

Rémi Beulque revient sur plusieurs problématiques qui affleurent lors de la mise en place de symbioses industrielles : adaptation qualitative des flux, quantité de flux, acheminement, réglementation.


Cyril Adoue définit les symbioses industrielles et montre quels peuvent être les objectifs de ce type de rapprochements: synergies, mutualisation. Il illustre cela par des exemples.


Elsa Causse revient sur les représentations sociales liées aux déchets ménagers, qui peuvent permettre de mieux comprendre les résistances observées lors de la mise en place de campagnes de prévention des déchets.


Béatrice Bellini propose une définition de l'économie de fonctionnalité, et situe ce modèle dans une perspective historique.


François Grosse revient sur les grandes tendances de nos sociétés en matière de consommation de matières non renouvelables. Il souligne la nécessité de prendre en compte la croissance économique et matérielle de ces mêmes sociétés lorsqu'on fait des projections sur la durabilité des ressources exploitées.


Frédérique Vincent présente un exemple de mise en ?uvre d'écosystème industriel. Il s'agit de la symbiose de Kalundborg, située au Danemark.


Daniel Lemarchand montre les différents champs d'application de la stratégie d'écologie indsutrielle au sein du groupe Lafarge. Il met notamment en évidence la diversité des déchets qui sont utilisés.


Sandrine Gombert-Courvoisier revient sur les démarches impliquant des ménages qui, volontairement, suivent leurs propres flux de matières et d'énergie et cherchent à réduire leur empreinte écologique.


Rémi Beulque met en relation le concept d'écologie industrielle avec d'autres concepts comme l'économie circulaire, l'éco-conception, l'économie de fonctionnalité. Il souligne l'intérêt d'avancer dans toutes ces directions pour parvenir à un développement plus durable.


Sandrine Gombert-Courvoisier définit la consommation des ménages et apporte des éléments de cadrage relatifs à la consommation responsable des ménages. Les questions d'impacts écologiques, de qualité de vie et d'articulation avec les autres acteurs sociétaux sont notamment évoquées.


Béatrice Bellini présente les travaux de recherche de Dominique Millet et d'Olivier Pialot, de l'école SITEC, sur le développement de produits "intelligents". Cela implique différentes dimensions comme la proactivité ou encore l'évolutivité des produits.


François Grosse analyse le lien entre épuisement des ressources non renouvelables, recyclage, et accumulation de matières non renouvelables dans l'économie. Il montre que pour que le recyclage ait un effet sur la réduction des prélèvements de matières premières, il est nécessaire que les sociétés n'accumulent qu'un minimum de ces matières, moins de 20%.


Béatrice Bellini met en évidence la nécessité d'une collaboration entre tous les acteurs de la chaîne de valeur pour la mise en place d'une économie de fonctionnalité. Les approches d'analyse des coûts sur l'ensemble du cycle de vie des produits doivent être privilégiées. Dans ce contexte, l'acheteur occupe une position essentielle dans la perspective d'achats responsables.


Frédérique Vincent apporte des éléments de cadrage de l'écologie industrielle (fondements conceptuels, objectifs) et revient sur l'émergence de ce concept dans le cadre plus global d'une meilleure prise en compte de l'environnement par les systèmes industriels.


Valoriser les externalités positives de l'économie de fonctionnalité: l'Institut de la monétarisation


Daniel Lemarchand présente le processus cimentier et montre les différentes étapes susceptibles de s'inscrire dans un modèle d'écologie indsutrielle.


Elsa Causse met en évidence les apports de la psychologie sociale afin de mieux comprendre comment faciliter l'adoption de comportements de consommation plus respectueux de l'environnement.


Daniel Lemarchand expose la mise en ?uvre de la stratégie d'écologie industrielle du groupe Lafarge au niveau des cimenteries.


Béatrice Bellini présente l'intérêt de la méthode NOVUS pour aider les entreprises à s'engager sur la voie de l'économie de fonctionnalité.


Cyril Adoue met en évidence le rôle de l'information et du contexte collaboratif dans la mise en ?uvre de synergies entre industries. Il souligne également le rôle de la confiance et de l'animation dans la réussite de ce type de projets.


Sandrine Gombert-Courvoisier apporte des éléments de définition concernant les déchets ménagers. Elle revient sur les grandes tendances en matière d'émission, que ce soit sur un plan quantitatif ou qualitatif.


François Grosse propose un cadrage de l'économie circulaire en s'appuyant sur les flux de matières qui entrent, se stockent, et sortent du système industriel. Il pose la problématique de la relation entre recyclage et mise en place d'un système plus circulaire.


MOOC UVED Economie cirdulaire. Les déchets ménagers, et vous? - Sandrine Gombert-Courvoisier


François Grosse analyse l'impact du recyclage sur la consommation de matières premières dans le cadre d'une économie en croissance. Il montre qu'un fort taux de recyclage, indispensable, ne pourra permettre de retarder l'épuisement des ressources que si le taux de croissance des consommations reste inférieur à 1% par an.


MOOC UVED Economie circulaire. Dans ce cours, Dominique Bourg revient sur la problématique de l'épuisement des énergies fossiles. Il y expose notamment le modèle du pic pétrolier et la notion de retour sur investissement énergétique.


Eric Fromant présente les intérêts de l'économie de fonctionnalité dans une perspective de responsabilité sociétale des entreprises. Il revient notamment sur les bénéfices économiques de ce modèle pour les entreprises et pour les clients.


Eric Fromant revient sur les crises économiques et financières que nous traversons et met en évidence toutes les limites des stratégies d'obsolescence programmée. Il montre qu'au contraire l'économie de fonctionnalité - au travers de ses caractéristiques - est un modèle fécond pour résoudre les problématiques actuelles.


Sandrine Gombert-Courvoisier définit ce qu'est la prévention des déchets, à l'aide notamment des 4 R : réduire, réemployer, réutiliser, recycler.


François Grosse revient sur les trois conditions qui doivent être réunies afin de réduire de manière significative les prélèvements de ressources non renouvelables. Il les confronte pour exemple au Royaume-Uni et, sur cette base, discute des implications, en mettant en évidence la nécessité d'un découplage entre bien-être et croissance matérielle.


François Grosse récapitule les trois conditions qu'il est nécessaire de réunir pour retarder le plus possible l'épuisement des ressources naturelles non renouvelables : un fort taux de recyclage, une faible accumulation de matières dans l'économie, une croissance des consommations limitée.