

Le chemin est le plus important. Mais comment arriver à le vivre comme ça ? Dans cet épisode je vous explique pourquoi cela peut vous apporter beaucoup de bien-être et surtout quelles habitudes mettre en place pour y parvenir. Savourez votre journée ! ---Transcript--- Si vous souhaitez plus de bien être, plus de motivation dans votre quotidien, apprécier le chemin plutôt que l'objectif final peut être immensément bénéfique pour vous. On va voir pourquoi c'est important de se concentrer plutôt sur le parcours, sur son chemin et comment on peut y arriver, comment on peut plus l'apprécier avec quelques habitudes à mettre en place. Salut à tous, bienvenue pour cet épisode. On va voir comment apprécier le chemin plutôt que l'objectif final. C'est un sujet très important qui est souvent assez connu, mais qui est aussi souvent très flou, et ça me concerne tout particulièrement puisque j'ai mis beaucoup de temps à comprendre cette notion, que ce soit par ma personnalité, par la curiosité que j'ai et toutes ses envies de développement personnel et de profiter de la vie, profitez de toutes les choses que l'on peut faire sur cette planète. Tout ça fait que j'ai toujours été énormément dans l'attente d'objectifs extrêmes, de réussite extrême et on va le voir ce n'est pas forcément une bonne chose, au contraire si justement, si on a ce type de personnalité de se concentrer sur ses objectifs finaux. Ce n'est pas forcément très évident, surtout dans nos sociétés, dans notre société actuelle, surtout en Occident, puisque on se concentre et on voit uniquement les réussites finales dans les médias notamment. Et c'est ce qu'on met en avant. C'est ce qu'on promeut dans nos discussions, dans les objectifs, quand on fait des études, quand on mène des projets professionnels. On a en tête ces objectifs, ces grands objectifs à terme. On voit la réussite des gens une fois qu'ils l'ont atteinte, mais on ne voit pas tout le parcours. Et donc on a dans la tête forcément toutes ces réussites à faire et on se dit que le but extrême, la joie ne viendra qu'une fois qu'on aura atteint ses objectifs. Et donc, on veut les atteindre à tout prix, quels que soient les domaines qui nous intéressent. Pour moi, ça va être de vouloir essayer plein de choses, de découvrir plein de choses sur cette planète. Je rêve de voir et de plonger avec des baleines, avec des requins, de voir des paysages magnifiques et des voyages, de profiter de cette richesse qui nous entoure, de pouvoir être libre de faire des activités ou de réaliser des créations comme je suis en train de faire, de faire ce que je veux. Mais ça peut être évidemment très différent pour toutes les personnes. Mais parfois, on a en tête des objectifs qu'on imaginait idéaux à la base. Et on veut les atteindre à tout prix. Mais le souci majeur avec ça, c'est qu'on va être extrêmement déçu si on ne les atteint pas ou si on ne les atteint pas suffisamment vite. Alors que finalement, on va le voir. Ce n'est pas l'important. Et au contraire, si on les atteint, on peut. On a tout fait pour. On a peut être donné énormément de notre temps, notre énergie pour ça. On a tout misé sur cette réussite et au moment où on l'atteint, c'est un bonheur exceptionnel, évidemment, mais extrêmement court. Et juste après, on va. Alors si on se focalise sur ses objectifs finaux, on va ressentir un immense vide. Juste après, et ça peut même durer un certain temps puisque si on doit attendre un nouvel objectif, une nouvelle réussite assez extrême, il faut souvent du temps et donc pendant ce temps, pendant ce chemin, on va ressentir du vide, de la tristesse, du mal être, des tensions, car on vit uniquement pour la victoire finale qui, elle, passe extrêmement vite et qui est très fugace. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Un lien a été trouvé entre votre microbiote, les bactéries qui tapissent vos intestins, et le degré de gravité potentiel si vous êtes atteint du Covid 19. On va parler de cette découverte dans cet épisode, de ce qu'il faut éviter et de ce qu'il faudrait favoriser pour avoir un microbiote prêt à vous éviter une forme grave de cette maladie. ---Transcript--- Ça y est, le lien a été fait. Notre microbiote, nos bactéries qui tapissent notre système digestif et notamment nos intestins, peuvent nous éviter une forme grave de Covid19. On va parler de ce que cette étude a trouvé, de ce qu'il faut éviter. Et comment favoriser une composition adéquate pour vous protéger contre les formes graves de Covid19. Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode de podcast, j'espère que vous allez bien. On va parler du Covid, un sujet qui n'est pas du tout d'actualité. C'est pas encore pour vous rabâcher les oreilles avec ça, mais il y a une étude qui est sortie, qui est très, très intéressante sur un sujet qui m'intéresse beaucoup, qui est le lien entre le microbiote, nos bactéries, nos intestins et le degré de gravité qu'on peut développer dans cette maladie qu'est le Covid19. Et oui, j'ai toujours du mal à dire la Covid19. Je ne sais pas vous, mais moi, j'y arrive pas du tout. Donc, le covid nous a surpris par son intensité et notamment à cause des formes graves de la maladie qu'il déclenchait et donc depuis le début de cette épidémie de cette pandémie, les formes graves sont très étudiées et on nous a souvent dit qu'elles étaient liées à diverses défaillances de santé. Et c'est vrai que du coup, de réussir à comprendre ces formes graves, c'est probablement éviter énormément de décès et il y a évidemment un énorme enjeu de ce côté là. Puisque là, j'enregistre ce podcast. Donc on est en janvier 2021, on a passé les 2 millions de morts au monde liées à cette maladie du Covid19. Donc, évidemment, c'est une course, une véritable course contre la montre et c'est pour ça qu'il y a autant d'implication au niveau de la recherche mondiale. C'est assez unique, ça n'a jamais été aussi important, impactant et tant mieux. Là, on voit que quand il y a un enjeu fort et qui est relayé dans les médias, on peut faire des choses incroyables. Donc, il y a beaucoup de recherche. Et là, je vous parle d'une étude qui a réussi à prouver un lien entre notre microbiote et la composition des bactéries qui tapissent nos intestins. Donc, on a des quantités incroyables de bactéries dans notre système digestif. Et on sait aujourd'hui si vous connaissez pas du tout, on sait aujourd'hui qu'elles jouent un rôle absolument primordial voir le rôle de premier plan pour que l'on ait une immunité performante. On l'a vu dans un récent épisode de podcast. C'est à cet endroit que ce microbiote va par exemple former nos cellules immunitaires. Et on sait aujourd'hui qu'il y a énormément de lien entre notre microbiote et tout un tas de maladies. Et là, les chercheurs ont réussi à faire le lien entre les formes graves de Covid19 et ce microbiote, ces bactéries que l'on a dans nos intestins. Donc, qu'est ce qu'ils ont trouvé ? Ils se sont rendus compte que lorsque vous avez une composition bactérienne qui est affaiblie ou qui est dans une situation de déséquilibre, on appelle ça une dysbiose. Dans ce cas là, votre microbiote n'est pas en grande forme, n'arrivera pas à retenir l'inflammation générale que peut déclencher une réponse immunitaire très forte en cas de Covid19. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Vous connaissez surement la méthode des to do lists qui consiste à lister des tâches. Dans cet épisode je vais vous montrer que l'on peut facilement tomber dans un piège qui va finir par nous prendre plus la tête que la libérer. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode de podcast où on va essayer de s'alléger l'esprit. Puisque oui, les to do list, les tâches pour avancer dans ses projets, ça peut être très bien, mais ça peut être aussi un piège qui peut nous alourdir l'esprit, nous prendre littéralement la tête. Donc, il y a certaines tâches dont il faut se méfier. On va voir lesquelles. On va voir ce que l'on peut faire pour éviter tout ça et se servir correctement des tâches et de la planification pour avancer dans vos objectifs, qu'ils soient professionnels ou personnels. Allez, on va un petit peu se libérer la tête. C'est parti, on va parler des to do lists, des tâches. C'est quasiment impossible que vous n'en ayez pas entendu parler puisque c'est quelque chose, une technique, méthodologie dont on entend beaucoup parler depuis plusieurs années, qui consiste à écrire des actions, des tâches pour avancer vers un objectif. Qu'il soit d'ailleurs personnel. Ça peut être des tâches que vous avez à faire chez vous. Ça peut être aussi, évidemment, professionnel, avec des listes sur vos, sur vos projets dans lesquels vous devez avancer. On se retrouve avec maintenant des applications, des méthodes qui nous permettent de facilement écrire justement ces tâches. Mais on peut assez vite se retrouver avec des listes immenses de choses à faire et ce qui était très positif, et une méthode d'efficacité, de performance à la base peut se transformer en quelque chose qui va devenir de la prise de tête et qui va nous encombrer l'esprit. Puisque évidemment, on veut tous avoir l'esprit plus tranquille. On l'a vu dans l'épisode juste avant celui ci. Être plus dans l'instant présent, profiter des moments de vie que l'on a et ne pas sans arrêt être en train de penser à ce que l'on doit faire. Et si vous avez beaucoup de choses listées, justement, vous savez qu'il y a beaucoup à faire dans le futur ou que vous devez en tout cas le programmer. Et ça peut vraiment vous gâcher des moments où vous devriez penser uniquement à l'instant présent. Donc, on peut rapidement tomber dans ce biais là puisque dans cet extrême qui est de lister tout, tout le temps et moi le premier, je vous l'ai déjà dit dans ce podcast. Mais souvent, quand on va s'attaquer à un objectif ou un projet qui est un peu, qui est assez gros, on va le décomposer en étapes et on peut très rapidement décomposer en petites étapes et avoir des listes énormes de tâches un peu partout. Evidemment, ça, ça nous encombre l'esprit. Ça nous encombre la tête puisque même si c'est noté peut être dans une application sur votre téléphone ou dans l'ordinateur ou dans un cahier, vous n'avez pas forcément à le retenir, à le mémoriser. Vous savez que ces listes sont quelque part. Vous savez qu'elles sont importantes, qu'il y a beaucoup de choses à faire et ça, forcément, ça vous occupe l'esprit et vous êtes un peu encombré, alourdi par tout ça. Donc, même si ces listes, elles peuvent nous aider, il y a une ligne à ne pas franchir pour ne pas tomber dans un extrême qui va finalement nous procurer du mal être dont on n'aurait pas besoin. On a déjà d'autres choses à gérer, donc il y a quelque chose à faire avec ces tâches. On gagne toujours à simplifier, même quand il s'agit de lister, de faire des to do list pour ne pas s'encombrer. Il faut toujours se dire que si on peut aller à l'essentiel. Là aussi, c'est vraiment un gain de temps, un gain de sérénité pour votre esprit pour la suite et pour tous les instants présents. Vous serez vraiment présent. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Ca y est c'est tombé ! Les scientifiques ont trouvé des microparticules de plastiques dans le placenta de femmes enceintes.. Bienvenue (ou pas) aux bébés cyborgs. On va voir dans cet épisode, en complément de l'épisode 32, comment c'est possible, pourquoi c'est alarmant et ce que l'on peut faire pour limiter ce phénomène. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va parler d'une étude qui a trouvé malheureusement des microparticules de plastique dans le placenta de femme enceinte. Donc on va en parler. On va voir pourquoi et comment ce plastique peut se retrouver là. Pourquoi c'est assez alarmant. Et qu'est ce que l'on peut faire pour éviter d'exposer nos futurs enfants à ces substances chimiques qui sont dans le plastique alors qu'ils ne sont même pas encore arrivés parmi nous ? J'espère que vous allez bien, on est parti pour cet épisode qui sera un complément de l'épisode 32 dans lequel j'avais longuement parlé des microparticules de plastique et vous avais dit qu'on en retrouverait probablement très rapidement dans tout le corps. Et bien là, il y a une étude de janvier 2021 qui vient de sortir au moment où j'enregistre là et qui en a malheureusement trouvé dans le placenta de femmes enceintes. Donc, voilà, ça permet de continuer à parler de ce sujet qui est important et qui, probablement, va prendre de l'importance au fil des années où ces recherches là vont avancer. Puisqu'on est, on s'expose à des choses et on est même pas au courant de ce que ça implique pour nous, pour notre corps, notre fonctionnement. Et là, on voit même l'impact que ça a sur des même pas des nouveaux nés, sur des fœtus qui ne sont même pas encore nés. Donc, c'est très important de parler de ce sujet. Donc là, c'est une étude qui est un peu une étude préliminaire puisqu'ils ont fait ces analyses uniquement sur six femmes qui ont réalisé des grossesses standard. Mais j'imagine que ça va ouvrir le champ pour faire des recherches bien plus poussées sur un nombre probablement bien supérieur de femmes et pouvoir aller peut être chercher plus finement des choses qu'ils n'ont pas pu réaliser dans cette première étude. Donc, en ce qui concerne les résultats de celle ci, ils ont trouvé des microparticules de plastique. On l'avait vu dans l'épisode 32. Les plastiques sont érodés, notamment à l'air libre par l'oxygène et par différents facteurs, mais ils sont érodés, de plus en plus érodés. Et vu que l'on en a partout autour de nous, qu'il y en a partout sur la planète, à la fin de cette érosion, on a des particules vraiment extrêmement petites, de ces plastiques et donc ils se faufilent malheureusement partout. Et donc là, ils ont retrouvé dans le placenta de femme enceinte, que ce soit dans la partie du placenta qui concerne le fœtus, mais aussi la partie de la mère des fragments des deux côtés. Ça concerne les deux êtres. Donc, c'est assez alarmant. Ils soupçonnaient même qu'il y en ait dans le bébé. Mais là, dans cette étude là, ils n'ont pas pu le détecter. Mais ce sera probablement le cas dans des futures études. Je ne vois pas pourquoi ce serait arrivé jusque là et que ça ne puisse pas aller directement dans le bébé. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Savourer ce que nous avons sous nos yeux sans accorder de temps aux regrets ou aux attentes. C'est certainement l'un des plus grands challenges de l'être humain ! Je vous en parle dans l'épisode d'aujourd'hui et vous propose de voir comment profiter de votre vie avant qu'elle ne vous échappe. Rien que ça ! :) Bonne écoute ! ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode de podcast et aujourd'hui, j'ai envie de vous parler de l'instant présent. On va voir évidemment ce que c'est pourquoi c'est important d'être dans le présent pour profiter de sa vie. Et évidemment, on va parler de ce qui nous retient. Des regrets, des attentes et quelles habitudes on peut mettre en place pour revenir dans le présent, s'y ancrer et profiter vraiment de la vie qui est sous nos yeux et qui se déroule sous nos yeux. J'espère que vous allez bien. On va démarrer cet épisode en partant du constat un peu général qu'on a souvent tous avec les années qui passent. On se rend compte qu'elles passent de plus en plus rapidement. Et en prenant un petit peu d'âge, probablement vers la trentaine, ça doit dépendre des personnes, mais en tout cas, moi, c'était mon cas. On se rend compte qu'on aimerait profiter un peu plus de notre vie, des bons moments, de ce que l'on vit peut être aussi au quotidien. Mais parfois, on a du mal à freiner. On est tous sur des rythmes de vie assez rapide avec le travail, peut être les enfants. Ou bien si vous êtes encore dans vos études. Mais on est souvent constamment dans l'urgence et d'autant plus aujourd'hui, avec toutes les informations dont on a à disposition grâce au Web. On peut très rapidement, vite solliciter et nos journées, nos semaines, nos années passent extrêmement vite. Et on se rend compte assez rapidement que on profite pas assez de la vie que l'on mène, que l'on a. On est peut être pas si heureux que ça et il y a beaucoup de personnes qui pensent ça et qui ont du mal, justement, à revenir, à être présent, à être dans l'instant présent. Puisque si on est toujours dans l'urgence à aller à droite, à gauche, à avancer, à penser à plein de choses, on a évidemment du mal à être présent dans le présent, à être conscient de ce qui se passe dans notre corps, autour de nous et à se rendre compte de la chance que l'on a de vivre certains moments. Et on peut passer très facilement aujourd'hui à côté de ça. Et c'est le bilan, c'est le constat que beaucoup de personnes font. Je ne sais pas si, si vous avez vu, mais dernièrement, c'était en décembre 2020. Il y a le film Soul de Pixar qui est sorti et qui cartonne d'ailleurs. Il S'attache à traiter un sujet qui est assez difficile, qui est l'enthousiasme, qui est comment trouver de l'enthousiasme, comment profiter justement du moment présent. Donc, ça a cartonné, peut être parce que ça résonne chez beaucoup de personnes. Mais je l'ai vu et il est vraiment très bien. Je vous le conseille et il y a un passage que je voulais vous lire qu'on peut retenir pour peut être se le rappeler dans nos quotidiens, d'aller plus vers le moment présent. Donc, je ne vous spoile rien, mais c'est un moment. Du coup, un des personnages qui raconte une anecdote, une histoire pour faire prendre conscience au personnage principal de quelque chose. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Même après tous les ingrédients que l'on a vu dans les 3 premiers épisodes de cette série sur les nouvelles résolutions, il en reste un très important. Assez crucial pour augmenter 2,5 fois plus vos chances d'atteindre votre objectif. Ne l'oubliez pas ! ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce dernier épisode de podcast consacré aux résolutions, aux nouvelles résolutions ou aux nouveaux objectifs que vous vous fixez pour l'année. Et cette fois, on va ajouter un ingrédient bonus supplémentaire qui va vous permettre très simplement d'augmenter vos chances d'atteindre vos objectifs 2,5 fois plus souvent. C'est parti pour ce dernier épisode consacré aux nouvelles résolutions. J'espère que vous allez bien en ce début d'année, et malgré la période, que vous arrivez à voir plus de positif que de négatif et de vous concentrer plus sur vos objectifs, les choses que vous pouvez faire, que vous pouvez adapter. Puisque quelles que soient les situations, on peut toujours choisir d'avancer, de progresser et de transformer sa vie. Et pour ça, il faut faire des actions, se fixer des objectifs et on l'a vu dans les précédents épisodes, il y a plusieurs choses à penser, à définir, notamment justement ses résolutions, ses objectifs. Il faut bien les définir. Ça participe énormément au futur succès ou non de ces objectifs. Et aujourd'hui, on va voir encore un ingrédient supplémentaire très simple. Et pourtant, qui peut vous permettre de multiplier vos chances, votre potentiel pour atteindre vos résolutions et la quête que vous vous êtes fixée pour atteindre certaines choses qui vont certainement impacter votre bien être ou votre vie en elle même. Dans les précédents épisodes, on avait vu comment bien définir ses objectifs, pourquoi c'était si important par rapport au nombre de personnes qui établissent des objectifs de la mauvaise façon. Et du coup, un nombre très important de personnes échouent dans leurs objectifs. Et dans un autre épisode, on avait vu comment augmenter sa motivation, la nécessité ressentie d'aller vers cet objectif et de le réussir. Donc, je ne vais pas vous refaire la mise en contexte dans cet épisode. N'hésitez pas à aller voir les trois premiers qui étaient consacrés à cette série. Je vais tout de suite vous dévoiler l'ingrédient supplémentaire qu'il faut absolument ajouter dans cette recette pour réussir à a booster vos chances d'atteindre vos objectifs. Donc là, je vais vous parler de résultat que j'ai trouvé dans quatres études différentes. Comme toujours, je vous mets les références de ces études sur mon site libreneur.com dans la partie blog où je transcris les podcasts. Et à la fin du transcript, vous avez à chaque fois les références des études que j'utilise. Donc, on l'a vu dans l'épisode 2 consacré à la définition des objectifs, on a vu que c'était très important de définir correctement ses objectifs. Et notamment, il y avait 5 ingrédients indispensables pour vraiment booster ses chances de réussir ce que l'on veut mettre en place. Mais ils se sont surtout rendu compte, en plus de ça qui était très connu, que si on combinait avec un seul autre ingrédient en plus des 5 que l'on a, que l'on a vu pour bien définir un objectif. Les personnes qui faisaient ces deux choses avaient 2,5 fois plus tendance à atteindre, à réussir leur objectif, leur nouvelle résolution. Et cet ingrédient supplémentaire, c'est qu'il est impératif de suivre sa progression vers son objectif. Si vous définissez correctement votre objectif, mais que vous ne le suivez pas du tout jusqu'à la fin, par exemple, vous avez 2,5 fois moins de chances de réussir cet objectif. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Sans motivation c'est l'échec assuré pour votre nouvelle résolution. Je vous donne 5 ingrédients pour transformer votre objectif en une nécessité et l'atteindre à coup sûr. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode, le troisième de la série consacrée aux nouvelles résolutions que l'on définit souvent en début d'année. Et cette fois, on va voir comment devenir inarrêtable. Comment apporter énormément de motivation dans vos objectifs, dans votre résolution. Et on va transformer votre résolution, vos résolutions en une nécessité pour vous, ce qui va évidemment énormément augmenter vos chances d'atteindre vos objectifs. J'espère que vous allez bien. On se retrouve pour le deuxième épisode en ce début d'année, le deuxième épisode de l'année 2021 consacré à nouveau aux nouvelles résolutions dont on est dans le troisième épisode sur quatre. Et on aura fait déjà un tour plutôt complet de la question. Et aujourd'hui, on va voir quelque chose d'assez essentiel puisque si on n'est pas motivé, si on n'a pas la niaque pour atteindre son objectif, la nouvelle résolution, le challenge qu'on s'est définie, il y a de grandes chances qu'on arrête, qu'on échoue très rapidement. On a tous évidemment très envie de réussir nos nouvelles résolutions. On aime les mettre en place, en parler, mais on n'a pas forcément tous la motivation pour y arriver. Et c'est même le principal souci dans beaucoup d'objectifs que l'on définit. Beaucoup de personnes souhaitent être très riches, très célèbres. Mais quand on se confronte à la réalité, souvent, on n'a pas la motivation ou les outils pour mettre en place des actions pour y arriver. Et on sait que même des personnes qui ne sont pas forcément bien préparées face à un objectif qui paraît impossible, si elles ont une motivation inébranlable. C'est certain qu'elles vont défoncer tous les murs, toutes les barrières qui vont se présenter devant elles et elles vont atteindre. Elles vont finir à terme par atteindre leur objectif. Et c'est pareil pour les nouvelles résolutions. Si vous augmentez énormément la nécessité pour vous d'atteindre votre objectif, vous allez trouver des moyens. Vous allez trouver la motivation de faire les actions pour réussir et atteindre ce que vous avez défini au départ. Et comme dans l'épisode précédent où on a vu les ingrédients pour définir un objectif. Là, je vais vous montrer l'équivalent, mais pour devenir motivé par rapport à cet objectif. Et là aussi, je vous propose cinq ingrédients qui, si vous les appliquez, vont vraiment propulser vos chances de réussir votre nouvelle résolution très, très haut. Et il y a peu de chances que vous n'arriviez pas si vous mettez tout ça en place. Donc, le premier ingrédient est certainement peut être le plus puissant. Si vous avez vraiment envie ou si vous avez un besoin presque vital d'atteindre un objectif, une nouvelle résolution, c'est probablement ce qu'il faut cibler. Et ce qu'il faut bien réfléchir, c'est de définir avec votre objectif un malus en cas d'échec. Mais je parle d'un véritable malus, pas uniquement quelque chose à laquelle vous pouvez échapper, vous pouvez facilement esquiver. Si vous définissez un malus, quelque chose qui va vous pénaliser et que vous ciblez quelque chose qui vous embête vraiment. Je peux vous garantir que votre implication va être totalement différente par rapport à un objectif qui n'en aurait pas. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


On ne définit pas une nouvelle résolution à la légère si on veut la réussir. C'est même une grande partie de la réussite qui se joue à ce moment là. Je vous donne les 5 ingrédients pour obtenir une résolution que vous allez atteindre. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode. On continue notre série pour réussir nos nouvelles résolutions, réussir nos objectifs. Là, c'est le second épisode de la série pour bien commencer l'année. Et aujourd'hui, on va voir que de bien définir correctement ses objectifs, ses nouvelles résolutions, c'est déjà un énorme pas pour avancer vers la possible réussite de ces résolutions. OK, c'est parti. J'espère que vous allez bien. Premier épisode de podcast de l'année. Si vous l'écoutez juste après la sortie, j'espère que vous avez passé de très bonnes fêtes, que vous avez réussi à profiter quand même de cette période avec le covid et que vous avez trouvé de la gratitude, du positif, même si vous étiez peut être pas, comme moi, comme ma famille, on était pas réunis. Donc cette année, on a fait différemment, mais au moins, on se souviendra différemment de ce Noël par rapport aux autres qui se ressemblent un peu tous. Donc, d'abord, je veux vous souhaiter une très bonne année, évidemment, 2021. Je vous souhaite énormément de positif, de peut être aller vers le développement personnel, d'avancer, de faire progresser votre vie. Évidemment, je vous souhaite une très bonne santé puisque ça, c'est ce qui détermine tout le reste. De mon côté, 2021, avec la sortie de plein de choses sur le site de mon projet Libreneur.com, je vais vous proposer plein de contenu, plein d'outils, donc évidemment, je vous annoncerai tout ça, mais n'hésitez pas à aller faire un tour de temps en temps. Il y aura très vite des nouveautés. Retour sur le sujet du jour où on est dans le deuxième épisode sur les nouvelles résolutions et finalement, il y aura quatre épisodes sur le sujet au total. Puisque j'ai un petit peu trop de choses à dire. Donc j'ai scindé encore en un épisode de plus. Et aujourd'hui, je veux vous parler de la définition de son objectif, de ses nouvelles résolutions. Puisque bien définir ses nouvelles résolutions, c'est déjà énormément mettre de son côté les chances pour réussir cette nouvelle résolution ou ses nouvelles résolutions. Puisqu'on l'a vu dans le premier épisode, il y a énormément d'objectifs, de nouvelles résolutions qui ne sont pas tenues. Il y a au bout d'un an déjà, entre 80 et 90% des personnes qui ont abandonné leurs résolutions et même plus de 20% dans les deux premiers mois, donc, c'est assez énorme. Et ça vient souvent d'une définition qui est un peu bancal. Et on va le voir, il y a des points vraiment à respecter. Ça vous aidera grandement à réussir vos objectifs. Donc aujourd'hui, je vais vous parler de quelque chose qui est assez connu dans le domaine qui sont la définition d'objectifs selon une méthodologie qu'on appelle des objectifs smart. Donc smart pour intelligent en anglais. Mais c'est uniquement un moyen mnémotechnique pour retenir ce qu'il faut mettre comme ingrédients dans ses objectifs. Puisque chaque lettre du mot smart S. M A. R. T représente un mot à retenir avec un ingrédient, un ingrédient pour bien définir vos nouvelles résolutions. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Que ce soit la période des nouvelles résolutions ou non, je vous propose une série d'épisodes pour décupler vos chances de réussir vos objectifs. On commence avec LA base indispensable à mettre en place avant même de penser aux challenges à réaliser. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour ce nouvel épisode, le dernier de l'année 2020. Et qui dit fin d'année dit Nouvel-An, dit nouvelle résolution. Donc on va s'attaquer à une série sur le sujet et on commence ce premier épisode avec la base indispensable à déjà prévoir en amont avant de penser à se définir des objectifs. Il y a une base indispensable à établir, sans quoi vous allez réduire vos chances de réussite quasiment à néant. J'espère que vous allez bien. Si vous écoutez cet épisode de podcast à sa sortie, vous êtes en plein dans les fêtes de fin d'année. Je vous souhaite beaucoup de bonheur malgré les conditions un peu particulière pour cette année 2020. En tout cas essayons tous d'en profiter en gardant un maximum de sécurité pour éviter de relancer la propagation de ce virus. Peut être que vous y pensez déjà. C'est la période où on commence à réfléchir aux nouvelles résolutions que l'on va mettre en place en début d'année. On a souvent un petit peu envie, même si c'est aussi une mode. On a souvent un petit peu envie de nouveauté, de démarrer l'année sur des bonnes résolutions et donc je m'attèle à cet exercice de vous proposer trois (en fait 4) épisodes sur le sujet. Et on va voir qu'il y a quelques bons réflexes, quelques bons conseils à appliquer. Et ça décuplera drastiquement vos chances de réussir vos nouvelles résolutions, vos objectifs qui peuvent tout simplement peut être transformer votre vie selon ce que vous allez choisir ou augmenter au moins votre bien être. Donc, c'est la période où on veut tous essayer de mettre des nouvelles choses en place et le souci, c'est que on le sait, on l'entend chaque année. La plupart du temps, ces nouvelles résolutions se soldent par des échecs puisque on les prend un petit peu à la légère. On les définit rapidement, peut être en rigolant, et on ne va pas tenir longtemps du tout. Et les chiffres parlent d'eux mêmes. On en entend très souvent parler. Il y a plein de chiffres qu'on peut trouver, mais ils sont à peu près tous du même ordre de grandeur. Donc, je vous en pris une, c'est une étude de 2007 sur 3000 personnes qui indiquent qu'au bout d'un an, 88% des personnes ont abandonné leur résolution. Donc, évidemment, c'est énorme. Avec 12 personnes qui ont réussi à mettre en place quelque chose sur le long terme. Et un chiffre encore pire, c'est au bout d'une semaine, vous enlevez déjà 20% des personnes qui n'ont pas réussi à tenir ne serait ce que 7 jours. Donc, ça montre bien que c'est quelque chose qui est pris vraiment à la légère et c'est un peu dommage. Alors évidemment, c'est une mode. À cette période, il y a beaucoup de personnes qui vont se lancer des défis, peut être avec des copains et donc c'est pris vraiment très légèrement et ils savent déjà qu'ils vont rapidement abandonner. Ça reflète un peu ces chiffres là. De toute façon, il faut bien se dire que des objectifs, ce serait plutôt à définir toute l'année, selon ce que l'on veut faire selon les périodes, et pas uniquement en début d'année. Après avoir fait beaucoup d'abus en terme d'alimentation, peut être de fatigue, ce n'est pas forcément la meilleure période, même si on en a envie, pour démarrer des objectifs compliqués. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Dernier épisode de la série sur le bio ! Cette fois on parle des freins à consommer des produits bio et au contraire des motivations de ceux pour qui c'est une habitude. Je vous montrerai aussi pourquoi je pense que l'on va assister à une généralisation du bio dans les années à venir. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour ce nouvel épisode, le troisième de la série sur l'alimentation biologique. On a vu dans les deux premiers des avantages clairs pour la santé et on va voir dans celui ci quelles sont les barrières. Quels sont les freins qui empêchent beaucoup de personnes à passer au bio ? Et au contraire quelles sont les motivations de ceux qui mangent principalement bio ? Et enfin, pourquoi je crois fermement que l'on va aller vers une généralisation de cette qualité d'alimentation. J'espère que vous allez bien. On est parti pour ce troisième épisode de la série sur l'alimentation biologique et on démarre tout de suite avec les freins, les barrières qui font que beaucoup de personnes ne passent pas à un type d'alimentation biologique, ne se procurent pas de produits bio, alors même que l'on sait que cela a forcément une incidence sur sa santé. Du moins, on l'a vu dans les deux premiers épisodes de la série, on s'en doute, on s'en doutait et on s'en doute de plus en plus grâce aux études très récentes. On a vu que des véritables études d'ampleur, elles sont vraiment peu. Elles sont très récentes et du coup, jusqu'à présent, c'était plutôt un petit peu sans preuves, une question de bon sens en se disant que forcément de se procurer des aliments de meilleure qualité sans notamment tout le cortège de pesticides, ça avait une incidence très positive sur sa santé. En tout cas, de mon côté, j'ai pendant longtemps entendu la barrière principale du justement le manque de preuves, qui crée du coup une méfiance envers les produits bio. On nous vend quelque chose qui finalement va être difficile d'accès puisque c'est cher. Et on a de la méfiance parce qu'on n'a pas la connaissance, sans la connaissance de ce qu'il y a dedans. Qui le fait ? Comment ? Quels sont les critères ? Quel est finalement le cahier des charges ? Est ce qu'il est vraiment tenu ? Il y a beaucoup de méfiance et c'est difficile de comprendre quelles sont vraiment les avantages du bio ? Puisque c'est vrai que si on n'est pas dedans, moi j'ai eu cette connaissance parce que j'ai fait des études de biologie, donc je me suis rapidement dit que dès que j'aurai les moyens, dès que je travaillerai, j'essaierai de tendre de plus en plus vers des produits bio. Mais sinon, je comprends tout à fait cette méfiance qu'ont la plupart des gens, même si de moins en moins, ça s'estompe. Mais quand j'ai commencé à acheter des produits bio, il n'y avait pas grand chose. C'était il y a maintenant une dizaine d'années. C'était vraiment difficile d'accès, peu compris et donc il y avait énormément de méfiance. Cette méfiance est toujours là, notamment grâce ou à cause plutôt du prix qu'on demande pour acheter des produits bio. Les gens ont du mal à comprendre, puisque ça demande évidemment de toucher à quelque chose qui compte énormément, le portefeuille. Il y a un manque de connaissances et en plus, il faut souvent revoir un peu sa façon de consommer, de cuisiner, de comprendre des produits. Souvent, les produits sont un peu différents, on ne comprend pas ce qu'il y a dedans. On trouve des goûts très différents, moins de goût, moins prononcé puisqu'il y a moins d'additifs, de sel, de choses qui sont rajoutés. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


On poursuit notre série sur le bio en parlant d'une étude ayant fait le lien entre cancer et alimentation biologique. Encore une grande maladie mise en comparaison avec le type d'aliments que l'on consomment. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode, le deuxième de la série sur l'alimentation biologique. Aujourd'hui, on va se concentrer sur une étude qui a montré que le fait de consommer bio dans certains cas peut réduire de 24 pourcents le risque de développer un cancer. OK, donc deuxième épisode de cette série sur l'alimentation biologique et deuxième étude puisque là aujourd'hui, on va prendre une autre étude qui se concentre sur les risques de développer un cancer. Dans le premier épisode où je parlais du diabète de type 2, j'ai fait beaucoup de mise en contexte, donc n'hésitez pas à aller l'écouter. Je vais être beaucoup plus succint pour cet épisode là et on va se concentrer sur les résultats de cette étude. Donc, simplement brièvement, on avait vu dans le premier épisode que jusqu'à présent, jusqu'à il n'y a pas si longtemps, le fait de consommer bio pour sa santé, c'était avant tout du bon sens. En regardant le cahier des charges, en se rendant compte qu'il y avait quand même beaucoup de facteurs qui pouvaient influencer la santé en moins. Mais il n'y avait pas forcément de chiffres d'études d'ampleur là ces dernières années et les choses ont un petit peu changé. Elles arrivent, on a des données, des études, des recherches d'ampleur qui arrivent et qui vont petit à petit dans les années futures, aller plus loin dans les conclusions, dans les certitudes. Donc là, c'est un peu le même type d'étude puisque on est sur un grand nombre de personnes qui ont rempli des données. C'est aussi une étude sur des personnes qui vivent en France et qui ont été suivies pendant 5 ans. Donc, on parle de 69 000 personnes quand même. Donc, effectivement, une étude avec beaucoup de données initiales et ils se sont rendus compte. Donc après 5 ans, ils ont regardé les personnes qui avaient développé un cancer. Donc, comme dans la première étude, ils ont séparé les personnes en groupes qui consomment plus ou moins bio. Et ils se sont rendus compte que les personnes qui consommaient le plus d'aliments biologiques avaient un risque de 24% en moins de développer un cancer après 5 ans, par rapport à ceux qui en ont mangé le moins, d'aliments biologiques, voire quasiment pas du tout dans leur alimentation. Donc, on est sur un chiffre là aussi, qui est plutôt intéressant. On dépasse les 20% d'incidence et on se rend compte du coup qu'il y a un avantage, forcément, qui suit un petit peu le bon sens, de se dire que si je consomme des produits biologiques qui vont être plus riches en termes nutritionnels, qui vont comporter moins d'additifs ou de choses qui vont perturber notre corps, notamment les pesticides. On avait vu dans l'épisode 1 que c'était l'hypothèse la plus probable et vraiment celle qui était mise en avant par les auteurs de l'étude sur le diabète, puisqu'ils indiquaient que c'était les pesticides qui étaient reconnus comme ayant beaucoup d'impact sur nos corps. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


C'est parti pour une série de 3 épisodes sur l'alimentation biologique. On commence avec une étude de novembre 2020 sur la relation entre bio et diabète. Les études d'ampleurs s'accumulent et c'est l'occasion de parler du bio ! ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue ! Aujourd'hui, je vous propose de démarrer une série de trois épisodes sur l'agriculture biologique, sur le fait de se nourrir bio. Et on va commencer ce premier épisode en montrant que manger bio peut vous permettre de réduire le risque de développer un diabète de type 2 de 35%. OK, j'espère que vous allez bien. On est parti sur une série de trois épisodes sur le bio, sur une thématique qui me tient à coeur et dont je voulais vous parler déjà depuis un petit moment. C'est un incontournable quand on s'intéresse au développement personnel ou à la progression de sa santé. Et évidemment, une alimentation saine a une grande part là dedans. Donc, est-ce qu'il faut consommer, bio ou non ? C'est une question qui fait débat. Pour beaucoup de personnes, même encore aujourd'hui, et je le comprends. Jusqu'à peu, il y avait encore peu d'études d'ampleurs, donc évidemment beaucoup de méfiance, de doute. Et la principale barrière, évidemment, c'est est-ce que je dois vraiment payer ce prix là pour avoir ces produits bio en n'étant pas sûr des bénéfices que je vais avoir derrière ? Alors évidemment, le bio n'est pas tout rose. C'est jamais noir ou blanc, c'est gris. Mais le bon sens l'emporte quand même souvent. Si on prend le temps de s'y intéresser. Puisque c'est bien là où les doutes se logent, c'est de ne pas savoir. Moi, j'ai fait des études de biologie, donc j'ai eu la chance de comprendre par ce biais là. Mais c'est vrai que sans ça, on peut avoir des doutes qui sont légitimes. Après, si on regarde vraiment le cahier des charges des labels bio, que ce soit au niveau national et européen qui sont harmonisés. On se dit en tout cas avec le bon sens qu'évidemment on va trouver plus de produits ou de nutriments de qualité dans ces produits là et que ça va avoir un bénéfice pour notre santé. Donc n'hésitez pas si vous ne connaissez pas ce qu'il y a dedans, c'est très rapide. C'est une liste très rapide, mais qui peut déjà grandement éclaircir les choses. Vous tapez cahier des charges, label bio ou label bio européen et vous allez regarder la liste de ce que doivent respecter les producteurs de produits biologiques. Et déjà, voilà, on se rend compte, de règle générale, que vous enlevez les pesticides, les engrais artificiels, les OGM pour certains produits, les antibiotiques ou les hormones de croissance. Et que vous favorisez tout ce qui est naturel, quel que soit le stade de production. Donc, si on s'intéresse à sa santé, c'est vrai que si on ôte les soucis avec les pollutions ou l'intervention des pesticides, antibiotiques, des perturbateurs endocriniens dans ce que l'on mange déjà, on s'évite pas mal de soucis, pas mal de problèmes. Evidemment, comme je vous disais, tout n'est pas rose. Il peut y avoir des parcelles bio et juste à côté, une parcelle qui n'est pas bio et des pesticides qui se retrouvent dans le champ d'à côté. On peut toujours trouver des contradictions, mais en règle générale, le bon sens l'emporte quand on s'y intéresse. Rien que ce cahier des charges est très intéressant. Et puis, on ira plus loin pour tout ce qui est barrières et raisons dans l'épisode 3 qui y sera consacré exclusivement. Là, on va se consacrer plus à une étude en particulier dans cet épisode. Puisque oui, enfin, on a des études qui sont déjà d'ampleur bien plus grandes qui arrivent et qui vont pouvoir appuyer le fait que la consommation de produits biologiques dans notre alimentation va avoir un gain de santé certain sur notre corps. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Les empathiques par nature vous le diront. Cela peut être un poids à moins de se connaitre soi, les émotions humaines et cette compétence. Car oui l'empathie peut devenir un véritable superpouvoir. Je vous montre pourquoi et comment la faire progresser car c'est possible pour tout le monde ! ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour ce nouvel épisode où on va parler de l'empathie qui est quelque chose qui peut être vécu vraiment comme un poids, quelque chose qui alourdit le quotidien par les personnes qui sont très empathiques. Mais on va s'apercevoir que on peut le voir de façon différente, comme un super pouvoir quand on commence à se connaître, à le connaître. C'est vraiment quelque chose qui peut être bénéfique. Et si vous ne l'êtes pas par nature, on va voir comment on peut développer cette empathie chez n'importe qui. J'espère que vous allez bien. On est parti sur ce sujet de l'empathie qui est un sujet relativement vaste et qui apparaît de plus en plus dans les articles de développement personnel, même dans le milieu professionnel. Puisque c'est quelque chose qui est intéressant, notamment pour le fonctionnement des équipes. Donc, c'est quelque chose qui devient une compétence. Et c'est vrai que pendant longtemps moi, je n'avais pas du tout identifié ça chez moi alors que je l'étais. J'étais quelqu'un d'empathique, par nature sensible. Mais j'en avais aucune idée. Qu'est ce que c'est déjà que le fait d'être empathique, d'avoir de l'empathie ? C'est de ressentir les émotions, les sentiments et finalement, les intentions des autres. C'est de réussir à percevoir un peu derrière le filtre d'une personne et de se mettre à sa place sans forcément ressentir nous même les émotions en nous, mais simplement comprendre ce qu'elle vit. Donc, pour l'empathie, soit on l'est par nature, soit c'est votre profil, c'est dans votre profil psychologique, vous êtes empathique par nature, soit ça se développe. C'est quelque chose qui se développe quand on apprend à se connaître. On va voir que ça peut apporter beaucoup de ce que j'ai appelé des super pouvoirs. Maintenant, je le vois vraiment comme ça. Mais à la base, ça vient souvent pour les empathiques par nature, avec de l'hypersensibilité. Donc, cette hypersensibilité, cette empathie envers les autres, ça peut être vécu beaucoup comme un poids, comme un alourdissement du quotidien, surtout quand on est jeune et qu'on ne se connaît pas encore et qu'on n'arrive pas à comprendre ce que l'on ressent et la différence de ce que les autres peuvent ressentir. C'est vrai que, pour ma part, je pense que j'ai identifié ça assez rapidement puisque je me suis orienté assez vite, dans les études de biologie, j'étais très intéressé par les animaux, par la protection des animaux et j'arrivais facilement à me, entre guillemets, à me mettre à la place d'un animal en danger. Et je ne comprenais pas pourquoi il n'y avait pas plus d'intérêt pour la cause, pour la cause animale. C'est vraiment quelque chose qui me parlait. Je voyais bien qu'il y avait une différence. Il y avait des gens qui s'en fichait complètement et puis d'autres personnes qui y étaient sensibles. Et déjà, je percevai qu'il y avait cette différence. Et après en grandissant, en prenant de l'âge et en apprenant à se connaître et à interagir plus avec d'autres personnes différentes, on se rend compte que l'on est souvent incompris. On ne comprend pas la réaction des personnes qui, peut être, manquent un peu d'empathie ou qui ne l'ont pas encore développé. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Gagnez en temps et en efficacité en arrêtant quelque chose de bien trop négligé aujourd'hui. Je vous propose d'augmenter de 50% votre productivité lorsque vous réalisez des tâches qui nécessitent de la concentration. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour cet épisode où l'on va parler de productivité et je vais vous montrer comment avoir un gain potentiel de 50% pour les tâches qui vous demandent de la concentration, en stoppant, en arrêtant quelque chose dont on néglige fortement les impacts sur notre capacité à produire, à nous concentrer. J'espère que vous allez bien, on est parti pour cet épisode où on va parler de concentration, de productivité. C'est un secret pour personne. Aujourd'hui, notre temps d'attention, de concentration, de production, est de plus en plus faible au fur et à mesure des années, puisque la quantité d'information à laquelle on accède est vraiment aujourd'hui supérieure à la demande. Donc, on est soumis à tellement d'informations que l'on est obligé de réduire notre attention et de zapper, de passer d'une information à une autre, puisque c'est vrai que cette information aujourd'hui, elle est partout. On a de plus en plus d'écrans autour de nous, que ce soit la télé, l'ordinateur. Maintenant, on a les smartphones, les montres. Bientôt, il y aura probablement les frigos, les miroirs. Les écrans se glisseront partout et avec eux de l'information. Les réseaux sociaux, dont le but est quand même que l'on reste le plus longtemps dessus possible. Et quand ils ne génèrent pas de notifications, ce sont nos autres applications qui vont générer des notifications de messages, divers chats. Même maintenant dans le milieu professionnel, on a aussi du coup eu l'habitude de zapper, d'aller d'une information à une autre, de consulter une actualité rapidement, puis d'aller à une autre. Et c'est aussi comme ça que se sont orientés les médias en nous proposant maintenant quasiment uniquement que du contenu choc au niveau émotionnel pour que cela attire notre attention, qui est de moins en moins présente et que l'on aille d'une actualité à une autre. Et puis, dans le milieu professionnel, on a aussi de plus en plus de bureaux en open space qui vont aussi diminuer notre capacité à être attentif, concentré, avec sans cesse des informations qui arrivent de tous les côtés. Donc, au final, on se retrouve avec un chiffre qui est assez flagrant. C'est qu'en 30 ans, les 30 dernières années, nous avons produit plus d'informations qu'en cinq mille ans d'histoire. Donc nous sommes littéralement baignés dans de l'information et on parle donc de chiffres impressionnants. Nous avons 8 secondes d'attention au maximum disponibles lorsque l'on est en train de naviguer sur le web. Et en milieu professionnel, pour un employé de bureau, on parle de 11 minutes maximum avant qu'il y ait une interruption, quelque chose qui viennent interrompre le travail de cette personne. Donc, à partir de là, on comprend bien qu'il est difficile d'être un producteur, de produire et de ne pas tomber dans la tendance générale où l'on est des consommateurs d'informations à longueur de journée. Donc, ça devient beaucoup plus difficile aujourd'hui d'atteindre des objectifs, de réussir des projets, d'être efficace en un temps donné. Et on se demande, on voit souvent des demandes où l'on se questionne sur comment font certaines personnes pour produire autant. Alors oui, elles se concentrent sur probablement ce qui comptent le plus. Mais faut il encore y arriver avec toutes ces informations. Toutes ces sollicitations qui sont, on ne va pas se le cacher souvent intéressantes, elles vont nous captiver puisque aujourd'hui, on peut accéder à des informations sur des niches très spécifiques, sur des choses qui peuvent nous intéresser. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Les noix, graines, oléagineux sont des aliments très riches en micro nutriments (vitamines et minéraux). Le problème c'est que l'on en extrait qu'une petite partie lorsqu'on les mange. Je vais vous montrer dans cet épisode comment rendre toute cette richesse accessible très facilement. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode où l'on va parler des graines, des noix et des oléagineux. Et comment avec une méthode très simple on peut réussir à multiplier par deux, voire par dix, les micronutriments qu'elles contiennent et même les protéines. Et comment on va faciliter grandement leur absorption et nous éviter bien des soucis digestifs avec leur consommation ? J'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on parle alimentation et on va se concentrer spécifiquement sur une technique de préparation pour les noix, les graines et les oléagineux, puisque on entend souvent parler des vertus exceptionnelles de ces oléagineux, de ces graines. Puisque effectivement, quand on analyse leur composition, on se rend compte que c'est absolument incroyable ce qu'elles contiennent. Et pour cause, ce sont des graines qui vont donner les futures plantules. Donc, la plante a mis à l'intérieur tout un tas de réserves, d'une richesse qui va servir pour que la plantule puisse se développer. Et finalement, c'est la reproduction de la plante qui est en jeu. Donc, du coup, c'est évidemment quelque chose qui est vital, qui est le plus important pour cette plante. Donc, du coup, elle va stocker à l'intérieur de ses graines une richesse incroyable, notamment en micronutriments, donc en vitamines et en minéraux. Ces graines, ces noix font partie de notre alimentation depuis la nuit des temps. On sait qu'il y avait d'anciennes civilisations qui consommaient énormément de certaines graines. Je pense particulièrement aux graines de chia qui étaient l'un des aliments phares pour les Aztèques au Mexique. Et on a comme ça beaucoup d'exemples puisque évidemment, il y a énormément de graines, de noix différentes et on lit régulièrement un peu partout toutes les propriétés qu'elles comportent et les bienfaits qu'elles peuvent vous apporter à votre santé en les consommant. Donc, on peut lire qu'elles sont bonnes pour le cœur, le cerveau, contre le mauvais cholestérol, qu'elles comportent de nombreux antioxydants, qu'elles sont des sources de fibres qui réduisent la sensation de faim, qu'elles peuvent aider pour tout ce qui est régime. Elles comportent évidemment beaucoup de vitamines et de minéraux, qu'elles peuvent être antidépresseurs, qu'elles comportent des bonnes graisses, qu'elles sont riches en protéines pour les sportifs. Donc il y a énormément de choses, on peut retrouver des listes entières de propriétés et de bienfaits. Il y a des articles vraiment partout sur les graines et ces noix. Et pour cause. Mais le souci, c'est que l'on a oublié là aussi un peu le bon sens, la base. Comment est ce que ces graines se comportent dans la nature ? Quel est leur processus ? Comment est ce qu'elles donnent naissance à une plantule ? Le problème est que, en fait, en consommant des graines telles qu'elles, on accède souvent à une toute petite partie de cette richesse et on va avoir des soucis digestifs à les absorber puisque finalement, la graine va défendre farouchement les richesses qu'elle a et c'est le but. La plante l'a créée dans cet état d'esprit. Elle va renfermer énormément de richesses dans les graines qu'elle va produire. Mais le but, c'est que ces graines soient une sorte de bouclier, une sorte de coque, de coffre au trésor, finalement, qui doit survivre le temps que les conditions soient bonnes pour déclencher le processus de germination et l'apparition de la plantule. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


On va voir dans l'épisode du jour qu'un nouveau lien entre notre immunité et notre ventre et plus précisément notre microbiote (nos bactéries intestinales) a été fait. Et il montre une fois de plus la complexité du système immunitaire. Notre ventre est un véritable terrain d'entrainement pour notre immunité. Je vais vous montrer pourquoi c'est une découverte importante et comment favoriser votre microbiote. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour l'épisode d'aujourd'hui où l'on va traiter d'un sujet d'actualité avec l'immunité et on va voir plus précisément que notre ventre est une véritable salle de sport pour entraîner nos cellules immunitaires. On va voir que cette immunité, que l'on a, est bien plus complexe qu'on ne le pense. Et pourquoi c'est important et comment la favoriser ? J'espère que vous allez bien. On est parti pour l'épisode du jour où on va parler d'immunité et de notre ventre. On peut se demander quel est le lien, mais on va voir qu'il y en a un nouveau qui a été découvert, en plus de ceux qui ont déjà émergé ces dernières années. On va faire une rapide mise en contexte, c'est que jusqu'il y a encore dix ou quinze ans, on était très loin de s'imaginer que notre ventre avait un rôle si crucial pour notre immunité. On pensait depuis déjà un certain temps, on mettait vraiment le cerveau en avant, comme l'organe un peu roi. Il était vraiment mis sur un piédestal. C'était l'organe qui dirigeait tout, qui était maître de nos émotions, de nos choix, de diriger un peu l'entièreté du corps. Et si l'on met en parallèle cet organe là avec nos intestins, nos boyaux, comme on dit vulgairement, tout de suite, on tombe un peu en termes de niveau d'estime. Et le lien qui a été fait, donc, c'était déjà il y a plus de dix ans. Mais on s'était rendu compte, puisque notre immunité était souvent très étudiée et on sait à quel point elle est cruciale, surtout en ce moment. On s'était rendu compte qu'il y avait des liens étroits, on commencait à voir des pistes entre des fonctions qui étaient liées entre nos intestins et notre cerveau dans la mise en place, dans l'efficacité de notre système immunitaire. Donc, il y a dû avoir pas mal de personnes qui sont tombées un peu un peu dénues. Mais oui, notre ventre a aussi un très, très grand rôle à jouer dans notre corps et on se rend compte depuis quelques années. Depuis cette dizaine d'années, chaque année, il y a des nouvelles découvertes qui le font un petit peu plus monter dans ce classement des organes et on se rend compte qu'il a un rôle juste crucial et que, finalement, on ne comprenait qu'une infime partie de l'immunité et même encore aujourd'hui. On va voir là avec cette étude dont je vais vous parler aujourd'hui. On ne comprend pas grand chose encore à notre immunité. On est très loin de cerner toute la complexité de ce qui crée l'efficacité de notre immunité face à des pathogènes. Et c'est d'ailleurs l'un des débats quant à l'efficacité des vaccins, puisque les vaccins se concentrent sur la stratégie qui vise à nous remettre à notre corps des anticorps. Mais on sait aujourd'hui que c'est très réducteur par rapport à ce que représente l'immunité et notre système immunitaire, et c'est juste une toute petite partie de la stratégie pour que notre corps soit efficace en réponse à tel ou tel pathogène. Et on va voir que l'étude d'aujourd'hui rajoute encore une pierre dans ce domaine, dans cet édifice qui est notre immunité, qui est bien plus vaste que ce que l'on pensait. Alors, quel est le nouveau lien qui a été découvert ? Donc, c'est une nouvelle relation entre notre ventre et plus précisément notre microbiote. Donc, ce sont les bactéries qui tapissent nos intestins, et l'immunité. On connaissait déjà de nombreuses relations. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Le mode de vie que l'on a en tant que parents influence bien plus la santé de nos enfants qu'on ne le pense. Une récente étude apporte un éclairage nouveau et a même réussi à quantifier cette influence. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où aujourd'hui, on va parler d'une étude qui a réussi à quantifier l'influence du mode de vie des parents et notamment de la mère, sur la santé des enfants. Et on se rend compte que cette influence est bien plus importante que ce que l'on pensait. J'espère que vous allez bien. On se retrouve pour cet épisode. On va parler d'une étude très intéressante puisqu'elle a réussi à obtenir des données sur l'influence du mode de vie des parents, sur la santé cardiovasculaire de ces enfants. Et elle apporte un éclairage nouveau sur l'importance de ce mode de vie. Bien sûr, on le savait déjà. On sait déjà que, par exemple, la grossesse et ce qui va se passer durant la grossesse va avoir un fort impact sur le foétus et sur le futur enfant. C'est pour cela d'ailleurs qu'il y a plein de restrictions quand, mesdames, vous êtes enceintes. Mais on sait aussi que l'environnement dans lequel l'enfant va grandir est également important. Et puis, bien sûr, ce qu'on va lui apprendre, finalement, c'est tout le mode de vie des parents qui va jouer sur le développement et la santé de son enfant et de ses enfants. Mais là, ce qui est vraiment intéressant, c'est que cette étude se déroule sur un nombre de parents élevés et sur une durée très élevée. Donc les données sont novatrices. Et puis, elles apportent un éclairage vraiment différent, nouveau, par rapport à ce qu'on savait déjà. Et c'est là où c'est intéressant puisque ça pourrait motiver des parents qui n'étaient pas vraiment à prendre, peut être un peu mieux soin d'eux mêmes et de leur environnement. Puisque quand on a un projet de devenir parent, on veut tous la même chose. On veut que nos enfants grandissent dans les meilleures conditions et la meilleure santé possible. Mais jusqu'à présent, même si on connaît les grandes lignes, on ne savait pas vraiment quelle est l'influence que l'on a avec les modes de vie que l'on choisit en tant que parent. Quelle est l'influence que l'on a directement sur la santé de ses enfants ? Et c'est là tout l'intérêt de cette étude, qui est donc sortie là tout début novembre 2020 et qui s'est concentrée sur sa spécialité. La spécialité de ce laboratoire, de ces chercheurs, ce sont les maladies cardiovasculaires. Donc, ils se sont concentrés là dessus. Ils ont cherché l'influence du mode de vie des parents sur le développement des maladies cardio vasculaires chez leurs enfants. Donc, là où je vous disais que c'est intéressant en termes de données, c'est que ça concerne 2 000 parents. Et ils ont été suivis, donc ses parents et ses enfants ensuite pendant quarante six ans. Donc là, vraiment, on peut parler de chiffres. Ils sont plutôt solides. Et ce qui est ressorti, c'est que l'influence du mode de vie était importante, bien sûr, sur la santé des enfants, mais pas uniquement sur le début de leur vie, mais sur toute leur vie, y compris à l'âge adulte. Et ce sont vraiment les mères qui sont les protectrices de leurs enfants, de la santé de leurs enfants, puisque ils se sont rendus compte que les descendants donc les enfants dont les mères ont un mode de vie sain (on verra après comment est ce qu'ils définissent ça), ces enfants là vivent presque 10 ans de plus sans développer de maladies cardiovasculaires. Par rapport aux mères qui avaient des modes de vie qui avaient tendance à augmenter les facteurs de risque. Donc, c'est intéressant, même si ça ne se concentre que sur les maladies cardiovasculaires. On parle d'un gain de 10 ans de vie où on peut vivre en pleine santé et où on peut profiter de la vie 10 ans de plus. Sur une échelle humaine, c'est quand même pas rien du tout. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Et si le secret de notre bien être, quel que soit le domaine, se cachait dans cette phrase de l'aventurier Mike Horn : la vie c'est comme une flaque d'eau. J'adore les analogies avec la nature et celle-ci est une perle. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où l'on va voir que le secret du bien être, quel que soit le domaine, pourrait bien se cacher dans la phrase de l'aventurier Mike Horn qui nous dit que la vie, c'est comme une flaque d'eau. J'espère que vous allez bien. On se retrouve aujourd'hui pour un épisode un peu plus léger que les derniers qui étaient plutôt inspirés, on va dire, par le confinement et la crise du covid. Là, on va faire beaucoup plus léger avec cette analogie. "La vie, c'est comme une flaque d'eau" qui m'a été directement inspirée par quelqu'un que j'apprécie beaucoup. J'en parle assez souvent. C'est l'aventurier Mike Horn qui fait souvent des parallèles avec la nature et ça me plaît beaucoup. Donc, en fait, j'ai regardé l'une de ses vidéos et on lui pose très régulièrement la question comment est ce qu'il fait pour être aussi en forme, avoir autant d'énergie à son âge. Puisque c'est vrai qu'il a, je crois qu'il a 55 ans et il fait encore des expéditions partout dans le monde. Et des expéditions qui ne sont pas du tout reposantes puisque la dernière en date, c'était la traversée du pôle Nord. Et puis, il enchaîne comme ça chaque année, des prouesses en termes d'exploration et des prouesses physiques qui sont juste impressionnantes. Et le temps, l'âge n'a pas l'air de jouer du tout sur lui. Et finalement, c'est quelque chose d'assez commun, comme demande, comme question, comme celle que l'on a eue là. C'est que quand on rencontre des personnes qui sortent un peu de l'ordinaire, et notamment dans les médias, on voit que souvent, les questions qui reviennent, c'est de savoir comment elles font, comment ces personnes font pour faire autant de choses alors qu'elles ont aussi 24 heures dans chaque journée, comment elles font pour avoir autant d'énergie, pour avoir évidemment autant d'argent, pour paraître aussi jeune, musclé, mince, cultivé. A chaque fois, c'est un peu la même chose, les mêmes questions qui reviennent et c'est normal. Dès que l'on sort de l'ordinaire, on est remarqué. Et si ça tend vers un standard de succès, on ou les médias s'y intéressent rapidement, fortement. Et c'est tout à fait normal puisque tout le monde voudrait le meilleur pour soi même, pour soi même ou ses proches, sa famille. Et alors du coup, quel est le secret ? Quel est le secret du bien être quel que soit le domaine ? Pourquoi est ce que Mike Horn, quand on lui a demandé comment il faisait pour avoir autant d'énergie a répondu par cette analogie ? La vie, c'est comme une flaque d'eau. On pourrait parler de biomimétisme puisque, c'est quelque chose de très connu dans tout ce qui est technologie et innovation. On se sert, on s'inspire de la nature pour créer des choses qui vont nous servir à nous. Et là aussi, c'est une analogie, finalement, une sorte aussi de biomimétisme, une analogie par rapport à la nature. C'est très efficace pour retenir l'attention. C'est pour ça que moi, je l'ai remarqué et que là, je l'utilise aussi comme titre. Donc pourquoi est-ce qu'il a répondu "la vie, c'est comme une flaque d'eau". Et bien en fait, c'est de se dire que dans votre vie, si vous ne bougez pas comme la flaque d'eau, votre vie va se mettre à subir des déséquilibres d'une eau qui ne bouge pas, qui est stagnante comme une flaque. Elle va petit à petit se déséquilibrer, perdre en oxygène. Les algues vont se développer, elle va croupir. Elle va en quelque sorte pourrir. Et c'est exactement ça. Si dans votre vie, vous ne bougez pas, vous n'êtes pas en mouvement, vous allez stagner. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Travailler chez soi (télétravail) peut être très déstabilisant surtout au début. Ce mode de travail forcé cette année pour au moins 1/3 des salariés peut parfois être mal vécu. Je vous propose des habitudes que j'ai testé et approuvé ces 6 dernières années. Je les ai sélectionné pour leur efficacité surtout quand on découvre le télétravail. Je suis sûr qu'elles pourront être très utiles ! ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour cet épisode, le troisième de la série sur le télétravail, et on va parler aujourd'hui des meilleures habitudes pour travailler, pour télétravailler chez soi. Et on va voir que c'est une façon de travailler très différente et on peut être surpris. Et donc il y a des bonnes habitudes à mettre en place qui faciliteront grandement votre façon de travailler et le plaisir que vous allez prendre dedans, et l'efficacité que vous allez avoir. Allez, c'est parti pour ce dernier épisode de la série sur le télétravail que l'on fait en ce moment et on va parler des habitudes pour réussir à télétravailler, à travailler efficacement. Puisque on l'a vu dans les autres épisodes, en 2017 uniquement 3% des salariés télétravaillaient un jour par semaine. Et là, on passe avec le premier confinement à 34% des personnes qui se retrouvent à télétravailler toute la semaine. Donc ça fait un bond énorme et c'est un mode de travail qui est nouveau pour à peu près tout le monde. Et puis, c'est quelque chose qui est vraiment différent avec d'autres challenges. Mais on a toujours les mêmes objectifs en termes d'emploi, en termes de projets. C'est qu'on doit réussir les missions que l'on nous donne et donc il faut réussir à s'adapter à ce nouveau mode. Et c'est vrai que c'est assez différent, surtout les premières fois où on s'y met. Je me rappelle quand il y a six ans, quand je me suis mis à mon compte et que je me suis retrouvé seul devant mon ordinateur, je me sentais un peu bizarre. Je ne savais pas trop quoi faire. Comme par où commencer, comment m'organiser. Et le fait d'être chez soi, c'est vrai qu'on est dans son espace personnel dans lequel habituellement, on ne travaille pas. On est en train de faire des loisirs, de s'occuper, de vaquer à ses occupations personnelles. Et on n'est pas du tout dans un mode de concentration ou de réflexion comme on a habituellement dans nos espaces professionnels, dans nos locaux, dans les bureaux de votre entreprise ou de votre établissement. Donc, c'est tout à fait normal au début de se dire. Mais comment est ce qu'on va faire ? Comment je vais réussir à travailler ainsi ou à remplir mes objectifs alors que j'ai toutes ces tentations et c'est non habitudes professionnelles chez moi ? Et c'est tout à fait normal de ressentir ça, surtout les premiers temps. Donc là, moi, maintenant, ça fait six ans que je travaille de chez moi à mon compte. Donc, au fil de ces années, j'ai trouvé beaucoup d'habitudes possibles. J'en ai testé beaucoup et je vais vous en donner quelques unes qui me paraissent très importantes, surtout dans la situation actuelle où les personnes découvrent le télétravail. Cela passe par des outils ou des actions à mener, mais qui permettent vraiment d'être plus concentré, d'atteindre ses objectifs tout en restant motivés, restant un petit peu dans le plaisir de travailler chez soi. Et bien sûr, c'est comme tout. C'est un apprentissage. C'est une autre manière de travailler puisqu'on est un peu lâché chez soi. Mais on est plus libre, on a plus d'autonomie. Donc, évidemment, ça nécessite un peu de discipline. Mais il faut bien se rendre compte qu'on peut être beaucoup plus productif et en un temps bien moindre, on peut vraiment travailler moins de temps. Si on peut se le permettre, si on remplit ses objectifs chez soi, que dans des locaux professionnels avec des équipes qui travaillent autour. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


L'essor du télétravail est inéluctable et il va entrainer beaucoup de changement, dont les transactions immobilières. Opportunités, qualité de vie, le confinement n'aura pas eu que des désavantage en promouvant ce mode de travail. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode, le deuxième sur 3 de notre série sur le télétravail. Et aujourd'hui, on va parler spécifiquement de l'immobilier. On va voir que l'essor du télétravail va probablement grandement redéfinir les règles de l'immobilier et que cela va offrir des opportunités, notamment en termes de qualité de vie, à tout de suite. On va démarrer cet épisode avec une petite remise en contexte. On sait tous que dans les 50, 100 dernières années, il y a eu un exode massif des populations des campagnes vers les villes. Donc, on a vraiment eu une concentration dans les villes des populations, des services, des emplois, qui a même créé pas mal de zones rurales vraiment presque abandonnées. Et c'est quelque chose qui me touche pas mal puisque je suis originaire du département de la Creuse. Quand on en parle, ça fait souvent sourire parce que les gens ont vraiment en tête qu'il n'y a personne dans ce département, alors que ce n'est pas tout à fait vrai. Mais en tout cas, les campagnes ont été assez abandonnées. Et je me souviens de plusieurs villages où on voit que des panneaux à vendre ou des maisons dans des états vraiment de ruines ou presque. Et puis les campagnes qui sont assez pauvres et abandonnées, sont en train de changer. Les dernières décennies, les villes avaient une attraction très forte, notamment pour les jeunes, puisque évidemment, on pouvait y faire des activités ou y trouver des services qu'on n'avait pas dans les campagnes. Comme moi, je pense au cinéma ou aux grandes salles de sport, ou tout simplement pratiquer certains sports. Et puis, évidemment, trouver certains magasins et des emplois. Donc, tout ça, évidemment, ça a attiré vers ces villes là. Et moi, quand j'étais plus jeune, quand on allait finir le lycée, tous mes amis ou presque, on partait tous quasiment dans des grandes villes un peu partout en France. Donc ça, je pense que ça a peut être été vrai un peu de tout temps. C'est que les jeunes avaient envie de voir ce qu'ils ne connaissaient pas. Avec un départ, notamment vers les villes. Mais ça a aussi été vrai jusqu'à peu de temps pour toute la population. Puisque tout le monde, évidemment, avait besoin d'un emploi pour vivre. Et même une fois à la retraite, souvent, les personnes recherchent aussi des services en termes de santé qui sont de bonne qualité ou qui comportent tout simplement des possibilités, quand on a certaines maladies un peu graves, que les campagnes n'ont pas parce qu'il n'y a pas l'équipement, il n'y a pas les spécialistes. Donc voilà, tout ça fait que depuis maintenant plusieurs décennies, il y a une concentration dans les villes. Mais maintenant, si on regarde sur les dernières années, très récemment, on sent qu'il y a un changement qui est en cours. L'aura qu'avaient les villes est un peu en perdition. Et ça se comprend puisqu'il y a beaucoup de villes maintenant qui sont de plus en plus saturées, en termes de nombre de personnes; de trafic. Donc, c'est souvent difficile de se déplacer, notamment en voiture, et donc on perd évidemment beaucoup de temps. On a peut être beaucoup d'énervement aussi qui n'auraient pas lieu en campagne à cause de ça. Les gens sont différents dans les villes. On a moins l'entraide puisqu'on est très nombreux et on se met un petit peu tous en mode défensif. Et donc, ça peut créer des tensions que l'on ne ressent pas forcément à la campagne. Donc, finalement, cet agrandissement massif des villes avec beaucoup de constructions, il suffit de voir en quelques années. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


C'est l'une des solutions phare pour continuer à travailler dans cette période de crise avec le covid 19. Le télétravail connait une mise en lumière forcée mais je vais vous montrer pourquoi je suis persuadé qu'il sera la future norme pour nos vies professionnelles. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où je vais vous parler de télétravail. C'est quelque chose que l'on est nombreux à expérimenter un peu de force en ce moment, mais j'aimerais vous montrer pourquoi je suis convaincu depuis plusieurs années que le télétravail va devenir la norme dans le monde professionnel. Alors, pourquoi est ce que le télétravail va grignoter petit à petit de plus en plus de terrain sur le travail conventionnel en présentiel, dans les bureaux d'une entreprise ou d'un établissement. C'est une intuition. Peut être que je me trompe complètement, mais je suis persuadé déjà depuis plusieurs années que c'est quelque chose vers lequel on va. C'est un mode de fonctionnement qui me paraît plus naturel et qui s'imposera petit à petit dans le monde professionnel. Alors, évidemment, c'est le moment idéal de vous en parler en ce moment, puisque c'est vraiment mis en lumière partout dans les médias. Je n'ai pas plus suivi que ça l'actualité sur ce sujet là, mais je pense qu'il y a beaucoup de personnes qui en ont parlé et j'ai réussi d'ailleurs à trouver des chiffres très rapidement directement sur le site du gouvernement. Et statistique très intéressantes, il n'y a pas si longtemps que ça, en 2017, seulement 3% des salariés télétravaillaient un jour par semaine, uniquement un jour. On parle pas de télétravail plus grand que ça. C'est plus de confort pour le salarié pour lui faire un peu une fleur. Ou alors pour l'aider parce qu'il habite loin. Mais on ne parle pas d'un télétravail très, très grand, très allongé. On parle uniquement d'un jour par semaine de télétravail. Et ça, ça ne concerne que 3% des salariés en 2017. Et puis, évidemment, on va mettre en parallèle ce chiffre de 3% pour un jour avec les chiffres du premier confinement qui a eu lieu en mars 2020. Ou là, c'est 34% des salariés qui étaient en télétravail complet cette fois toute la semaine. Donc, on voit bien que ce chiffre a bondi, que ce n'est pas du tout une progression normale, mais une progression due à une crise. Et par contre, c'est l'avantage du covid. C'est que ça a permis un test grandeur nature du télétravail sur de nombreuses, très nombreuses personnes. Et ça a aussi un peu forcé de nombreuses entreprises, de nombreux établissements à s'équiper, à s'organiser pour pouvoir réaliser ce télétravail pour 34% des salariés en France. Donc, c'est tout à fait normal que ce système, ce mode de travail, ait été mis en lumière puisque c'était une des solutions phares pour contrer le covid19. Mais ça a aussi permis, donc pas uniquement aux entreprises, aux établissements, de tester le télétravail, mais aussi aux personnes ou aux gens ou salariés de tester cette solution qui signifie souvent une bien meilleure qualité de vie, notamment professionnelle. Puisque le télétravail est souvent perçu et à juste titre, comme un outil pour gagner beaucoup de temps dans sa journée. Évidemment, on enlève notamment les transports. C'est aussi un gain en énergie pour les mêmes raisons et finalement d'agilité, puisque on a beaucoup plus d'aisance à gérer son emploi du temps que quand on est au même endroit. Ça peut être plus facile aussi de gérer son quotidien comme son administratif, comme les colis qui arrivent toujours quand on est en train de travailler, ou même la gestion si on a des enfants, de pouvoir gérer leur planning beaucoup plus facilement. Et puis, c'est aussi un mode qui permet beaucoup plus d'autonomie, qui permet d'être plus autonome sur la gestion de ces heures, de son espace, de la façon finalement dont on aime travailler. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Nous sommes les témoins d'une époque de grands changements. Que l'on vive une crise ou non, il y a une clé ancestrale, un état d'esprit, à cultiver toute sa vie. Cela vous permettra de voir l'avenir plus sereinement et de continuer à faire progresser votre bien-être quels que soient les bouleversements qui nous attendent. ---Transcript--- Bonjour à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode où j'aimerai vous parler d'une clé, d'un état d'esprit ancestral qui, dans cette période de grands changements, de crise, peut permettre de voir l'avenir différemment. Et si cette clé est cultivée toute sa vie. Si on y pense régulièrement, ça peut vraiment permettre de voir le futur plus sereinement, quel qu'il soit. OK, donc c'est parti pour cet épisode avec des thèmes en ce moment qui sont forcément influencés par la situation avec le confinement et le covid. Mais ça permet peut être à certains d'entre vous de voir les choses différemment et d'affronter la situation plus facilement. Et aujourd'hui, du coup, j'aimerais vraiment faire une comparaison avec ce qui se passe aujourd'hui, ce que l'on connaît, les bouleversements actuels et avec la situation, par exemple d'avant guerre. Et évidemment, je vais parler du quotidien et pas des guerres en elles-même qui sont des évènements majeurs, bien sûr. Donc, si on prend le quotidien, par exemple en France avant 1950, on se rend compte que par rapport à aujourd'hui l'environnement, les possibilités étaient relativement faciles à appréhender. On avait quand il s'agissait d'accès aux soins. On avait souvent le médecin du village avec quelqu'un sur place. Pareil pour la nourriture où on avait souvent toutes les familles, qui cultivaient un potager. Et puis, il y avait des marchés locaux. On avait un accès qui était très proche, très local. De la même façon, c'était pareil pour les biens que l'on achetait, on allait chez des marchands locaux, on savait d'où venaient les produits et c'était très centré sur la région dans laquelle on grandissait. La situation, l'environnement proche était plus facile à appréhender, à imaginer, à cartographier dans son esprit. Et puis, on avait moins de déplacements aussi géographiques. Il y en avait, évidemment, mais c'était quand même plus difficile d'accès. Et plus on remonte dans le temps, plus c'était le cas. Souvent, on grandissait quand même dans un endroit. Et puis on y établissait souvent aussi sa famille, on travaillait et on restait dans la même région. C'est souvent assez flagrant, bien qu'il y ait dans chaque famille souvent il y a des personnes qui sont parties très loin, mais c'étaient des personnes qui étaient très novatrices pour l'époque par rapport à aujourd'hui, où c'est beaucoup plus facile, beaucoup plus commun. Si je regarde mon père qui fait de la généalogie, c'est flagrant, on se rend compte (il est remonté jusque vers 1600) que les gens restaient dans les mêmes régions. Il y avait très peu de personnes qui en sortaient qui allaient plus loin. Vraiment il y avait une région qu'on connaissait. On y restait, on grandissait, on restait avec les familles. On vivait souvent beaucoup plus ensemble, avec toutes les générations dans une même maison, c'était autre chose. Il y avait aussi l'environnement. On se souciait beaucoup moins de l'environnement puisqu'on avait l'impression que les ressources étaient inépuisables. Et donc, on souhaitait, c'était très recherché, tout ce qui était de développement, l'accès à la technologie. On espérait que ça aille très vite pour améliorer le confort, les possibilités et l'accès au travail. Mine de rien, aujourd'hui, on parle beaucoup de chômage. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Parlons de la puissance sous estimée d'un seul petit pas et pourquoi cette approche pourrait vous permettre de réaliser vos objectifs ou vos rêves quels qu'ils soient. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode où j'aimerais vous parler de la puissance d'un seul petit pas. Pourquoi ? C'est un état d'esprit, un angle d'approche, une habitude qui peut vous permettre d'ouvrir toutes les portes, d'atteindre tous vos objectifs. Et on va voir que finalement, c'est une philosophie qui est à la base de plein d'autres habitudes et qui peut permettre de lever énormément de barrières qui vous empêchent de passer à l'action. Allez c'est parti pour cet épisode. J'espère que vous allez bien. J'espère que vos projets de vie avancent dans la bonne direction puisque ce n'est pas toujours très évident. Et moi, par exemple, j'ai souvent la fâcheuse tendance à vouloir complexifier les choses pour avancer sur mes projets et c'est le problème de pas mal de personnes. C'est que parfois, on a des grands projets, on a des objectifs de vie et ils nous paraissent trop compliqués, trop grands, trop longs à réaliser parce qu'on les imagine finalement comme ça. Et on est beaucoup de personnes à avoir envie de réaliser des choses qui ont du sens pour nous, des choses qui vont peut être apporter de la valeur à vous, à vos proches ou au monde entier. On a envie de faire des choses qui sortent un peu de l'ordinaire et qui nous tiennent particulièrement à coeur. On a tous ces idées là en tête, différentes idées tout au long de notre vie. Mais le souci, c'est que le quotidien nous rattrape très souvent. On manque de temps, on manque d'énergie, on manque peut être d'argent ou des relations nécessaires pour créer ces idées et c'est souvent quelque chose qui revient dans les conversations. D'ailleurs, quand on entreprend des projets, qu'on entreprend de mettre ses idées en action, on a les personnes que l'on rencontre ou les proches autour de nous souvent, qui vont se mettre à nous expliquer des idées qu'ils ont eues dans leur vie et qu'ils auraient bien aimé mettre en place. Et finalement, ça reste à l'état de projet puisque là, ils n'ont souvent pas le temps de le faire ou pas la motivation. Mais voilà, il y a beaucoup de personnes qui ont beaucoup d'idées. Ce n'est pas les idées qui manquent. On se rend compte rapidement que tout le monde a des envies, des idées. Mais très peu de personnes passent finalement à la phase action, à la mise en place. Puisque voilà, on a déjà le quotidien à gérer. Ça paraît trop compliqué. On n'a pas assez de motivation. On a parfois peur de l'échec par rapport au regard des autres ou à soi même. Tout ça fait qu'il y a des milliards et des milliards d'idées, probablement sur la planète, qui restent à l'état d'idée uniquement. Et souvent, on reste dans cette perception que les choses sont trop complexes, sont trop difficiles et donc on n'ose pas. Et donc, c'est une parfaite transition pour la citation de Sénèque. Encore une citation que j'adore beaucoup, beaucoup. Mais Sénèque disait "Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles". Et voilà, c'est cette mise en action qui manque souvent. Cette expérience qui permet de voir que finalement, ce projet est peut être réalisable et je devrais me lancer. Mais il manque ce premier pas. J'enchaîne sur une citation du plus grand aventurier encore vivant que j'adore, Mike Horn, qui dit "un voyage de mille lieues, a commencé par un pas" et c'est ce qui m'a inspiré ce podcast, puisque c'est cet état d'esprit qui permet de ne pas voir la grandeur, la complexité, la difficulté d'un projet, d'un objectif, mais qui permet de revenir à ce qui nous paraît possible : Un seul pas. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Je vous présente ce qu'un historien et archéologue a décrit comme la pire année de l'humanité. Et comment ce moment de l'Histoire peut nous aider à voir les choses différemment dans les périodes difficiles et faire progresser notre bien être. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour cet épisode où j'aimerais vous présenter ce qu'un archéologue et historien a qualifié comme étant la pire année qu'a connu l'humanité. Et comment est ce que ces évènements peuvent nous aider à vivre mieux le contexte que l'on vit actuellement avec le Covid. Allez, c'est parti pour cet épisode un peu particulier puisqu'il traite d'un sujet qui est négatif, qui sonne dur, mais on va voir que même les épreuves les plus difficiles peuvent souvent nous servir. Et on va le voir aujourd'hui dans ce contexte de crise, de période difficile avec le Covide, puisque on a, avec le recul du premier confinement, de nombreux exemples que même si on n'a pas de cas graves autour de soi, qu'on n'a pas eu de catastrophe ou vraiment de choses importantes qui ont impacté notre vie ou nos proches, on peut quand même rapidement, dans ces conditions, tomber dans la dépression et développer des symptômes liés à ça. Surtout si on regarde en boucle les médias qui nous répètent des choses toute la journée. Des choses négatives qui vont impacter notre mental et notre bien être. Puisque oui, les expériences difficiles, les expériences négatives peuvent nous servir de tremplin, mais généralement, elles sont courtes, elles sont ponctuelles. C'est vrai que si on regarde en boucle toute la journée des informations dans les médias où l'on répète sans cesse les mêmes informations. Là, par contre, ça peut bloquer des personnes et ça peut entraîner dans la dépression. Je me souviens très bien des attentats qu'il y avait eu il y a quelques années où avec ma femme, on avait regardé énormément les médias qui étaient en boucle là dessus, qui nous montrait des images. Et en quelques jours, à force de regarder ça, c'était parmi les premiers attentats que l'on pouvait suivre comme ça en direct à la télé et qu'on voyait beaucoup de choses. Ça nous avait fortement impacté. C'est d'ailleurs ce qui nous a ensuite entraînés dans la décision d'enlever la télévision de la maison. Tout simplement parce que ça nous avait fait clairement déprimer les semaines suivant ces événements. Alors que là, l'idée, c'est plutôt de se servir de moments ou d'expériences difficiles très ponctuellement, pour pouvoir s'en servir comme un tremplin pour pouvoir continuer à se développer, à avancer, à profiter du moment présent, même si on est dans une période difficile, que l'on est confiné, que l'on a plus ou pas beaucoup de relations sociales alors évidemment, ce n'est pas forcément aussi facile pour tout le monde. C'est même difficile pour de nombreuses personnes et surtout dans ces périodes là, même si on aurait envie d'être bien. Souvent, on n'a pas l'énergie, on n'a pas la motivation et on l'a vu avec le premier confinement. Ça va certainement se répéter pour ce second. Ça a un impact mental très fort et ça fait souvent ressortir les peurs de chacun. C'est pour ça que c'est aussi une période où c'est bien de tenter différentes techniques, différentes habitudes pour essayer de se sortir de cette spirale négative. Et il y en a notamment une qui permet de se servir des expériences difficiles du passé pour prendre de la perspective. Et on va voir que seulement en quelques minutes, se remémorer l'histoire de la pire année qu'a connue l'humanité peut vous permettre de relativiser, de voir les choses différemment et de repartir dans sa journée en voyant les choses sous un nouvel angle. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Je vais vous montrer que continuer le sport même blessé peut beaucoup vous apporter. C'est un mécanisme très intéressant que je vais vous présenter et qui personnellement me motive énormément pour faire du sport chaque jour. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où on va voir pourquoi continuer le sport même blessé, est important. Je vais vous présenter un mécanisme qui est tout à fait étonnant puisque on pense, quand on est blessé, plutôt à se reposer qu'à faire du sport et on va voir que c'est le contraire. Et à titre personnel, ça me donne beaucoup de motivation pour moi qui ai tendance à faire beaucoup d'inflammation et de tendinites. Donc, j'ai hâte de vous présenter tout ça. J'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, on est parti sur un épisode qui va mélanger le sport et les blessures. Deux choses qui sont plutôt contradictoires quand on les évoque, mais on va voir quelque chose de très intéressant qui vont les réconcilier. Et c'est un sujet, une habitude qui m'intéresse tout particulièrement puisque ça va beaucoup me servir en fonction de ma physiologie à moi. Et vous allez peut être vous retrouver dedans. Quand j'étais plus jeune, quand j'étais au lycée, j'étais dans une option sport et je faisais énormément de sport, donc j'étais vraiment en forme. Je pouvais à peu près faire tout ce que je voulais comme activité physique, comme exercice. Et après en prenant un peu d'âge je me suis rapidement rendu compte que j'avais une physiologie qui avait tendance à s'enflammer, à s'enflammer rapidement au niveau notamment de mes articulations et surtout dans les périodes où je faisais un peu moins de sport, voire pas du tout, ou du moins pas suffisamment. Et donc, à chaque fois, je devais attendre la fin de mes blessures, de mes douleurs, des petites tendinites que j'avais avant de redémarrer des entraînements, de l'activité physique. Et à chaque fois, finalement, que je reprenais une activité physique, je me blessais, ou alors, c'était à cause d'une chute ou d'un déménagement. Enfin, c'est une succession de nouvelles petites blessures et j'ai souvent eu des tendinites et des tensions au niveau de mes articulations, dans les muscles. Et c'était assez frustrant pour moi puisque je voulais vraiment retrouver l'état de forme que j'avais ressenti justement au lycée. Et j'ai eu cette chance finalement de ressentir un peu cette énergie incroyable qu'on a quand on est vraiment très en forme. Alors oui, j'étais beaucoup plus jeune, mais je sais, en ayant repris ces dernières années périodiquement, que vraiment, quand on arrive à se maintenir en forme et quand son corps est vraiment au top, on a une énergie incroyable. Il y a aussi énormément d'autres bénéfices très intéressants, que ce soit sur le plan mental ou physique ou physiologique. Mais ça apporte de l'endurance, de la force, de la résistance, de la souplesse. Ça bénéficie au système immunitaire, au système endocrinien, les hormones, même au niveau de la peau, de son cerveau. Finalement, à tout point de vue, on se rend compte que le sport pratiqué régulièrement au moins trois fois par semaine, c'est un rajeunissement global de son corps. Donc, c'est assez frustrant. Et si vous êtes comme moi que peut être vous avez fait moins de sport et que vous avez vous essayé de vous y remettre. Peut être vers la trentaine ou plus et où vous avez une physiologie, vous vous blessez assez facilement. Vous avez vite mal aux articulations. C'est assez frustrant parce qu'on n'arrive pas à avancer. On ne sait pas comment s'entraîner et avoir confiance en son corps. Justement, si on se blesse tout le temps, on a du mal à avoir cette confiance et à vraiment y aller à fond. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


On voit souvent des articles sur les avantages ou les inconvénients du café ou du thé, sur leurs propriétés ou leurs méfaits supposés. Je vous propose un autre angle de vision sur ce qui est pour moi le véritable danger de ces boissons stimulantes. C'est une information, une réflexion que tout le monde devrait avoir en tête avant d'en consommer quotidiennement. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où je ne vais pas me faire que des amis puisque je m'attaque à deux boissons très populaires qui sont le café et le thé. Et j'aimerais vous montrer, selon moi, le véritable danger de les boire quotidiennement et vous allez voir que je vais prendre un point de vue, un angle d'approche différent des avantages et des inconvénients qu'on voit habituellement. Mais en tout cas, c'est une information qui, je pense, devrait être connue de tous avant d'avoir une consommation quotidienne de ces boissons là. J'espère que vous avez la forme. On démarre cet épisode et vous êtes peut être en train de boire votre café ou votre thé tranquillement chez vous ou au boulot, et on va justement en parler puisque ce sont deux boissons qui sont extrêmement populaire. Il y a très peu de foyers dans lesquels on ne trouve ni l'un ni l'autre. C'est vraiment quelque chose que l'on retrouve généralement dans à peu près toutes les familles. Moi, enfant, j'ai vu mes parents tous les jours boire du café pour mon père, du thé pour ma mère le matin et puis après dans la journée aussi du café. Puis après, je m'y suis mis. J'étais dans la vie professionnelle et je voyais mes collègues tous les jours prendre ce rituel, notamment le café. Puis, il y a un peu de thé, chez mes amis, de la même façon. Et puis, bien sûr, partout dans ce que l'on voit dans les films, sur les réseaux sociaux, on voit beaucoup de créateurs qui nous parlent de la façon dont ils créent leur café. C'est quelque chose qui, vraiment, déchaîne les passions, notamment le café, un peu moins le thé, plus du côté asiatique. Mais vraiment, le café a quelque chose d'incroyable et vraiment qui attise les passions puisque c'est quelque chose que l'on voit vraiment partout. Moi, j'ai tous mes amis qui en boivent, qui sont contents, on le voit de proposer un café, de montrer la dernière machine qui est arrivée et de détailler un peu ses caractéristiques. Puis maintenant, on peut même faire des choses qui se rapprochent un peu des cafés qu'on retrouve dans les bars. Donc voilà, il y a vraiment tout un univers autour du café et du thé aussi. Et c'est quelque chose qui, quand j'ai commencé à travailler en tant que salarié, je voyais ça un peu de l'extérieur et je me disais il faut absolument que j'arrive à aimer ça. Je le voulais pour rejoindre un peu ce club qui avait l'air vraiment bien, vraiment cool. Et j'étais en plus attiré par tout ce qui était la préparation un peu, le rituel, les odeurs. Il y avait quelque chose d'ancestral dans cette préparation, un lien peut être avec ces grains de café, avec la nature. Donc, c'est quelque chose qui m'attirait quand même. Mais le souci, c'est que j'avais beaucoup de mal à le boire puisque vraiment, je ne trouvais ça vraiment pas bon. J'avais beaucoup de mal avec cette amertume. Quels que soient les types de café et je me forcais vraiment un peu à en boire dans mon premier boulot. Et pour rejoindre justement ce club, ce moment que mes collègues avaient l'air de partager avec joie. Et je finissais un peu par m'habituer au goût. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Pourquoi et comment éviter l'absorption de millions de micro particules de plastiques dans votre corps ? Je vous montre dans cet épisode qu'il ne faut surtout pas sous estimer ce problème et les alternatives pour s'y attaquer rapidement. C'est un sujet très vaste et cet épisode un débroussaillage :) ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour cet épisode où je vais vous montrer comment limiter l'ingestion de millions de microparticules de plastique dans votre corps. On va voir que c'est quelque chose qu'il ne faut surtout pas sous estimer pour votre santé et on va voir les alternatives disponibles à mettre en place rapidement dans votre quotidien. OK, c'est parti. J'espère que vous allez bien, surtout en ce moment avec cette seconde vague du covid qui nous pose beaucoup de soucis. Pensez à renforcer votre système immunitaire en mettant plusieurs habitudes en place et pourquoi pas limiter l'ingestion de particules de plastique. Ça peut grandement aidé votre corps. On va le voir. Je vais essayer d'être synthétique. C'est un sujet qui est très vaste. Donc je vais prendre pas mal de raccourcis. Il y a beaucoup de données qu'on peut trouver un peu partout sur le web. Je vais vous donner quelques pistes, mais le but, c'est d'aller sur du concret, avec les habitudes qu'on peut mettre en place, les alternatives que l'on peut faire pour s'éviter pas mal de soucis de santé. Il y a déjà assez de problèmes en ce moment. Si on peut le limiter sur d'autres facteurs, il ne faut pas s'en priver. Donc, le plastique, ce n'est pas peu dire que c'est un vaste sujet puisque les matières plastiques en général et j'englobe toutes les variantes qui existent, mais c'est le troisième matériau le plus fabriqué par l'homme, après le ciment et l'acier. Donc, c'est vraiment quelque chose d'énorme. C'est quelque chose qui était une matière, un matériau qui a été novateur et surtout salvateur après notamment les pénuries qu'il y avait après la Seconde Guerre mondiale. Et c'est comme ça qu'il a pris un essor, qu'il a remplacé beaucoup de choses puisque le plastique a permis, à moindre coût par rapport aux matières naturelles comme le coton ou la cellulose, de remplacer beaucoup de produits du quotidien. Ils ont permis de nombreuses avancées technologiques, mais l'un des soucis, c'est qu'ils sont très durables et complexes à recycler, même encore aujourd'hui. Et c'est l'un des soucis puisque l'utilisation du plastique est souvent pensée pour des produits qui sont à usage unique. Et au final, on les retrouve, ces microparticules de plastique ou des composants plus gros, vraiment des plastiques, des produits plastiques, on les retrouve maintenant partout dans notre environnement, comme déchet du fond des mers jusqu'au sommet des montagnes. On en a retrouvé maintenant absolument partout puisque évidemment, les microparticules se baladent aussi directement dans l'atmosphère, donc elles peuvent se répandre absolument partout. Donc, il y a un gros souci de pollution de l'environnement. Mais ce qui nous intéresse aujourd'hui, c'est que malgré cette durabilité apparente, le souci, c'est que notamment la chaleur et l'oxygène, abrasent les plastiques. Donc, on a des détachements petit à petit de microparticules qui peuvent être rapidement des millions de microparticules qui se détachent dans l'environnement dans lequel le produit ou l'objet en plastique est. Et souvent, cet environnement est en contact avec nos aliments, nos produits alimentaires, puisque le plastique est utilisé énormément dans tout ce qui est alimentation. Et à chaque fois, il y a eu des problèmes, des études qui ont montré des détachements de microparticules et leurs conséquences. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Je vais vous montrer dans cet épisode pourquoi et comment affronter vos peurs. C'est une habitude très intéressante à mettre en place et qui pourra même vous permettre de voir vos peurs différemment. Servez-vous de cette émotion ancestrale pour acquérir une habitude qui changera probablement votre vie. ---Transcript--- Salut à tous et bienvenue pour cet épisode consacré aux peurs. J'aimerais vous en parler parce que c'est très important de savoir comment les affronter et surtout que l'on peut réussir à les voir sous un angle différent et même commencer à les apprécier plutôt que les craindre. Allez, c'est parti ! J'espère que vous allez bien. Je suis en train de me dire que peut être cet épisode tombera vraiment tout proche d'Halloween. Je vérifie, mais j'aurais pu le programmer pour le jour d'Halloween. Ça aurait été marrant. La thématique aurait bien collé. Je viens de vérifier. Ça sortira le 4 novembre, donc juste après, c'est un peu dommage. J'aurais pu l'anticiper, que je m'en souvienne pour l'avenir. Mais bref, revenons au sujet de la peur et comment et pourquoi les affronter ? Pourquoi est ce que c'est une bonne habitude de les attaquer et de les affronter, de les voir différemment ? Donc, on a tous de nombreuses peurs. Généralement, tout au cours de notre vie, ça évolue. On a différentes peurs et c'est souvent face à des situations qui nous déstabilisent. A la base, cette émotion de la peur, c'est fait pour nous protéger d'un danger qui va peut être mettre en péril notre vie. En tout cas, c'était conçu comme ça par l'évolution, mais aujourd'hui, dans nos cadres hyper sécurisés de nos sociétés modernes. Souvent, les peurs que l'on a, ce sont des réactions très démesurées par rapport à la situation, car la plupart du temps, il n'y a aucun danger réel. C'est souvent beaucoup notre imagination, mais on les ressent profondément et c'est ça peut être un problème puisque ça peut générer vraiment des réactions très fortes, voire des maladies, des blocages. Et ça peut clairement nous pourrir la vie assez rapidement et nous stopper dans le développement de projets ou la réalisation de nos rêves ou des objectifs de vie que l'on a. C'est vraiment des sensations très réelles. On a cette émotion très forte de la peur. Et voilà, normalement cette émotion est là pour nous prévenir des dangers, pour se préparer, pour éviter un danger, pour éviter d'avoir à subir les risques liés à ce danger. Souvent, la réaction naturelle, ça va être plutôt de ne pas oser affronter ces peurs. C'est plutôt de les éviter. Et puis de les mettre dans un coin et de les oublier. C'est aussi une réaction qui est relativement naturelle si on reste sur cet état d'esprit. Et si on passe pas un petit peu au delà et qu'on cherche un peu à comprendre pourquoi on a ces peurs, et surtout, pourquoi elles sont démesurées aujourd'hui. Et le problème, c'est que ces peurs qui peuvent induire de l'évitement, ça peut nous empêcher de faire certaines choses, de nous bloquer dans beaucoup de projets ou des réactions ou des actions qu'on aurait aimé avoir. Et c'est là où ça peut être assez handicapant si on ne prend pas le temps. On n'a jamais pris le temps un petit peu d'analyser ces peurs et la peur en général, puisque si on y pense, la peur, c'est une réaction, une émotion qui est temporaire. Et le problème, c'est que si elle entraîne des inactions chez vous sur certains de vos projets ou réactions ou objectifs que vous vouliez faire ou avoir, c'est que ça va induire, par contre des regrets chez vous plus tard, à un moment donné. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Et si la lecture était l'une des habitudes les plus impactantes ? Lire peut vous faire gagner presque 2 ans de vie ! Je vous explique dans cet épisode comment ça marche et sous quelles conditions ce bénéfice peut-il apparaître. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où l'on va parler de lecture puisque le fait de lire peut vous faire gagner presque deux ans de vie, deux ans de longévité. Donc c'est plutôt ce qu'on pourrait appeler une habitude efficace, une habitude intéressante. Et on va voir comment est ce que ça peut marcher ? Et quelles sont les conditions pour que ça marche à tout de suite. Allez, c'est parti pour parler un peu de lecture. J'ai trouvé cette idée en faisant des recherches sur le podcast précédent où je suis tombé sur une étude que je trouve absolument incroyable puisque ça ajoute un des bienfaits à la lecture qui est celui de gagner juste, excusez moi du peu, 2 ans de vie, 2 ans de longévité, simplement avec une habitude, celle d'apprendre à aimer lire. Je trouve que c'est plutôt un argument de poids pour la lecture, pour apprendre aux enfants qu'il faut aimer à lire. Parce que je ne sais pas de votre côté, mais avec moi l'école, ou du moins mon parcours scolaire, m'a plutôt éloigné des livres plutôt que l'inverse. Puisqu'on nous demandait souvent à ma génération, j'ai 34 ans, on demandait souvent de lire des classiques, de la littérature française. Donc, c'était souvent des livres assez gros, assez complexes à lire et à comprendre. Et puis, en plus, derrière, on savait qu'on avait une ou deux semaines à travailler dessus, à analyser le livre en détail. C'était quelque chose, moi qui m'ennuyait quand même beaucoup. Donc, je partais pas gagnant avec avec cette histoire de lecture, cette habitude à apprendre de lire des livres. Et je n'avais pas forcément d'exemple flagrant dans mon entourage pareil pour apprendre à aimer ça. Et puis, si on ajoute à ça que je suis plutôt de la génération avec l'essor à fond de la télévision, des dessins animés, l'apparition d'Internet, des jeux vidéos, ça fait beaucoup de facteurs pour éloigner les livres comme étant une habitude régulière chez eux, chez les jeunes. Et heureusement, en prenant de l'âge, j'ai découvert le développement personnel. J'ai bien vu que le fait de vouloir progresser, cela impliquait forcément d'acquérir du savoir, notamment à travers les livres. Et c'est là où j'ai enfin appris à aimer la lecture, à la voir différemment. Alors, peut être parce que c'étaient des sujets qui m'intéressait. Mais effectivement, je n'avais pas eu cette approche avant. Alors j'en ai un peu parlé dans le podcast précédent. Mais c'est vrai qu'il y a aussi un frein. C'est que beaucoup de personnes qui lisent peu, s'imaginent que ça prend beaucoup de temps. Et du temps on en a parfois pas assez et que pour réussir à finir un livre, il faut quand même lire pas mal. Sinon, on décroche assez vite. Et si on ne lit uniquement qu'une heure dans le mois. Après, pour reprendre le mois d'après, on ne se rappelle plus de rien. Donc, il y a beaucoup de gens qui démarrent des livres qu'ils ne finissent jamais. D'où l'habitude très saine de prendre un temps dans la journée pour lire 30 minutes par jour, par exemple, ou même un peu moins. Mais 30 minutes par jour, c'est assez rapide. Ça permet de faire une pause, de s'évader ou d'apprendre quelque chose. Et ça permet, surtout au bout d'un mois, d'avoir lu en moyenne deux livres chaque mois. Donc, sur une année, ça peut faire entre 20 et 24 livres. Ça va évidemment dépendre de la taille des livres, mais c'est quelque chose qui est tout sauf anodin. C'est une bonne habitude. Lire la suite sur le blog Libreneur.com


Chaque expérience difficile peut apporter son lot d'opportunités. Le confinement peut être compliqué à vivre pour beaucoup de personnes et je vais vous montrer que cela peut être le moment idéal pour s'intéresser au développement personnel. ---Transcript--- Salut à tous, bienvenue pour cet épisode où on va à nouveau essayer de mettre en lumière le côté positif dans les moments difficiles et notamment en ce moment avec le confinement et le covid 19. On va voir que c'est une opportunité à ne pas rater pour votre propre développement personnel. Bon, décidément, on vit une année vraiment particulière puisque nous voilà dans un nouveau confinement. C'est vraiment une année où il fait bon travailler sur son développement personnel puisque sinon on a vite fait de sombrer dans la dépression ou d'autres problèmes de ce type. Puisque là, on attaque notre second confinement qui mine de rien, même si c'est pour nous protéger, pour préserver notre santé et la population, on est dans une situation où on est enfermé. On nous prive de la liberté de sortir, d'agir, de choisir les activités que l'on voudrait faire, peut être à l'extérieur ou les projets qu'on voudrait mener, même s'il y a plus de possibilités pour ce confinement là. Ça reste pour beaucoup de personnes un enfermement avec les soucis mentaux notamment, ou les impacts notamment du point de vue social et encore plus si on est une personne seule ou isolée. Et puis, il faut bien se dire que pour la majeure partie d'entre nous, on est dans une situation qui reste confortable puisqu'il y a des personnes qui sont dans des situations véritablement d'urgence, que ce soit au point de vue de leur santé, de la santé de leurs proches ou alors qui ont tout perdu, peut être leur entreprise et qui sont dans une situation financière très délicate, très difficile à vivre. Par contre, pour la majeure partie d'entre nous, on peut réussir à voir ce confinement d'une manière différente. Et c'est ce dont je voulais vous parler aujourd'hui. C'est que l'on peut aussi le voir avec un angle différent, comme une opportunité, notamment pour progresser soi même. Et pour cela, évidemment, il va falloir être actif pour aller chercher ce côté positif, mais c'est possible et c'est possible de se concentrer sur les côtés positifs pour les faire ressortir et pour diminuer finalement les impacts négatifs que le confinement a sur nous et sur notre activité. Puisqu'il faut bien se dire que c'est toujours pareil. C'est ce sur quoi vous allez vous concentrer, ce que vous faisez, votre activité physique ou même votre activité mentale. C'est ça qui va se développer et qui va vous entourer. Et donc, si vous vous concentrez sur les côtés négatifs, ça va être très dur de ne pas tomber dans la dépression durant ce confinement. Et au contraire, si vous vous concentrez sur les aspects positifs et que vous faites des activités qui vont en ce sens là, c'est le positif qui va ressortir et c'est ce que finalement, votre cerveau, votre corps, va retenir. Donc, même confiné, on peut choisir ce que l'on va faire, ce que l'on va ressentir, même si c'est plus restreint, évidemment. Mais il faut vraiment vous dire que l'on est responsable de ses émotions, de ses actions et donc on peut les orienter, même si ce n'est pas toujours facile. Évidemment, souvent, ça va être difficile, mais si on fait l'effort de le faire, ça va de toutes façons être positif. Et donc, il faut bien retenir que chaque difficulté apporte son lot d'opportunités. Et donc là, avec ce confinement, on a une chance. Peut être que habituellement, vous n'y consacrez pas de temps, mais là, vous avez une chance d'explorer, de tester, d'expérimenter des choses du côté du développement personnel, des habitudes positives pour vous améliorer, pour ressentir les choses différemment. Lire la suite sur le blog Libreneur.com