

Installées dans plus de 300 quartiers et Territoires prioritaires les 130 Régies de quartiers accompagnent les habitant de ces lieux dans leurs parcours d'emploi. Une mission d'insertion professionnelle évidemment mais qui se double d'un supplément d'âme qui passe par le soutien et l'accompagnement des publics les plus en difficulté pour qu'au delà d'un emploi ils se réinventent un avenir. Rencontre avec l'équipe de la régie du quartier de la Meinau à Strasbourg Retrouvez ici le site https://www.regiedequartier.org/ du CNLRQ , le réseau des Régies de quartiers et de Territoires * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


En banlieue, les jeunes subissent les violences policières de plein fouet. Malik, Yasmine et Jeremy sont tous les trois noir.e.s et ils racontent à la ZEP comment ces relations avec la police impactent leur quotidien. Témoignages. retrouvez ici https://www.la-zep.fr/ tous les témoignages de la Zep * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


C’est une expérience peu commune qu’a lancé l’association Habitat et Humanisme… une expérience de mixité sociale au sens strict du terme. Au cœur du 7eme arrondissement de Paris, le plus chic des quartiers de la capitale, une trentaine de jeunes en très grande précarité. se sont installés Ces jeunes adultes de 18 à 30 ans dont certains avaient connu la rue vivent au milieu d’un environnement ultra privilégié dans lequel ils puisent une part de leur volonté de reconstruction. Rendre le beau accessible aux plus démunis pour favoriser la cohésion voilà le pari dette expérimentation que l’association souhaite reproduire grâce aux fonds levés à travers sa foncière d’investissement solidaire. Découverte de cet hôtel particulier… à vocation social et de ses premiers habitants. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


La ZEP relaie des témoignages, des histoires, des vécus et parfois les compile. Dans ce deuxième épisode sur le travail, je m’enregistre toujours sur mon canapé ! Parce que je peux télétravailler. Mais pour certains, le coronavirus a mis un stop à leur boulot. Intermittents, indépendants, auto-entrepreneurs : leur activité est précaire, ou jeune comme eux, et les conséquences du confinement se sont vite faites ressentir. Retrouvez tous les témoignages de la Zone d'Expression Prioritaire https://www.la-zep.fr/ MERCI À HUGO, MARGAUX, KIALA ET LOUISE * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Ils sont livreurs ou caissiers, et continuent de travailler. Pas de confinement pour Hawa, Jérémy et Arona et beaucoup de risques face au coronavirus. Pendant le confinement, les jeunes travailleurs sont en première ligne pour aller travailler. C’est le cas de Jérémy, Hawa et Arona qui ont entre 22 et 27 ans. Ils nous racontent les raisons financières qui les poussent à bosser, et la manière dont la pandémie de coronavirus impacte leur travail. Retrouvez tous les témoignages sur le site de la ZEP https://www.la-zep.fr/ * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


À la ville ou à la campagne, en banlieue parisienne ou dans les hauteurs toulousaines, être jeune et confiné c'est regarder par sa fenêtre et patienter. A la ZEP, on relaie des témoignages, des histoires, des vécus mais parfois on les compile ! Paloma, Pauline, Floriane, Syrine, Yasmine, Rose, Mathis, Emile et Léa ont entre 15 et 26 ans. Ils ne se connaissent pas, vivent aux quatre coins de la France, mais ont comme point commun le confinement. Avec pour seule ouverture vers l’extérieur, des fenêtres. D’un village des Ardennes à Chanteloup-les-Vignes, en passant par les coteaux de Toulouse, des réalités urbaines et rurales se dessinent, se croisent et se répondent. De leurs fenêtres de confinement. Retrouvez tous les témoignages de la ZEP https://www.la-zep.fr/ Merci à Paloma, Pauline, Floriane, Syrine, Yasmine, Rose, Matisse, Emile et Léa. Illustration © La ZEP // Yasmine Mady Réalisation et montage : Nathalie Hof * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Ils sont jeunes ils étaient à l'étranger au moment du confinement... La Zep les a contacté pour comprendre leur problématique diverse face à la pandémie. Tour du monde au temps du coronavirus. En fonction des situations dans leurs pays respectifs, les français à l'étranger se demandent s'ils doivent rentrer. À la ZEP, on relaie des témoignages, des histoires, des vécus mais parfois on les compile ! Aujourd’hui, au jour 26 du confinement, on laisse la parole à ces Français à l’étranger. Parce que la pandémie de coronavirus est mondiale et qu’en fonction des pays, tous ne le vivent pas pareil. Surtout quand il s’agit de rentrer en France ou d’y rester. Russie, Turquie, Kenya, Chili ou Thaïlande, tous ne sont pas logés à la même enseigne. Bienvenue sur « Sample », le podcast qui mélange, superpose et confronte les voix des jeunes pour donner à entendre notre société. retrouvez toutes les publications de la Zone d'Expression Prioritaire https://www.la-zep.fr/ MERCI À ELÉA, SIMON, CHAYA, CLAIRE, ELODIE ET VALENTIN * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Pour les élèves confinés, l'école à la maison, ça dépend du matériel qu'ils ont à disposition, des parents, des enseignants. La continuité pédagogique, un défi impossible ? Un Podcast de la ZEP • 2 avril 2020 A la ZEP http://www.la-zep.fr/, on relaie des témoignages, des histoires, des vécus mais parfois on les compile ! Bienvenue sur « Sample », le podcast qui mélange, superpose et confronte les voix des jeunes pour donner à entendre notre société. Aujourd’hui, au jour 16 du confinement, on va décortiquer l’école à la maison en écoutant les récits de ceux qui la vivent : les élèves confinés et leurs enseignants. Moi c’est Elliot, votre accompagnateur des salles de classe aux cours en ligne. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Est ce possible de sortir de l'entre soi en matière d'habitat ? Est ce possible de le faire de manière volontaire et non subie , A montreuil dans une ville qui subit la pression foncière un collectif d'habitants a décidé de construire un immeuble pouvant les accueillir mais aussi en souhaitant réserver un logement pour des personnes en grande précarité confié à l'association Habitat et Humanisme. Une expérience d'habitat collaboratif qui fait une vraie place à la mixité sociale. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


A qui appartient la rue ? C'est à cette question que l'observatoire genre et ville essaye de répondre et surtout d'apporter des solutions. A travers des observations de terrain, des marches exploratoires et des performance artistiques ce collectif arpente les rues de nos villes pour lui redonner sa mixité et une égalité des usages... Promenade à Aubervilliers en compagnie de Chris Blache, créatrice de Genre et Ville Retrouver les travaux de l'observatoire genre et ville http://www.genre-et-ville.org/ * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Trouver son premier emploi c'est souvent, même pour les jeunes diplômés passer par la case Pole emploi... C'est en tout cas souvent un grand saut dans l'inconnu. Celle qui permet d'obtenir la fameuse première expérience... Récit de ces premiers pas dans le "monde du travail" à travers les yeux d'une jeune diplômée. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


A moins de 20 kilomètres de Paris Le Vieux Pays de Goussainville a des allures de village fantôme. Cerné par les pistes de Roissy et la ligne du TGV nord, le village aux rues désertes, subit le bruit assourdissant des centaines d’avions qui passent chaque jour. Au centre une église classée aux monuments historiques interdit pourtant de démolir les maisons abandonnées par des habitants partis vivre ailleurs au moment de l’ouverture de l’aéroport. Depuis quarante ans quelques dizaines d’irréductibles habitants ont pourtant décidé de continuer à vivre ici malgré les propositions d’Aéroports de Paris qui a tenté de racheter leurs maisons. Philippe Vielliard est l’un d’eux. Il avait fixé le prix de sa maison à 1 milliard pour décourager les tentatives de rachat. Il vit depuis quarante ans au milieu du ballet des avions dans un village qu’il affectionne malgré tout. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Le collège c'est aussi une géopolitique. Et qui de mieux que les collégiens eux mêmes pour la décrypter. Voyage en territoire scolaire à travers les yeux d'une classe de troisième. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Crée en 2014 au coeur de la cité Marcel Cachin de Romainville l'entreprise Baluchon a fait le pari de l'insertion par la cuisine. Circuits cours, qualité, accompagnement des salariés sont les piliers de cette entreprise sociale qui va chercher l'activité dans les territoires riches pour fournir des emplois dans les quartiers défavorisés. En cinq des dizaines de salariés sont passés par cette entreprise pour reprendre le chemin d'un emploi banalisé. Des salariés qui petit à petit assaisonnent les ingrédients de leur retour à l'emploi et participent à la construction d'une PME implantée au coeur d'un quartier. Retrouvez le site de la société Baluchon http://baluchon.fr/site/qui-sommes-nous/qui-sommes-nous/ * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Il y a presque 10 ans Didier Fassin publiait "La Force de l'Ordre" une anthropologie de la police en banlieue. Il y expliquait le travail d'une Police non pas au service de la population ni même de l'Etat mais du gouvernement. Il s'y inquiétait des carences du contrôle démocratique en insistant sur le fait que l'ogre maintenu était plus l'ordre social que l'ordre public. Une décennie plus tard on peut constater que les méthodes décrites à l'époque comme réservées aux quartiers populaires se sont invitées dans les centre ville. L'exception sécuritaire décrite à l'époque semble se généraliser. Comme si en matière de police la banlieue était un laboratoire précurseur... A l'occasion de sa conférence inaugurale au Collège de France retrouvez ses propos Retrouvez les références du livre la Force de l'ordre http://www.seuil.com/ouvrage/la-force-de-l-ordre-didier-fassin/9782021050837 de Didier Fassin sur le site des éditions du Seuil Archives 2011 * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Depuis dix ans, chaque année des centaines d'enfants des quartiers en politique de la ville s'initient à la musique grâce au dispositif Démos mis en place par la Philharmonie de Paris. Rencontre avec ses adolescents qui découvrent que la musique "ça rend heureux" * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


La Fabrique de la ville , au premier abord c’est une sorte de champignon géant en toile rouge et blanche qui rappelle celui de l’ile mystérieuse de Tintin. Mais cette bâche abrite et protège deux très anciennes maisons du cœur de Saint Denis parcourues par un dédale d’échafaudages. A leurs pieds un site de fouille d’archéologie urbaine complète cet ilot d’histoire ouvert à tous à deux pas de la basilique de Saint Denis. L’occasion de traverser l’histoire glorieuse et modeste, royale et populaire de cette ville aujourd’hui symbole de la banlieue après avoir été celle de la royauté. C’est en compagnie de Patrick Bouchain et Nicole Rodrigue les inventeurs de ce projet que Périphéries.fr vous invite, à découvrir la Fabrique de la ville… * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Créée dans les quartiers de la métropole lyonnaise l'association Vrac initie et organise des coopératives d’habitants pour leur permettre, grâce à des achats groupés de denrées alimentaires en vrac, d’accéder à des produits de bonne qualité aux meilleurs prix. Une économie collaborative qui associe les habitants, les bailleurs sociaux locaux et les fondations. A la fois outil d’une consommation responsable et outil de socialisation dans les quartiers ce réseau se développe dans toutes les métropoles françaises ( Paris, Toulouse, Bordeaux Strasbourg...) et dans le monde étudiant Périphéries vous propose cette semaine de découvrir cette initiative modeste, utile et véritablement pensée pour être au service des habitants des quartiers populaires. L’association VRAC https://vrac-asso.org/ favorise le développement de groupements d’achats dans les quartiers prioritaires de la politique des différentes villes ( Lyon, Strasbourg, Paris, Bordeaux, Toulouse). Le projet de l’association est orienté vers l’accès du plus grand nombre à des produits de qualité issus de l’agriculture paysanne/biologique/équitable à des prix bas, grâce à la réduction des coûts intermédiaires (circuits-courts) et superflus (limitation des emballages). Ainsi, VRAC permet aux habitants de ces quartiers de s’inscrire dans un mode de consommation durable et responsable, qui repose sur le collectif et les dynamiques locales pour faire face à la précarité et proposer un autre rapport à la consommation, à la santé et à l’image de soi. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Le président de la République a été ému par le film les Misérables... Mais pourquoi a chaque fois qu'une vision un peu décalée, intérieure aux quartiers arrive à la connaissance du grand public elle génère surprise et étonnement, voire déclaration politique ? Peut être est ce parce que le regard qui est porté sur les quartiers est souvent identique, que "les journalistes intériorisent les normes du "bon" reportage", comme le dit Jérome Berthaut. Et que "comme les compagnons du devoir acquièrent un tour de main, les journalistes acquièrent un tour d'esprit de la façon de regarder les quartiers populaires" qui laisse peu de place à la nuance... Réflexion sur le traitement médiatique des quartiers populaires avec le chercheur Jérome Berthaut, auteur de "La banlieue du 20h" Retrouvez le travail de Jérome Berthaut en BD https://www.casterman.com/Bande-dessinee/Auteurs/berthaut-jerome et dans sa version livre https://agone.org/lordredeschoses/labanlieuedu20heures/ * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


La semaine prochaine le salon du livre de jeunesse ouvrira ses portes à Montreuil. Au- delà de cette manifestation de grande ampleur c’est un travail quotidien que mènent les équipes du salon pour faire entrer les livres dans le quotidien des familles les plus éloignées de la lecture. Avec le projet « des livres à soi, des livres chez soi » qui réunit une vingtaine de Mamans de Clichy Sous Bois et leurs enfants. la volonté est d’accompagner l’ébauche d’une bibliothèque familiale. A travers un parcours initiatique, des ateliers, des visites chez les libraires et une aide pécuniaire, ces familles voient les livres entrer dans leur quotidien grâce à leurs enfants. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Il y a 10 ans le Micro Lycée de Seine Saint Denis avait ouvert dans un pavillon à l'entrée de la cité des 4000. Une décennie plus tard cet établissement qui "rattrape" les décrocheurs grâce à un engagement sans faille l'équipe enseignante est installé ai coeur du lycée du Bourget. Retour sur ce qui fait le sel de l'école et l'importance du bac pour ceux et celles qui se sont un temps éloignés de l'institution scolaire.... Après 10 années de cette expérience scolaire l'équipe enseignante a mobilisé les élèves pour écrire un livre https://mediapop-editions.fr/catalogue/des-vies-normales/ dont voici la présentation : Des vies normales Par les élèves du Microlycée de Seine Saint-Denis 10.00 € Le Microlycée 93 est un établissement scolaire public situé en Seine Saint-Denis, qui accueille cinquante jeunes « décrocheurs », âgés de 16 à 25 ans. Ces jeunes ont choisi de reprendre leurs études pour passer le baccalauréat. Ils ont tous des parcours sinueux, faits de ruptures et de désordres. Ils trouvent pourtant le courage de se rescolariser, et aspirent à se (re)construire. Durant l’année 2018-2019, à l’occasion des dix ans de l’établissement, élèves et anciens élèves du Microlycée 93 ont rédigé des témoignages à la première personne, au sein d’un atelier d’écriture. Ces textes sont livrés à l’état brut dans ce livre, sans retouches. Ils sont présentés sous la forme d’un carnet collectif, qui suit les scansions d’une année scolaire et sociale classique, faite de rendez-vous incontournables et des surprises de l’actualité. On y éprouve, au fil des voix, la confrontation entre des rêveries, des colères, des douleurs, et les injonctions de la société, de la famille et de l’école. Leurs paroles s’entrechoquent et obligent le lecteur, en miroir, à se demander si ces jeunes, que l’on imagine si marginaux, ne seraient pas tout simplement… comme nous tous. Ce texte kaléidoscopique se lit comme un journal intime, et comme un recueil de poésie. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Un camion garé au pied des immeubles, un barnum déplié, des tables, des tréteaux et quelques verres de thé à la menthe suffisent à lancer la conversation. A la nuit tombée Yazid Kherfi installe le camping car de la Médiation Nomade au coeur d'un quartier pour essayer de renouer les fils du dialogue avec une jeunesse qui n'a pas d'adultes à qui parler. L'idée : prendre le temps de parler et organiser le lien entre les habitants du quartier et des personnes venues de l'extérieur... Un premier contact sur lequel reconstruire les bases de la conversation qui fait le lien social. La Médiation Nomade http://www.mediationnomade.fr/ tiendra son forum annuel le 26 novembre à l'université de Nanterre. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Bahia est arrivée d’Algérie en 1978, Souleymane lui a débarqué de Côte d’Ivoire en 1967. Tous deux sont des participants assidus d'un exercice de mémoire initié par la BNF. À travers leurs voyages, leurs arrivées, leur travail, leurs objets, ces travailleurs immigrés font la chronique de l'immigration des années 60 et 70... Celle d'une époque malgré tout plus apaisée. Tous deux ont fait leur vie en France, y ont élevé leurs enfants et savent que les racines de la famille se sont déplacées. Ils écrivent un chapitre de cette histoire commune qui fait l'histoire de France. Une histoire dont ils se sentent un peu en marge mais qu'ils lèguent à leurs enfants et à leurs lecteurs. . * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Depuis plus de 25 ans l’association de la Fondation étudiante pour la ville l’AFEV organise la rencontre entre des étudiants bénévoles et des enfants en difficulté scolaire et sociale. Le but n’est pas uniquement d’offrir un soutien scolaire mais de permettre une rencontre entre les étudiants volontaires et des enfants des quartiers populaires, une forme de compagnonnage émancipateur. Sarah est l’une de ces bénévoles. Etudiante en master de droit des affaires elle vient tous les mardis essayer de donner le goût des études et la confiance en soi à deux petites filles dans un quartier de Cergy. Périphéries a accompagné la jeune étudiante chez ses deux protégées… L'appel des associations pour faire du mentorat une grande cause http://www.lab-afev.org/tribune-faisons-du-mentorat-une-grande-cause-nationale/ nationale * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Crée en 2012 par le chef étoilé Thierry Marx le dispositif Cuisine Mode d'emploi(S) a aujourd'hui essaimé dans 12 territoires. Une formation aux métiers de la cuisine et de la restauration pour laquelle le chef étoilé a mobilisé l'univers de la gastronomie. Quand les grands cuisiniers se mettent au service de la lutte contre l'exclusion Rencontre avec la première promotion encadrée par Gérard Cagna. La formation cuisine mode d'emploi https://www.cuisinemodemplois.com/ (S) * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


L'ile Saint Denis, la plus petite des communes de Seine Saint Denis avec ses 7000 habitants, est aussi celle qui est dirigée par le maire le plus jeune. A 35 ans à peine Mohamed Gnabaly est depuis 2016 le premier magistrat de cette commune insulaire qui accueillera le village olympique en 2024. Entrepreneur de l'économie sociale et solidaire, enfant de l'Ile Saint Denis, Mohamed Gnabaly porte le combat de l'écologie et de la lutte contre les inégalités sociales et territoriales. " Ce qui est violent c'est de voir la concentration de richesses à nos portes et de l'observer de loin" clame cet élu non encarté qui revendique son appartenance à la gauche et s'apprête a repartir en campagne pour les municipales de 2020. Rencontre. Mohamed Gnabaly est aussi le directeur de Novaedia http://www.novaedia.fr/ une coopérative qui développe l'agriculture urbaine et l'alimentation de qualité. * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Yvan collégien à Clichy sous Bois nous éclaire sur la frontière qui sépare le monde réel de la réalité virtuelle. Dans le virtuel on a des secondes chances.... Il y a beaucoup de différence entre le monde virtuel et la réalité. C’est une sacrée frontière qui sépare ces deux univers. Dans le monde virtuel dans les combats au corps a corps on peut avoir des supers pouvoirs. Dans la réalité non ! Dans un monde virtuel lorsque l’on meurt on a une ou plusieurs secondes chances. Dans la réalité non ! Pour conduire dans la réalité il faut un permis et dans un monde virtuel pas besoin. Dans le virtuel on peut avoir de supers pouvoirs, une force surhumaine et maîtriser le feu, la glace etc et dans la réalité c’est pas possible. il y a aussi des choses très anormales dans un monde virtuel : des bugs, des monstres, des invasions alien… et dans la réalité on sait que ça n’existe pas. Dans certains mondes virtuels il y a différentes barres de vie : une barre de vie qu' on doit régénérer en se soignant ou en mangeant et une qui se régénère toute seule. Dans la réalité on a pas de barre de vie. Dans un monde virtuel lorsqu'il y a des chose a lire ou a entendre dans d autres langues il y a des sous-titre et dans la réalité il faut se contenter de Google traduction. Dans un monde virtuel on peut construire des choses en quelques secondes et dans la réalité ça peut prendre des jours des mois ou des années. Pour gagner de l’argent dans un monde virtuel on a pas besoin de travailler on peut faire des mission ou aider des gens. Dans la réalité il faut travailler pendant des heures et des heures. Dans le monde virtuel on a un inventaire ou on peut mettre des tonne de chose… dans la réalité on a juste des poches… Qui sont toujours trop petites. Moi j ai une préférence pour le monde virtuel, les secondes chances et les supers pouvoirs . Un projet d'écriture radio mené en partenariat avec la Zep http://www.la-zep.fr/ et les Ateliers Medicis https://www.ateliersmedicis.fr/ * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Coincé entre la cité des Courtillères et les abords du fort d’Aubervilliers, une centaine de potagers se partagent les 3 hectares laissés à la nature. Visite de ce petit coin de verdure qui, avec la crise, devient aussi le révélateur des difficultés des habitants de cette banlieue à acheter des fruits et légumes. En effet, au jardin ouvrier des vertus, on vient maintenant de plus en plus pour simplement subvenir à ses besoins alimentaires. ( archives) * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


Sans ascenseur, mon immeuble c’est treize frontières à franchir Dans ma tour à Clichy Sous Bois, une panne d’ascenseur m'a fait traverser les différentes ambiances. A chaque étage, ses problèmes et ses petites particularités. Suivez-moi... Un projet d'écriture radio mené en partenariat avec la Zep et les Ateliers Medicis https://www.ateliersmedicis.fr/ Retrouvez le texte https://www.la-zep.fr/societe/sans-ascenseur-mon-immeuble-cest-treize-frontieres-a-franchir/d'Ozzias * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.


En attendant l'arrivée du tram espéré depuis des années les habitants de Clichy sous Bois continuent à emprunter le 601 pour rejoindre la gare la plus proche. Un lien ténu est toujours bondé pour cette commune qui est la plus enclavée d'Ile de France Ce bus c'est un univers, le seul lien avec l'extérieur raconte Stéphie collégienne dans cette ville. Un projet mené en partenariat avec la Zep et les Ateliers Medicis retrouvez des témoignages de jeunes sur le site de la ZEP https://www.la-zep.fr/Zone d'Expression Prioritaire Suivez l'actualité des Ateliers Medicis https://www.ateliersmedicis.fr/de Clichy-Montfermeil * Voir Acast.com/privacy https://acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.