ai voulu faire un bilan. Parce que c’est bien sympa de mettre en avant de chouettes personnes et marques mais c’est encore mieux de savoir comment elles vont deux ans après, non ? Dans le milieu de l’entrepreneuriat, tout va vite, tout peut changer aussi. J’ai alors décidé d’appeler et revoir quatre fondatrices et fondateurs proches de parlons B. puisqu’elles et il ont participé aux pop-up du podcast. Ce genre d’aventure, croyez-moi ça crée des liens. Vous allez donc entendre des nouvelles de Sandrine de Nussa, Antoine de Tilyo, Marine d’anciennement Uny devenu Fauve et Juliette de Krème. Mais j’aurais pu aussi vous parler de Salwa qui a complètement repensé son positionnement pour que ses produits capillaires à base de chébé soient accessibles au plus grand nombre. J’aurais pu vous parler de Marie-Hortense, fondatrice des parfums Bastille, qui a légué son projet à Sophie pour se consacrer à un autre grand rêve : traverser l’Atlantique en bateau. Parlons B. ce n’est pas juste un podcast, c’est toute une aventure humaine derrière qui fédère. Lorsque je me suis lancée dans ce projet, c'était pour rencontrer, échanger, apprendre. J’ignore de quoi l’avenir est fait mais je suis déjà très heureuse et fière du chemin parcouru car je mène ce projet seule, en parallèle de mon métier de journaliste. Évidemment, j’aimerais que parlons B. soit plus grand encore, plus écouté aussi mais je savoure chaque rencontre, chaque découverte et vous remercie vous chèr/es auditeurices de votre grande bienveillance, de votre fidélité, de vos partages, de votre soutien. Vous prenez le temps parfois de m’écrire, de me donner vos avis, de m’encourager aussi et sachez que ça me touche énormément. Je remercie également toutes les personnes que j’interviewe, celles qui me sollicitent aussi, c’est une reconnaissance énorme pour parlons B. qui je l’espère (je le crois) est gage de qualité. Certaines d'entre vous m’ont demandé de consacrer ce 100e épisode à mon parcours. Je crois que c’est vous montrer une petite partie de moi en vous disant que je préfère parler des autres. Alors pour le moment je laisse la parole à Sandrine, Antoine, Marine et Juliette et vous souhaite une très bonne écoute !
Et si vous voyiez le sport comme un moyen de vous faire du bien et non comme une contrainte ? Comme une solution viable pour prendre soin de son mental et de son corps sans forcément penser à un quelconque objectif ? Dit comme ça, cela peut sembler évident pour certaines et certains et pour d’autres, beaucoup moins. Julie Granger est une coach et prof de yoga avec laquelle j’ai adoré échanger. Elle a commencé en étant danseuse classique, discipline exigeante qu’elle a commencé tardivement comparativement aux autres danseurs et danseuses profesionnel.les. Signe certain de sa détermination, cette dernière est ensuite devenue une entrepreneur en créant The Studio Paris https://thestudioparis.com/ et coach renomm ée à New York notamment où elle officie au très réputé Equinox. Son parcours est aussi passionnant que motivant. Ensemble, nous avons parlé de l’importance du mouvement pour se sentir bien et donc vivant, de discipline, de rigueur, de motivation et de nature. Bonne écoute !
Il y a quelques semaines, nous avions parlé de maquillage avec la journaliste Valentine Petry comme vecteur culturel, sociologique et politique. Certains éléments de la beauté qui peuvent être considérés comme superficiels , ont en réalité une signification et des enjeux bien plus profonds. C’est le cas aussi des cheveux qui, plus que le maquillage peut-être encore, tendent à provoquer parfois des attitudes discriminantes voire racistes. Dans cet épisode, nous en parlons avec Kenza Bel Kenadil, une entrepreneure et créatrice de contenus engagée, absolument solaire qui se bat pour le natural hair mouvement. Ensemble, nous avons parlé d’injonctions et de représentations de beauté, de discriminations capillaires et de ses meilleurs conseils pour accepter et aimer ses cheveux au naturel. Bonne écoute !
Notre corps tout entier est doté de plus de 600 muscles. Rien que pour le visage, nous en avons plus de 50 qui participent à toutes nos expressions et nos mimiques. Ils sont sollicités en permanence et demandent bien un peu d’attention. Donc si on vous propose de faire le hamster avec vos joues dans cet épisode, sachez que c’est pour votre bien ! Car Aurélia del Sol est une experte en la matière et a notamment créé sa méthode et une application intitulées Face Sol Yoga. ll s’agit en d’autres termes de yoga du visage pour apaiser le mental mais aussi la peau et donc détendre les traits et, bonus, illuminer le teint. Avec un nom aussi évocateur, Aurélia ne pouvait pas y échaper et est particulièrement solaire. Son parcours riche et inspirant qu’elle nous partage avec beaucoup de sincérité. Ensemble nous avons parlé à coeur ouvert de ses nombreux voyages pour le moins initiatiques mais aussi d’exercices à faire à la maison et de bien-être en général. Bonne écoute !
Si vous êtes passé.es à un des pop-up de parlons B. vous avez dû surement y voir des chiens. Au dernier, en novembre, organisé avec Chloé Cohen de Nouveau model, nous avons ri sur notre côté très pet-friendly et qu’il fallait absolument leur dédier un épisode, elle pour la mode et moi en beauté. Et nous y voilà ! A quelques jours passés du poisson d’avril voilà un épisode très sérieux spécial beauté et bien-être pour nos meilleurs amis les bêtes. Juliette Chauvin est la fondatrice de Toutou, une marque de soin respectueuse, naturelle et parfois certifiée bio pour nos chiens. Ensemble nous avons parlé pelage mais aussi, actifs et grande aventure de l’entrepreunariat. Bonne écoute !
Cette semaine est un peu spéciale car elle est dédiée au Podcasthon. Pendant 7 jours, plus de 300 podcasteurs se mobilisent pour mettre en avant le monde associatif et ses valeurs. De mon côté, c’était le moment idéal pour enfin tendre mon micro à Saly Diop, la fondatrice de l’association Imani https://imani-asso.com/ dédiée aux femmes et jeunes filles. Si vous suivez parlons B depuis le début, vous avez déjà dû voir son nom passer, car lors du deuxième pop-up, les fonts de l’atelier avec Susan Oubari lui avaient été reversés. Ensemble, nous avons parlé de son parcours particulièrement inspirant, de l’importante de la transmission et de l’éducation, et de la beauté comme vecteur de confiance en soi. Bonne écoute ! Je vous encourage à visiter le site www.podcasthon.org https://www.podcasthon.org/pour découvrir d’au tres associations mises en avant dans d’autres excellents podcasts.
Quel est votre rapport au maquillage ? Que dit-il de nous / de la société ? Pourquoi nous maquillez-nous ou au contraire faisons-nous le choix de ne pas nous maquiller ? Toutes ces questions ont été posées par la géniale journaliste Valentine Pétry dans son livre « Make up, le maquillage mis à nu » aux éditions Les Pérégrines. Dans son brillant ouvrage, elle convoque la sociologie, l’histoire, la politique et les questions féministes aussi. Le maquillage devient presque un prétexte pour faire un point édifiant sur les enjeux contemporains et leurs évolutions. « Ce n’est pas tant le maquillage qui m’intéresse que les valeurs qu’on lui attache » écrit-elle dans son introduction. Ensemble, nous avons parlé d’enlumineur mais surtout de ce qu’est le maquillage vraiment, les images et idées qu’il véhicule depuis la nuit des temps, et de la violence que cela peut générer parfois contre les personnes qui en porte ou non que ce soit les femmes comme les hommes. Bonne écoute !
J’aime quand design et parfum s’entremêlent alors ajoutez-y un soupçon de thème astral (très) bien fait et vous me perdez. C’est ce qu’il s’est passé avec Olfactif Paris, les bougies du for intérieur pour reprendre leur catch line. Réalisées à la main en céramique émaillées, elles ne sont pas d’énième bougies comme les autres. Leurs allures sont captivantes, leurs senteurs enivrantes et leur particularités intrigantes. Car, dans chacune des douze bougies (12 signes, 12 bougies vous suivez ?) se trouve une capsule contenant votre thème astral personnalisé. C’est la bonne idée d’Elizabeth et Alexia deux amies respectivement Poissons et Vierge, ultra complémentaires. Je ne vous cache pas que tout l’épisode est ponctué de références astrales pour mon plus grand bonheur. Car ensemble nous avons parlé de l’entrepreunariat, d’affinité des odeurs avec son signe astro et de signe astro, je l’ai déjà dit ça non ? Bonne écoute !
Cette semaine on célèbre l’amour et, avant toute chose, je souhaite que l’on se concentre sur l’amour que l’on se porte à soi-même. Que vous soyez en couple ou célibataire, là n’est pas le sujet puisque l’on va parler ici de beauté et de bien-être intime. Il est donc questions de vous avant l’autre, de vous possiblement avec l’autre mais aussi sans l’autre, c’est vous qui voyez, car il s’agit juste de VOUS. Pour ce faire, j’ai fait appel à Lucie Solal, fondatrice du génial concept store en ligne de l’intimité et du bien-être Blush Intimacy https://blushintimacy.com/ et de Lucile Bellan https://www.instagram.com/lucilebellan/?hl=fr, journaliste de l’intime, créatrice de podcasts et autrice dont le très intéressant dernier livre intitulé « Polyamoureuse, confidences d’une femme qui aime au pluriel » aux éditions Larousse vient de sortir. Ensemble nous avons parlé de maternité, de féminisme, de soins pour la vulve, du glow après l’orgasme, de birthgasme, de l’utilisation originale de paillettes et de plaisirs simples pour un maximum de bien-être. Car c’est tout ce que l’on mérite. Bonne écoute !
Attention dose de bonne humeur à venir garantie ! Tant pour le sujet que mes intervenantes absolument lumineuses ! Le problème du jour : les cuisses qui se touchent et toutes ces frictions de peau qui peuvent rendre la vie impossible. Ça joue ensuite sur le moral et franchement on s’en passerait bien. C’est le constat de Chloé et Celya qui, en plus de leur job à temps plein (oui vous avez bien entendu), ont décidé de créer Body Glory https://bodyglory.fr/ une marque dotée d’un premier produit vraiment novateur. Ce stick 100% naturel à la formule clean protège et soulage des frottements inconfortables qui provoquent irritations et parfois plaies. Ensemble nous avons parlé des aléas de l’entrepreneuriat, de paillettes, du rapport au corps et de paillette encore ! Plus de doute, cet été, la jupe est de sortie et le mini short aussi ! Bonne écoute !