

Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Quand j’ai reçu cet ouvrage, j’ai plusieurs fois relu le titre pour chercher à le comprendre. Le titre, comme la couverture d’un livre, comme son incipit, c’est la porte d’entrée, le petit truc qui donne envie de poursuivre ou pas, d’entamer la lecture ou pas. Là, le titre ne m’a pas parlé, et l’ouvrage a atterri dans la pile des romans de la rentrée d’hiver. Voilà le titre dont je vous parle. Comme je vous disais, j’ai donc délaissé l’ouvrage pour aller en ouvrir d’autres. Sauf que ceux que j’ai ouverts alors ne m’ont pas convaincue. Alors deux jours plus tard, je suis revenue à ce roman, le premier de Walid Hajar Rachedi. Il faut croire que j’étais alors dans de meilleures dispositions pour le lire. Parce que dès les premières lignes, j’avais envie de le suivre, ce jeune Malek de 17 ans. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! C’est à une lecture coup de poing que je vous invite, une lecture dérangeante, une lecture qui met le doigt sur les vexations, les humiliations, les discriminations dues à la race, à la couleur de peau, à l’origine. C’est à une lecture nécessaire que je vous invite, celle d’un roman paru en 1963 aux Etats-Unis, et qui n’est publié en France, par les éditions Christian Bourgois, qu’en septembre 2021, soit près de soixante ans plus tard. Pourquoi ? Le sujet sûrement, qui touche au sort des Algériens en France au temps de la guerre d’Algérie, durant les années 50-60, avec en miroir, le sort des Noirs Américains aux Etats-Unis à la même période. Ce livre dont je vous parle, il a pour titre et il est signé du journaliste et romancier américain William Gardner Smith. Et dès les premières pages de ce roman très engagé, je suis en compagnie de Simeon Brown, jeune Noir qui a laissé l’Amérique et sa violence et ses meurtres pour la France où enfin il se sent en paix. Mais jusqu’à quand ? Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Le livre dont je vais vous parler aujourd’hui n’est ni un roman ni un essai, mais un témoignage. Le témoignage d’une femme qui a passé les plus belles années de son existence dehors, sans un abri fixe, sans un chez elle qui lui appartienne vraiment. Son titre, à la fois grave et oximorique, donne le ton. , de Elina Dumont. Ce livre, il m’est arrivé dans les mains par le biais d’une femme, d’une amie, d’une formidable enseignante, ex-grande gueule sur RMC. Fatima Aït Bounoua, c’est d’elle qu’il s’agit, a rencontré Elina Dumont à plusieurs reprises. Les deux femmes sont devenues très amies, Elina sait qu’elle peut compter sur Fatima, et l’inverse est vrai. Il y a quelques semaines, je participais à un atelier d’écriture dispensé par Fatima, qui nous a fait travailler sur le chez soi, ce qu’il signifie et comment il est vécu, entendu. Elle s’est alors appuyée sur ce livre, nous a conté l’histoire de cette femme, et m’a laissé l’ouvrage. Et dès les premières lignes, j’avance avec Elina, tête basse, épaules rentrées, et je fonce. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Si vous avez écouté l’épisode 15 de cette saison, vous savez combien j’ai apprécié, combien j’ai été touchée, émue, transportée par le roman intitulé de Jhumpa Lahiri. Alors sachez qu’entre-temps, j’ai acheté tous ses romans, tous ses recueils de nouvelles, j’ai offert ses livres aussi, j’en ai parlé très régulièrement sur les réseaux et auprès des miens, et je ne peux m’empêcher de m’enquérir régulièrement de son actualité. Bref, vous le comprenez, c’est une autrice que je suis de près. C’est donc avec plaisir que je me suis penchée sur les lignes du recueil dont je vais vous parler aujourd’hui, intitulé . Et dès les premières lignes, je retrouvais le style Lahiri, empreint de douceur et de vague à l’âme. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Le roman dont je vais vous parler aujourd’hui a une histoire, un contexte particulier. C’est en effet un ouvrage dont j’ai d’abord entendu parler sans avoir aucunement envie de le lire. Ce que j’en ai perçu dans les médias, les interviews, la presse, ne m’attirait pas du tout. Il était alors partout question de la Méditerranée et de ses interdits sociaux, de la situation des femmes au Maroc, de tabous familiaux, bref, des sujets, toujours les mêmes, collés aux pays du Maghreb, dont la littérature regorge et se repaît, en boucle. Attention, je ne nie pas ces états de fait, je pense qu’ils existent partout, et je pense qu’on réduit certains pays et certaines populations à cela. Bref, je n’avais vraiment pas envie de lire le premier roman de Hajar Azell, intitulé « L’envers de l’été ». Mais le temps a passé et j’ai lu quelques critiques positives venant de personnes en lesquelles j’ai confiance, notamment sur le compte Instagram de Sarah @TheArabicNovel. Alors quand fin octobre 2021, l’autrice elle-même m’a contactée pour me proposer de m’envoyer son roman, j’ai dit ok. Le livre est arrivé, il a rejoint l’étagère des livres à lire, et fin octobre, alors que je remplissais ma valise de lectures en vue d’un voyage au Maroc, mon œil est tombé sur celui-ci, et je me suis dit ‘Pourquoi ne pas l’emporter pour le lire dans le pays où il se passe ?’ Et dès les premières lignes, j’entre dans une famille endeuillée. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Le roman dont je vais vous parler aujourd’hui, je l’ai trouvé dans une librairie d’occasion. Vous savez, ce genre de librairie où vous avez d’énormes bacs emplis de livres en enfilade, où vous faites défiler les bouquins du bout de l’index, et où vous dénichez de vraies pépites à des prix imbattables. Je suis sûre que vous voyez très bien ! Ce jour-là donc, j’étais là, à farfouiller dans les bacs, quand je suis tombée sur ce titre : , de Sefi Atta, avec ce format tout en longueur typique des éditions Actes Sud. En couverture, sur fond noir, une jeune femme noire est là, debout, bras le long du corps, t-shirt blanc ajusté, coupe afro, créoles aux oreilles, visage fin, sourire à peine esquissé, une fleur rose énorme dans les cheveux. Sur la quatrième de couverture, des mots ont immédiatement retenu mon attention. Nigéria, Londres, différences, exil, altérité, famille, amitié. Autant de thématiques qui m’attirent. Et dès les premières lignes, je suis emportée par un style simple et percutant. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Ce jour-là, on était fin août, et je devais passer rapidement à la libraire du Divan dans le XVème arrondissement de Paris, pour acheter le pavé tout frais tout neuf signé Philippe Jaenada. Mais vous le savez, vous, que même quand on le voudrait, on ne ressort pas rapidement d’une librairie. Surtout en pleine rentrée littéraire. Partout les nouveautés étalent leurs couvertures, les titres appellent le visiteur, les auteurs, confirmés comme tout neufs, cherchent à se faire une place, sur les tablées, sous les tablées, en vitrine. Et moi je suis là, ne sachant où arrêter mon regard. Jusqu’à ce qu’il se pose sur ce livre court, rectangulaire, placé debout sur une table. C’est le nom de l’autrice qui, immédiatement, me fait m’emparer de l’ouvrage, le retourner et en parcourir la quatrième de couverture. Le titre ? Comme nous existons, de Kaoutar Harchi. Un récit autobiographique sur fond de vérités sociales et politiques. Il n’en fallait pas plus pour repartir avec le livre. Et dès les premières lignes, je suis avec cette enfant, dans cette cuisine familiale. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! C’est LE roman de la rentrée littéraire 2021. Il est sur toutes les tables des libraires, son auteur est sollicité partout, dans toutes les émissions littéraires, sur le net, sur les réseaux sociaux, dans les journaux. Le titre figure sur les listes de plusieurs prix. Bref, il était impossible de passer à côté de ce livre. J’ai résisté un temps pourtant, agacée comme d’habitude par cette surexposition. Et puis un jour, j’étais sur le chemin de l’école maternelle pour aller récupérer mon petit dernier, écouteurs aux oreilles, écoutant un énième podcast. Parmi les invités de l’émission, Mohamed Mbougar Sarr. Arrivée devant l’école maternelle, c’est en automate que j’ai récupéré mon fils tant j’étais absorbée par les paroles de l’écrivain. Et là je me suis dit « s’il écrit aussi bien qu’il parle, je veux le lire ! ». L’après-midi même, je me procurais son roman, intitulé La plus secrète mémoire des hommes. Et dès les premières lignes, j’entrais dans les pas d’un écrivain. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! La première fois que j’ai entendu parler de cet ouvrage sobrement intitulé et écrit par Marie Vingtras, c’était au cours d’une rencontre littéraire, et l’éditrice qui présentait le livre comparait l’autrice à David Vann. Il n’en fallait pas plus pour enflammer ma curiosité. Si comme moi vous avez déjà lu David Vann, en particulier son désormais très célèbre (dont je vous parle dans l’épisode 3 de la saison 1), vous savez combien ses romans sont marquants, combien ils sont remarquablement frappants. Alors dès que je l’ai pu, je me suis procuré l’ouvrage. Et dès les premières lignes, j’avais peur, j’avais froid. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Merci infiniment ! Je l’avoue franchement, certains auteurs ont ma confiance aveugle. Ils sont peu nombreux c’est vrai, mais ce sont des écrivains dont je guette les nouvelles parutions avec une ardente convoitise. Philippe Jaenada est de ceux-là. Cet auteur, je l’ai découvert avec , la biographie romancée qu’il a consacrée à Bruno Sulak, ce voyou si charismatique. Depuis, j’ai lu tout ce qu’il faisait paraître, tous les pavés qu’il semait derrière lui. Et puis à la fin de l’été 2021, l’info est tombée : une nouvelle enquête de plus de 700 pages arrivait en librairie le 18 août. Et moi, ce même jour, j’étais en librairie pour acheter mon exemplaire de ce livre intitulé . Et dès les premières lignes, je retrouvais le style Jaenada, drôle, grincheux, et méticuleux. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Ce livre, je l’ai vu pour la première fois fin juillet 2021, sur Instagram, sur le compte de l’écrivain Nicolas Mathieu. Déjà, il en parlait comme . L’auteur de Prix Goncourt 2018, ajoutait encore : . Ce roman, il s’intitule sobrement , et il débute sur un ton à la fois tendre et implacable. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Si vous voulez soutenir le podcast financièrement, suivez le lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax C’est la couverture qui, d’abord, a attiré mon œil. Chez La Grenade, un label littéraire des éditions JCLattes, les couvertures réalisées par la talentueuse Manon Bucciarelli regorgent de couleurs, d’inventivité, de symboles. Sur la couverture de l’ouvrage du jour, trois disques vinyles prennent leur envol sur un fond bleu nuit, tandis que le titre s’étale en grandes lettres rouges. C’est un premier roman signé Julia Pialat et intitulé . Et dès les premières lignes, une écriture énergique m’embarque direction Strasbourg-Saint-Denis, un quartier populaire parisien. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Ce livre, je l’ai vu passer sur Instagram à maintes et maintes reprises, chaque fois accompagné de légendes et de chroniques extrêmement élogieuses. Vous le savez maintenant, quand c’est ainsi, quand un roman m’est trop souvent suggéré, j’ai du mal à m’y intéresser. Il me faut alors un élément déclencheur, un petit quelque chose qui va soudain me mener vers le livre. Dans le cas du roman dont on parle, il a suffi de quelques mots-clés, de références à mes origines marocaines, à Casablanca ma ville de cœur, et enfin j’ai ouvert , premier roman de l’autrice Abigail Assor. Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax J’ai entamé la lecture de ce livre dans un bus parisien. Le bus 39 très précisément. Il m’emmenait alors rue Jacob où je devais assister à un événement littéraire, et moi, j’étais scotchée par les premières pages de ce roman intitulé . Pourtant, quand je m’en suis saisie pour le lire parmi la pile de bouquins de la rentrée littéraire, la couverture ne m’a pas parlé plus que ça. Ce sont plutôt quelques mots-clés tel que fatigue, vie domestique, maternité, enfants, repérés çà et là sur la quatrième de couverture, qui m’ont décidée à le lire. Et là donc, dans ce bus 39, en train de lire les premières pages, je me suis surprise à être saisie d’une émotion profonde, celle qui vous fait regarder autour de vous pour voir si personne ne s’en aperçoit. Celle qui vous scotche tant les mots percutent. , c’est redoutablement juste, c’est caressant et brutal, c’est l’histoire d’une femme qui voudrait à nouveau s’appartenir. Qu’est-ce qui l’en empêche ? Allons voir ! Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Lien vers la page Patreon : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax J’AI BESOIN DE VOUS ! Salut tout le monde ! Salut à vous chers auditeurs de Bookapax ! Je vous fais ce très court podcast, tout mini tout petit, pour vous annoncer une nouvelle sur laquelle je travaille depuis de nombreuses semaines déjà. Il y a quelques temps, j’ai été contactée par l’équipe Europe du site Patreon, et on m’a demandé de rejoindre les nombreux artistes et créateurs qui sont déjà présents sur la plateforme. ALORS D’ABORD PATREON C’EST QUOI ? Patreon c’est un site internet sur lequel les créatrices et créateurs de contenus, et donc les podcasteurs et podcasteuses, peuvent demander à leurs auditrices et auditeurs de les aider à se développer, et cela grâce à un financement participatif. LE FONCTIONNEMENT DU SITE EST TRÈS SIMPLE. Vous, auditrices et auditeurs qui souhaitez soutenir le Bookapax podcast, achetez des contreparties. Pour cinq euros par mois, vous avez accès à des contenus exclusifs. Ainsi, je m’engage de mon côté à vous permettre un accès anticipé aux épisodes. Le podcast est diffusé le lundi, et les abonnés à la page Patreon y auront accès dès le dimanche. Sachez d’ailleurs que Patreon n’est pas régi par un algorithme, donc tout ce que j’y publierai vous sera immédiatement accessible. Régulièrement, je vous donnerai accès aux coulisses du podcast via des photos, des échanges informels, des sessions de questions-réponses, etc. Et enfin, vous pourrez avoir accès au groupe Discord privé, pour des échanges plus spontanés, au jour le jour, et pour créer une communauté forte et engagée autour du podcast Bookapax. D’autres contreparties, plus ponctuelles, vous seront accessibles comme de jolies surprises. Lien vers la page Patreon : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Lien vers la page Patreon de Bookapax : www.patreon.com/bookapax http://www.patreon.com/bookapax Les romans autoédités trouvent encore trop peu leur place dans le paysage livresque d’Instagram, et plus largement dans la presse. L’autoédition reste, malgré toutes les évolutions récentes, le parent pauvre de l’édition dite classique. Et pourtant ! On y trouve de réelles pépites. est de ceux-là. Percutant, rythmé, osé, c’est une véritable prouesse littéraire et artistique. Sherine Soliman, l’auteur, l’a entièrement écrit en vers. Et ça marche ! Dès les premiers vers, je suis transportée. Pour souscrire à la page Patreon et intégrer le Bookapax Club : www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


C’était un samedi matin pluvieux. Ce jour-là, je rentrais des courses en écoutant , une émission de France Inter présentée par Eva Bester, et le journaliste Nabil Wakim y parlait entre autres de sa relation à la langue arabe. En évoquant certains de ses remèdes à la mélancolie, il s’est longuement attardé sur l’ouvrage de Jhumpa Lahiri intitulé , et a parlé de cette autrice comme d’une écrivaine qui le touchait profondément. C’était en février 2021, et la présentation qu’il en faisait alors m’avait poussée à noter ce nom, Jhumpa Lahiri. Sauf qu’à chacun de mes passages en librairie, on me disait que les romans de l’autrice n’étaient plus édités. Et puis récemment sur le site d’une librairie d’occasion, je suis tombée sur ce merveilleux roman, . Il n’en restait qu’un seul et unique exemplaire. Je m’en suis immédiatement emparée. Pour souscrire à la page Patreon et intégrer le Bookapax Club : www.patreon.com/bookapax Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Dans le mini-podcast précédent, on a discuté autour de la question « C’est quoi un bon roman ? » On en a défini les contours, on a fait en sorte de le décrire au mieux. Parce que soyons honnête, il y a autant de définitions d’un bon roman qu’il y a de lectrices. Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de cinq romans que je considère comme très bons, cinq romans tout à fait différents. Les thématiques traitées, les personnages dessinés, les publics visés, les styles d’écriture, l’ambiance créée, voilà autant de critères qui les séparent et les rassemblent à la fois. Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


C’EST QUOI UN BON ROMAN ? Il y a quelques semaines, je posais la question suivante sur Instagram. « C’est quoi un bon roman » ? La question peut sembler anodine ou légère, mais c’est réellement mon interrogation à chaque fois que j’ouvre et entame un nouveau roman. Est-ce qu’il va être bon ? Et si oui, pourquoi il l’est ? J’ai lancé la question comme elle m’est venue. J’ai ouvert Canva, j’ai posé mon interrogation, je lui ai ajouté une petite touche de couleur en fond, et je vous l’ai soumise. Alors venez, on revient à vos réponses. Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Je suis toujours à la recherche de bons romans engagés, traitant de problématiques actuelles comme le racisme, les relations inter-raciales, les questions d’identité, le féminisme, etc. Alors quand je suis tombée sur ce roman intitulé , bien mis en avant sur une tablée de ma librairie, et que j’ai parcouru la quatrième de couverture, j’ai tout de suite été attirée par l’histoire de cette jeune fille noire, et par les mentions qui parlaient d’un roman « important, actuel et désarmant », mais aussi d’un livre « drôle et féroce ». Ce jour-là je suis repartie avec. Et la lecture m’a laissé un goût amer. , c’est un roman qui aurait pu être important, actuel et féroce s’il n’était pas tombé dans le piège des caricatures. , c’est une jeune fille qu’on commence par plaindre, et puis qu’on a très vite envie de secouer tant elle peut à la fois émouvoir et sévèrement agacer. , c’est un roman que j’ai adoré détester. Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


J’ai découvert Imbolo Mbue avec , son tout premier roman. Et déjà, se dessinaient les contours de sa voix : puissante, sensible et engagée. Dans ce premier roman, elle mettait en scène un jeune homme d’origine camerounaise qui devenait le chauffeur personnel d’un banquier de Lehmann Brothers. Un récit qui m’a marquée par la force de ses personnages, mais aussi par sa fin tout à fait originale. Alors quand j’ai vu paraître ce nouveau livre de l’autrice, intitulé , je n’ai pas hésité un seul instant à l’acheter. , c’est le roman de la résistance, de la soif inextinguible de liberté, et de la résilience. Et dès les premières lignes, j’entre dans un village africain, à la fois lucide et déterminé. Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


C’est sur Instagram que j’ai découvert l’autrice Sarah Barukh. On est alors en 2017, je viens de publier mon deuxième roman, , et j’entends beaucoup parler du roman de Sarah intitulé . Pourtant je ne vais pas le lire ce roman. Cette autrice, je la suis, je lis ses posts, je vois ses coups de gueule, ses coups de cœur, ses peines et ses joies. Je la croise une fois aussi, au cours d’un événement littéraire. Mais je ne la lis toujours pas. Et je ne saurais expliquer pourquoi. Début mai 2021, je reçois son quatrième roman qui a pour titre . Immédiatement la couverture m’attire. Je retourne le livre, et le résumé achève de me convaincre. Le roman est placé haut dans la pile de ceux qui m’attendent. Ce qui a piqué ma curiosité ? Deux mots clés : les secrets de famille et la dictature argentine. Il est question d’une petite histoire dans la grande, et ça j’adore ! Get bonus content on Patreon https://open.acast.com/public/patreon/fanSubscribe/6483190 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Ce livre, ce pavé de plus de 600 pages, je l’ai croisé en librairie. Plusieurs fois. A chaque passage, j’étais irrésistiblement attirée par cette belle couverture. Sur fond bleu, une femme avance de dos, vêtue d’un habit traditionnel coréen, une ombrelle cachant le haut de son corps. Face à elle, un grand disque rouge orangé rend le tout très lumineux. Récemment, je suis de nouveau tombée sur le roman, en bonne place sur une des tablées chez mon libraire, et j’ai fini par l’emporter avec moi.


J’ai découvert Jennifer Murzeau avec son roman lumineux et apocalyptique intitulé . J’avais alors été frappée par cette plume à la fois sensible et acide, n’hésitant pas à nous mettre face au miroir pitoyable de notre société, de notre temps. C’est donc avec grand plaisir que j’ai retrouvé son écriture avec son nouveau roman, , un livre plein de rage et d’amour.


Si vous n’avez jamais lu Maryse Condé, je vous conseille de vous pencher sur son écriture franche, directe, sans fioritures et pleine d’un humour grinçant. Il y a quelques années, une amie m’a mis entre les mains son ouvrage intitulé Moi, Tituba sorcière, et j’avais dévoré cet ouvrage à la fois sombre et majestueux. Mais aujourd’hui, c’est de son autobiographie que je voudrais vous parler. Son titre, déjà, est une promesse. . Prêts ? Allez, on décolle !


J’ai découvert Delphine de Vigan en 2011, quand est paru. Je me souviens l’avoir acheté à sa sortie, et avoir suivi l’immense succès qui a suivi cette parution. Depuis, je lis tout ce que publie cette autrice, souvent avec bonheur, parfois avec déception. Alors quand j’ai su qu’un nouveau De Vigan paraissait, intitulé , je me suis empressée de l’acheter, pour y plonger dans la foulée.


S’il y a bien une chose que j’aime faire, c’est celle d’écouter les auteurs parler de ce qu’ils écrivent, de comment ils l’écrivent, de pourquoi ils l’écrivent, ou encore de la petite histoire derrière l’idée de départ. J’ai entendu Nicolas Defoe évoquer son premier roman, intitulé , au cours d’un live Instagram organisé par Mahir Guven, son éditeur chez La Grenade. Le mystère derrière le pitch était trop séduisant. Alors dès que je l’ai pu, j’ai dévoré l’ouvrage.


Il a fallu que j’entende Nicolas Mathieu parler longuement de son livre pour avoir enfin envie de lire son roman, qui a pourtant décroché le Prix Goncourt en 2018. Trois ans après donc, je sors enfin de ma bibliothèque ce pavé intitulé . Le temps a passé, et il a effacé de ma mémoire tout ce que j’ai pu entendre de positif comme de négatif à propos de ce livre très largement médiatisé. Je peux enfin m’en emparer sans avoir l’esprit saturé des commentaires des uns et des autres.


Si vous croisez le livre dont je vais vous parler, prenez le temps d’accrocher le regard de cet enfant sur la couverture. Il vous regarde de biais, la raie impeccable, l’air grave, chevauchant une moto, entouré de ceux qui semblent être sa mère et son père. Ce livre, c’est , de Viola Ardone. Et c’est cette photo en noir et blanc, magnifique et terriblement intrigante, qui m’a poussée dans les pages de ce roman. Allez, en voiture !


J’ai découvert Celeste Ng avec , son dernier roman, et je n’avais qu’une hâte : retrouver son écriture, ses sujets de prédilection, la construction magistrale de ses récits, les secrets qu’elle distille avec brio. Alors début 2021, j’ai acheté son premier roman, intitulé . La couverture d’un bleu océan est mouchetée d’étoiles et traversée à la nage par une femme. Le titre l’emplit de ses lettres capitales. Je n’avais qu’une envie : y plonger !